Concile D Orleans 511

* Politique (Anastase) Clovis va faire une réforme de l’église pour asseoir un peu plus sa domination et convoque, en 511, un grand concile à Orléans avec tout les evêques de Gaule (32). Le bur est d’unifier l’église de Gaule au niveau de la foi: * L’orleanisme est officiellement interdit * La discipline de l’eglise est revisité. A partir de ce concile, l’église de Gaule devient l’eglise du royaume des francs et celle ci est placée sous la tutelle des rois. Petit à petit, l’église

des écrits, qui sont le résultat de travaux des grandes assemblées ecclésiastiques, des assemblées d’évêques. Et, ces assemblées, on les nomme les conciles. Dans ces conciles, on adopte des textes, on délibère, ces textes sont nommés, des canons, ce qui donnera le ‘’ droit canon ‘’ le droit ‘’ canonique ‘’. Canon = règle. Les canons émanent des conciles, et puis il y’a d’autres écrits a cote des canons. Ce sont tous les écrits émanant du pape, ces derniers sont des ‘’ décrétales pontificales ‘’…Alors

importante : dans le monde franc, quand le roi meurt, le pays/l’Etat est partagé entre ses fils comme des biens privés (conception opposée à celle de la « Res publica romana »). A la fin du règne de Clovis, le royaume est très étendu. Clovis meurt en 511 et ses quatre fils héritent donc de quatre morceaux du territoire. Il s’agit de la destinée territoriale des royaumes francs. Cependant, les frères se font la guerre entre eux pour éliminer ses frères à son profit. Clotaire élimine tous ses frères mais

de « lex publica ». La loi est proposée par un magistrat, et votée par les citoyens réunis dans des assemblées qui portent à Rome le nom de « comices ».De la loi, il faut rapprocher le plébiscite qui est voté par l'assemblée propre à la plèbe, le concile de la plèbe. Le plébiscite à la même valeur que la loi, c'est une valeur qu’il a acquise en 286 avant Jésus-Christ. • La loi joue à Rome un grand rôle en droit public, mais elle n'occupe qu'une place très modeste en droit privé. C'est pourquoi on

réformer ellemême. Dès 1532, Ignace de Loloya fonde à Montmartre la Société de Jésus et, bientôt, les collèges des Pères jésuites commencent d’exercer une influence profonde sur la formation d’une grande partie des jeunes gens des classes aisées. Le Concile de Trente (1542-1563), dont pourtant les décrets ne sont pas reçus en France, inspira, un peu plus tard, un vigoureux mouvement de “ContreRéforme”. En 1598 l’Edit de Nantes met fin des guerres de Religion. Le catholicisme est reconnu comme religion

réformer ellemême. Dès 1532, Ignace de Loloya fonde à Montmartre la Société de Jésus et, bientôt, les collèges des Pères jésuites commencent d’exercer une influence profonde sur la formation d’une grande partie des jeunes gens des classes aisées. Le Concile de Trente (1542-1563), dont pourtant les décrets ne sont pas reçus en France, inspira, un peu plus tard, un vigoureux mouvement de “ContreRéforme”. En 1598 l’Edit de Nantes met fin des guerres de Religion. Le catholicisme est reconnu comme religion

leur âge. Les comices tributes réunissent les citoyens selon le lieu de leur domicile. Chacune de ces assemblées participent au vote de la loi de même qu’elles participent à l’élection des magistrats. A coté de ses comices, une assemblée appelée " concil de la plèbe " réunis les plébéiens. L’organisation de ces assemblées est en apparences démocratique, dès lors qu’un individu a la citoyenneté romaine, il accède à ces assemblées. En réalité, seul le groupe dominant, les patriciens jouent un rôle dans

trouve dans ces lois des usages propres aux peuples germaniques mais on trouve aussi des règles de droit qui sont propres aux sujets des peuples conquis. La plus célèbre de ces lois nationales barbares est la loi salique rédigée sur l'ordre de Clovis en 511, autre exemple la loi Gombette rédigée sur l'ordre du roi Gondebaud, elle résume les droits Burgondes. Du coté des gallo-romains, la plus célèbre est le Bréviaire d'Alaric (506). Les rois mérovingiens vont s'efforcer de fournir des règles nouvelles

et Théodose supra) : s’instaure, et pour des siècles, un régime d’étroite collaboration entre Église et État (les deux “cités”, dira saint Augustin). L’empereur, “vicaire” de Dieu, soutient le développement de l’Église, convoque les conciles (cf. Nicée, 325, 1er concile “œcuménique”, proclamant de dogme de la Trinité, face à l’hérésie arienne) ; l’Église, de son côté emprunte beaucoup à Rome : sa culture (cf. les Pères de l’Église : saints Jérôme, Ambroise et Augustin), son droit (qu’elle va transmettre

même nature divine que son père. Il est venu avec cette doctrine en proposant cette nouvelle idée. Il est venu nié la divinité du Christ. Cette religion va devenir ensuite le symbole de l'hérésie chrétienne. Elle va être condamné en 325 au cour d'un concile. C'est une religion qui sera combattu, et critiquée. De nombreux barbares ont adopté cette religion, on peut dire que les barbares prouvent qu'ils ont eu envie de se civiliser. Ces barbares ressentent le besoin de se trouver une cohésion spirituelle