Conclusion Le Proces De Nuremberg

l’ONU 2/ Garantir la liberté du commerce : le GATT (1947) C/ UNE NOUVELLE CARTE DU MONDE ET DE NOUVEAUX RAPPORTS DE FORCE 1. Le déclin de l’Europe et l’avènement de deux "super grands 2/ Des modifications territoriales très importantes Conclusion Introduction La Seconde Guerre mondiale (ou Deuxième Guerre mondiale) est le conflit armé à l'échelle planétaire qui dura de septembre 1939 à septembre 1945.elle est la résultante du règlement insatisfaisant de la Première Guerre mondiale

l’argument souvent entendu au tribunal de Nuremberg : je n’ai fait qu’obéir aux ordres et aux lois de mon pays ? L’Etat d’Israël ne décerne-t-il pas le titre de Juste parmi les Justes à ceux qui précisément ont désobéi à la loi (qui autorisait et encourageait la persécution, la déportation et l’extermination des juifs pendant la deuxième mondiale) et sauvé la vie de juifs ? Référence à la notion de « Crime contre l’humanité » forgée pour le procès de Nuremberg + le cas Eichmann (manuel p. 442 -443)

psychologique 5. Bilan moral 6. Bilan par pays a) Allemagne 7. Bilan géopolitique et stratégique 8. Bilan politique 9. Bilan démographique et social 10. Bilans économique et financier 11. Bilans scientifique et culturel CONCLUSION INTRODUCTION 1945 se présente comme une rupture fondamentale dans l'Histoire du XXème siècle et constitue le départ d'une ère nouvelle. C’est l’heure des bilans, des règlements de comptes. La carte de l’Europe est profondément modifiée. La

législateur (la loi) modifie un texte et décide que cette loi s’appliquera au procès en cours. si le législateur ne peut revenir sur un jugement déjà rendu, en revanche il peut décider de modifier une loi et décider qu’elle sera applicable au procès en cours. la chose n’est pas encore jugée, le législateur peut donc encore parfaitement décider qu’une réforme s’appliquera immédiatement, y compris aux affaires en cours de procès. On en a eu un exemple avec l’affaire Perruche. La cour de Cassation (institution

réfractaire en marge de la communauté internationale. L'humanité entière est révulsée par la barbarie, et un régime criminel ne peut, moralement, asseoir sa légitimité sur la seule souveraineté de l'État. Les tribunaux militaires internationaux de Nuremberg (1945) et de Tokyo (1946) ont manifesté la valeur de ce raisonnement. Dès 1950, l'Assemblée générale des Nations unies a créé un comité chargé de rédiger le projet de statut d'une juridiction pénale internationale permanente. Mais la guerre froide

« malades héréditaires » et les « criminels irrécupérables et dangereux ». La « communauté scientifique » (psychiatres et anthropologues) accepte majoritairement ces mesures. C’est en tenant compte de ces jalons que l’on peut aborder les lois de Nuremberg et les inscrire dans le cadre d’une évolution intellectuelle qui dépasse le seul régime nationalsocialiste. C’est dans ce cadre également qu’il faut situer les législations d’exclusion qui s’accumulent à partir de 1936 (relatives aux « asociaux »)

du totalitarisme et Levi-Strauss témoigne d'une préposée « nature » humaine identifiée à la race qui dénature l'homme par nature, être perfectible, mais aussi capable de défigurer et de se défigurer dans la « banalité du mal » ( Arendt) Je pense au procès de d'Adolf eichman en 1962 qui déclare en tout impunité de cause le fait qu'il est ordonné le transferts de millions de juifs vers les camps d'extermination autrement dit, vers une mort assurée. Mais est-ce que le fait de s'occuper en l'occurrence

souverains dénoncent les atrocités commises au cours des années 1915-1916 dans l’Empire ottoman. Le crime contre l’humanité, bien qu’il ne fût seulement considéré comme une notion proprement juridique en 1945 dans le statut du Tribunal militaire de Nuremberg, s’applique parfaitement au cas du sort subit par les Arméniens. En effet, il est défini comme une infraction criminelle comprenant l'assassinat, l'extermination, la réduction en esclavage, la déportation et tout acte inhumain commit contre une population

millions d'adhérents. Culture de masse, démocratisation de la culture, radios, journaux, cinéma : servent à la propagande. Mussolini met fin à la rupture avec le Vatican en 1929 (accords du Latran) : le catholicisme est la religion officielle. Conclusion 1) et 2) : Adhésion à Mussolini plus qu'à ses idées de 1922 à 1939. Minorité de vrais fascistes. On dénote quelques oppositions : des fuites, l'Encyclique de Pie XI en 1937. 3. Le contrôle de l'économie Anti-communisme, et anti-capitalisme

génocidaire de ses actes. Ces dernières sont donc clairement responsables du processus de banalisation du mal. Il s’agit aujourd’hui d’exécuter sa tâche sans se poser la question des conséquences. Et c’est clairement ce que nous avons pu constater avec le procès d’Eichmann. Chacun doit assurer son poste, son travail : « Le geste appris ne change pas, seule sa conséquence n’est plus la même »[9] 2) Raison instrumentale contre raison authentique Nous avons alors une raison instrumentale via