Conciles bouddhiques

1. Le pape dirige l’Église catholique. Il est élu par les cardinaux. 2. Le clergé séculier est au contact des fidèles. 3. Les membres du clergé régulier vivent dans des abbayes. 2. Le pape, les cardinaux et les évêques réunis en concile : Les conciles rassemblent tous les évêques autour du pape. Celui-ci les convoque pour prendre des décisions importantes concernant les croisades, les hérésies, le dogme, la vie de l’Église… Les papes les multiplient à partir de la seconde moitié du XIe

En effet, l’Église échappe à l'emprise de la féodalité en s'organisant autour du Pape de Rome, qui aura un rôle de tout autre ampleur. Le titre de Pape va apparaître au Vè siècle, à l'époque romaine, il sera au dessus des évêques et même des conciles, des groupement d'évêques. C'est une organisation qui sera comparée à une monarchie, car un homme est à la tête de cette institution. Cette institution s'est inspirée du pouvoir laïque, et le Pape dont son autorité ressemble à celle de l'autorité

la culture ». Le tout, bien sûr, par l’effort humain prioritairement, Dieu restant très accessoire (le 21ème siècle est pétri de cet humanisme dont bien des évangéliques sont infectés !). 3. Certaines théories conciliaires (décisions, canons des conciles), émanations du raisonnement humain, remettent en cause l’autorité papale, et poussent logiquement les hommes vers la démocratie et l’indépendance par rapport à l’opinion tyrannique du « Saint-Siège ». La conception optimiste des humanistes en

Mundium Rex francorum b) La patrimonialité du pouvoir Res publica Charles Martel Maire du palais Pépin le Bref (751-768) Pippinides Childéric III (743-751) Pépin de Herstal Charlemagne (768-814) B) La rareté des lois mérovingiennes Plaid Concile Référendaire Clotaire II (584-629) §3) L’éphémère renaissance de la législation carolingienne Capitulaire 9 A) La sacralisation du pouvoir des rois carolingiens a) L’avènement d’une théocratie royale 1) L’instauration du sacre Zacharie

chrétiens. Théodose II va aller beaucoup plus loin que Constantin. En 325, il y a eu un concile (réunion d’évêque) de Nicée, qui a été convoquée pour mettre fin aux dérives religieuses de l’époque. Il y avait des sectes et notamment une, l’arianisme qui nie la nature divine du christ. A côté, il existe encore toutes les autres religions et Théodose II voudrait imposer la foi chrétienne telle que définie au concile de Nicée en 325 à tout le monde. C’est l’objet d’un édit de 380, l’édit de Thessalonique

l'empire romain d'orient est riche culturellement, fort économiquement et le christianisme est beaucoup plus ouvert que dans l'empire romain d'occident. Plein de peuples ont adoptés la religion chrétienne mais tournée à leur façon. ( on parlera de concile plus tard) En 476, lorsque Rome tombe dans les mains des barbares, plein de royaumes barbares vont se former et tout le monde voudra l'héritage de Rome, c'est à dire que Rome était en quelque sorte la capitale du christianisme et tout les pouvoirs

La réaction de l’Eglise Comme à chaque hérésie, l’Eglise convoque d’abord un concile pour examiner la pertinence de l’hérésie. En fait, entre 1119 et 1215, ce ne sont pas moins de 7 conciles qui analysent et condamnent les thèses cathares ! 1 – La mission Comme on le voit, le combat est d’abord théologique et missionnaire. ‘’La foi doit être persuadée, non imposée’’ affirme Bernard de Clairvaux. ‘’Mieux vaut absoudre les coupables que s’attaquer par une excessive sévérité à la vie d’innocents’’

on serait bien obligé de le déposer." Non assurément, monsieur le cardinal. On veut bien adopter votre supposition chimérique qu'un de nos rois, ayant lu l'histoire des conciles et des pères, frappé d'ailleurs de ces paroles: Mon père est plus grand que moi, les prenant trop à la lettre et balançant entre le concile de Nicée et celui de Constantinople, se déclarât pour Eusèbe de Nicomédie: je n'en obéirai pas moins à mon roi, je ne me croirai pas moins lié par le serment que je lui ai fait;

bataille => il signe une paix avec les Goths en 382. Il en profite pour faire entrer de nombreux Goths dans son armée. Théodose s'occupe très vite principalement du problème religieux. Il lutte contre l'arianisme. En 391 il réunit à Constantinople un concile oecuménique qui condamne l'arianisme. Théodose dépose la plupart des évêques ariens, ce qui se passe relativement bien, sans protestations. Défaite de l'arianisme = impression que Dieu n'aime pas les Ariens. Forme de répressions des persécutions

Université de Savoie Bérengère GUERLEZ L2 Histoire – TD 1 Le concile de Reims 1049 « Ecclesia semper reformanda est », Saint Augustin Selon Saint Augustin, la réforme de l’Eglise doit être permanente et il semblerait que ses mots n’aient pas été vains puisqu’au XIème siècle, une nouvelle réforme fait son apparition : la réforme grégorienne. Portant le nom du pape Grégoire VII (1073-1085) en raison de l’immense rigueur avec laquelle il fait appliquer la réforme, celle-ci débute en réalité bien