Concession Refutation

spécifiquement choisie en fonction de la thèse à soutenir et de l'interlocuteur à convaincre. L'une des stratégies consiste simplement à soutenir une thèse, en déployant des arguments qui en montrent le bien fondé. Cette stratégie peut être complétée par la réfutation de la thèse adverse : dans ce cas, le locuteur s'attache à dévaloriser, à décrédibiliser les arguments qui s'opposent à son point de vue. Il emploie des contre-arguments et des contre-exemples, souligne les faiblesses du raisonnement de l'adversaire

temps de définir un concept – indiquez déjà les grandes lignes de cette définition, voire sa provenance si elle est emprunté d’un auteur. Le texte devra compter une objection, objection à laquelle on fournira une réponse : soit une concession, soit une réfutation de l’objection. L’objection consiste à tenter de prévoir le type de critique qu’on pourrait faire à un de vos arguments. Pour élaborer une objection, il faut se poser ce genre de question : quelle faiblesse a cet argument ? Quel autre

s’agit de définir le fondement de l’autorité politique. C’est un postulat initial, qui fait part de la liberté d’un droit fondamental. L’auteur présente le plan en 3 parties : l’autorité n’est pas naturelle n’existe pas. Ensuite l’auteur fait une concession en admettant que l’autorité parentale doit exister jusqu’à l’age de raison. Puis, il ajoute que tout autre autorité ne peut être établie que par la force ou par le consentement. Paragraphe 2 : Développement : Autorité qui s’acquiert par la violence

spécifiquement choisie en fonction de la thèse à soutenir et de l'interlocuteur à convaincre. L'une des stratégies consiste simplement à soutenir une thèse, en déployant des arguments qui en montrent le bien fondé. Cette stratégie peut être complétée par la réfutation de la thèse adverse : dans ce cas, le locuteur s'attache à dévaloriser, à décrédibiliser les arguments qui s'opposent à son point de vue. Il emploie des contre-arguments et des contre-exemples, souligne les faiblesses du raisonnement de l'adversaire

spécifiquement choisie en fonction de la thèse à soutenir et de l'interlocuteur à convaincre. L'une des stratégies consiste simplement à soutenir une thèse, en déployant des arguments qui en montrent le bien fondé. Cette stratégie peut être complétée par la réfutation de la thèse adverse : dans ce cas, le locuteur s'attache à dévaloriser, à décrédibiliser les arguments qui s'opposent à son point de vue. Il emploie des contre-arguments et des contre-exemples, souligne les faiblesses du raisonnement de l'adversaire

dans la relation, reconnaît l'autre, en recherchant le dialogue, l'échange, la convivialité, quitte à accepter des concessions. En écoutant l'autre, il cherche à trouver un dénominateur commun aux objectifs de chacun, puis avance les raisons permettant d'aboutir à un consensus; Les stratégies de résistance et d'opposition l’acteur adopte une position où il fait peu de concessions à l'autre. II refuse de s'engager dans le dialogue, reste sur ses positions sans cher­cher à comprendre le point de

spécifiquement choisie en fonction de la thèse à soutenir et de l'interlocuteur à convaincre. L'une des stratégies consiste simplement à soutenir une thèse, en déployant des arguments qui en montrent le bien fondé. Cette stratégie peut être complétée par la réfutation de la thèse adverse : dans ce cas, le locuteur s'attache à dévaloriser, à décrédibiliser les arguments qui s'opposent à son point de vue. Il emploie des contre-arguments et des contre-exemples, souligne les faiblesses du raisonnement de l'adversaire

évoquant le fils qu'elle aurait aimé avoir ave€ Hémon : l. 18. pourquoi je meurs. )) à la l. 24, ( J'ar peur. )à la l. 27), et finit par revenir sur ses propos car cette réitération forcée, due à la lenteur du garde pour écrire, conduit à leur réfutation. C'est une façon de remettre l'aveu en question... lci, celui qui l'entend n'est pas le destinataire. Elle doit se répéter (( Je ne sars plus lettres s'opposent par leurs propos. Dans la 2è'e, tout ce qui a été précédemment énoncé par

tout près. Encore un quart d'heure sur le fleuve, à voir la ville monter dans le soir. Enfin, Han-Kéou. Des pousses (1) attendaient sur le quai, mais l'anxiété de Kyo était trop grande pour qu'il pût rester immobile. Il préféra marcher : la concession britannique que l'Angleterre avait abandonnée en janvier, les grandes banques mondiales fermées, mais pas occupées... « Etrange sensation que l'angoisse : on sent au rythme de son cœur qu'on respire mal, comme si l'on respirait avec le cœur... »

rapidement les charmes de la passion (L13) pour mieux réfuter cette idée en s’attardant longuement sur le désordre qui suit la passion (L14 à 16). La passion vient du mot latin « patior » qui signifie « je souffre ». Son raisonnement est logique : concession/réfutation. Elle développe également l’antithèse entre l’amour et la vertu : l’amour mène aux « tromperies » (L15), « infidélités » et « malheurs domestiques » (L15) alors que la vertu mène à la « tranquillité », l’ « éclat » et l’ « élévation » (L17