Conclusion De La Démocratie Athénienne

d’agents sociaux, qui sont en lutte pour l’obtention d’un intérêt spécifique. Se constituent en champ les activités qui ont des enjeux, un fonctionnement, qui leurs sont propres. Il existe parmi les présupposés théoriques et idéologiques de la démocratie, une idée comme quoi il n’y a pas de coupure profonde dans le peuple entre ceux qui dirigent et ceux qui sont dirigés. Cette vision est fausse, puisqu’en réalité il y a une distinction nette et franche entre les citoyens qui n’ont pas de poste politique

théories sont contestées par la science actuelle, la pensée occidentale est redevable à Aristote des outils qu’il lui a donnés : il est notamment à l’origine du syllogisme, un raisonnement logique comportant deux propositions qui conduisent à une conclusion. De plus, comme Aristote aborde les sciences avec un esprit rationnel, toujours à la recherche des causes d’un phénomène, il est considéré comme le père de la démarche scientifique basée sur l’observation et l’expérimentation. Quant aux sciences

Sociologie politique Cours du 13 septembre 2013: féminin singulier: blog prof Plan du cours: I) Les fondements de la vie politique: le pouvoir, l'état, la démocratie. II) La vie politique en pratique III) Les paradoxes de la vie politique 1.Le pouvoir L'homme vie en commun et ne peut pas vivre en autarcie. Ainsi il faut qu'il y ai un soucis de l'existence qui concerne tout le monde. La politique garantie la vie en collectivité. De ce fait et plus explicitement, à quoi sert le politique

le phénomène de la corruption est fort car elle est en partie liée en la croyance de l’Etat. On arrive à des policiers qui ne font plus respecter la loi et louent leurs révolvers à des brigands.. Le monde social repose sur la croyance. | Conclusion de l’introduction : Comme l’écrit Jacques Lagroye, la science politique est une science sociale des pratiques humaines en tant qu’elle concerne l’édification de l’ordre politique. L’activité politique n’est pas quelque chose qui est donnée une fois

défendent contre les intrusions étrangères, qui maintiennent sa survie, son unité. On peut vouloir la civilisation, mais on doit répondre à ce qu’elle exige, ce que ne fat ni l’oligarchie spartiate ni la démocrate athénienne puisque l’oligarchie confie le pouvoir aux gens biens nés et que la démocratie le confie aux élus du peuple ignorant et versatile. C’est à la compétence qu’l importe de le donner. Mesures initiales: l’éducation des gardiens Ils doivent résister à leurs désirs, aux appétits sensibles

Terre ..................................... 6 Chapitre 1 La place des Européens dans le peuplement de la Terre........................... 6 THÈME 2 L’invention de la citoyenneté dans le monde antique ..................10 Chapitre 2 Citoyenneté et démocratie à Athènes (Ve-IVe siècles av. J.-C.) ...............10 Chapitre 3 Citoyenneté et empire à Rome (Ier-IIIe siècle) ..................................................... 14 THÈME 3 Sociétés et cultures de l’Europe médiévale du XIe au XIIIe siècle

Une origine religieuse. Le dieu Dionysos. Les dionysies. II. SUR SCENE Les acteurs. Les choreutes. Le décor. La représentation. Le lieu du spectacle. III. LES AUTEURS ET LES THEMES Les auteurs. Les thèmes. CONCLUSION LE THEATRE DANS LA GRECE ANTIQUE I.L’ORIGINE DU THEATRE. Une origine religieuse. C’est en Grèce que le théâtre à été inventé. Il est né de la religion et plus précisément du dithyrambe : le chant consacré à Dionysos. Ceci est toujours resté

Vème avant JC, la Grèce Antique est à son apogée. Le « siècle de Périclès » est la période ou culminent les créations architecturales, littéraires, politiques de l'Antiquité. Au Vème siècle fut défini et pratiqué un fonctionnement politique -la démocratie – mettant le pouvoir de décision également à la portée de tous les citoyens, l'égalité de chacun devant la loi y fut établie, Hérodote, le père de l'histoire, y écrivit son premier livre,... Autant de cadres conceptuels qui sont encore les nôtre

tenter de démêler certains des fils qui assurent la traduction d’un type de discours et de pratiques dans un autre. Avec un peu de chance, nous serions ainsi peut-être à même de faire apparaître des éclairages inattendus et d’esquisser quelques conclusions, au moins hypothétiques et provisoires. C’est le résultat de cette première enquête et de ces esquisses d’exploration que nous livrons au lecteur dans ce numéro. Il démarre avec deux textes qui nous semblent en bien résumer l‘esprit général en quelques

une souveraineté appuyer par une conscience de son caractère produit c.à.d. la conscience que le moi est une fiction, la personnalité est un rêve, une existence sociale, un mythe politique. L’être est donc fictif et forgé par des montages sociaux (démocratie, république, nation…) L’action sur la réalité consiste à utiliser des leviers dont le résultat est déterminer par la prise de conscience de la vacuité du coté de la subjectivité mais aussi du coté du pouvoir. Par conséquent, la mythologie du moi