Concile de Constance

première croisade c’est déroulé de 1096 à 1099 . Elle a été provoqué par des Turcs ( Seldjoukides ) , qui empêchaient le passage aux pèlerins chrétiens vers Jérusalem . Le pape Urbain II ordonne une croisade pour récupérer la terre sainte lors du concile de Clermont en 1095. Une guerre de religion entre chrétiens et musulmans éclata. Hérétique : Personne qui n’a pas de religion . La croisade des Albigeois date, où, quelle est la pensée religieuse des Cathares ? La croisade des Albigeois

Donc il s’ agit d’une période de l’histoire française pleine de perturbations . Anne Vercours évoque les dernières années du Grand Schisme d’Occident, lorsque le concile de Constance tente de mettre un terme au scandale d’un pontificat tricéphale.[3] A la place du Pape, nous en avons trois et à la place de Rome je ne sais quel concile en Suisse.[4] Il s’agit donc de la période de la crise nationale et religieuse, lorsque le schisme prend fin et le Roi et le Pontife de nouveau sont rendus

d'enceinte de la ville en 1080. Et vers 1200, il érige un troisième mur qui comprend cinq grandes portes. En 1225, le prince-évêque de la ville Heinrich von Thun entreprend de faire construire le premier pont fixe sur le Rhin. Ce sera le seul pont entre Constance et la mer qui permettra, durant 600 ans, de traverser le fleuve à pied sec, sans transbordement de marchandises. Il contribua à l'essor économique de la ville. Mais malheureusement, deux catastrophes interrompent cette évolution prometteuse : une

m'apparaît bien plus appréciable que d'être nommée première de toutes les autres. Trois cent soixante années ont passé pour l'ancienne Rome depuis le règne d'Auguste Caesar, et la fin de ses jours était déjà en vue quand Constantin Ier le fils de Constance s'est emparé du sceptre et fonda la nouvelle Rome. » Entre le 8 et le 13 novembre 324, Constantin consacre le plan de la nouvelle ville, en traçant un nouveau périmètre qui lui donne une superficie trois à quatre fois supérieure à celle de l'ancienne

développée surtout par l'enseignement théologique de l'Université de Paris soutient la supériorité des conciles sur le souverain pontife et permet à Charles VII de s'imposer comme le chef naturel de l’Église de France, qui entre ainsi dans l'ère du gallicanisme : en 1438, la Pragmatique Sanction de Bourges limite les prérogatives papales et affirme la supériorité des décisions des conciles de Bâle et de Constance sur celles du pape [3]. Cet acte donne au roi la haute main sur la nomination des évêques et abbés

s'occupe très vite principalement du problème religieux. Il lutte contre l'arianisme. En 391 il réunit à Constantinople un concile oecuménique qui condamne l'arianisme. Théodose dépose la plupart des évêques ariens, ce qui se passe relativement bien, sans protestations. Défaite de l'arianisme = impression que Dieu n'aime pas les Ariens. Forme de répressions des persécutions de Constance II. Organisation de la foi nicéenne. Pour Théodose, le thème

faut dire que malgré le respect de la religion de l’empereur, les thèses Luthériennes remportèrent un grand succès par la clarté de sa doctrine mais aussi une certaine prédisposition à l’Allemagne à cause de ses divisions politiques depuis le concile de Constance. Au terme des trois jours, Luther ne se rétracte pas et retourne à Wittenberg sous sauf conduit impérial. Lors de l’édit de Worms, Luther s’adresse presque à tout l’empire qui est venu l’écouter. Il soutient devant Charles Quint ses thèses

inutile de procéder à une nouvelle élection, Grégoire VI étant encore le pape légitime (M.G.H., SS.,vii, 924), Odilon se tient sur une prudente réserve et se rapproche de plus en plus de l’empereur et de son pape auquel il prête son assistance dans son concile antisimoniaque où les Clunisiens jouèrent auprès de l’empereur le rôle d’animateurs (R. Glaber, I, v, 5). D’Otton Ier à Henri III, Cluny a assisté avec sympathie aux diverses interventions impériales en faveur de la réforme de l’Église. Il s’est

fut encore une alliance intime et complète entre la croix et le sceptre impérial. La religion chrétienne cessait à peine d’être proscrite, que déjà elle devenait protégée, puis dominante. Le successeur de Néron et de Dèce allait siéger au premier concile général, et recevoir le titre de défenseur des saints canons. Comme on l’a dit, la république romaine et la république chrétienne joignaient leurs mains dans celles de Constantin [1]. Seul chef, seul juge, seul législateur de l’univers, il consentait

tout-puissant, pourquoi laisse-t-il opprimer ses adorateurs? Justin expliqua que c'est la rage et la jalousie des démons qui est la cause des persécutions contre les Chrétiens, et que s'il n'y avait chez eux ni vérité ni vertu, inexplicable serait leur-constance dans les tourments. Si Dieu retarde la catastrophe qui doit bouleverser l'univers, ajoute-t-il, c'est à cause de la race des Chrétiens, en qui Il voit un motif de conserver le monde. Et il conclut : « Je suis Chrétien, je m'en fais gloire et, je