Conclusion Le Proces De Nuremberg

VLAD CONSTANTINESCO La responsabilité de la Commission européenne : la crise de 1999 S O M M A I R E JEAN-JACQUES HEINTZ ET HAFIDA LAHIOUEL Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie : des problèmes… une réussite ROBERT BADINTER De Nuremberg à la Cour pénale internationale VÉRONIQUE PUJAS Carences et nouvelles dimensions de la responsabilité politique : éléments de politiques comparées CHRONIQUES 133 155 165 DIMITRIS KOTROYANNOS Le libéralisme de Leo Strauss LAURENT LADISA

inacceptables en plein 21ème siècle ? Qu’est-ce qui justifie ce silence ? Des questions que l’on peut se poser avec courage et abnégation, sans partie pris et arrière-pensée. Convaincu que la communauté internationale, engagée depuis les tribunaux de Nuremberg et de Tokyo, à lutter contre l’impunité se trouve face à un défi, celui de prouver à l’humanité que nul ne peut se soustraire des crimes dont il se rend coupable dès lors qu’ils ébranlent le globe» il ya lieu de penser à un secret de polichinelle ;

nouvelle notion juridique – Le « Crime contre l’humanité » - est spécifiquement définie pour juger ces crimes : -A Nuremberg entre novembre 1945 et octobre 1946, pour juger les criminels de guerre nazis. A l’issue de procès, sur les 24 accusés, 12 sont condamnés à mort puis exécutés. -A Tokyo entre janvier 1946 et novembre 1948, pour juger les criminels de guerre japonais. A l’issue du procès, sur les 28 accusés, 7 sont condamnés à mort puis exécutés. Un monde à reconstruire sur de nouvelles bases

août 1945), retrouve sa puissance et son influence passées.  Elle obtient l’un des sièges permanents au conseil de sécurité de l’ONU, occupe et gère l’une des quatre zones d’occupation de l’Allemagne libérée et participe pleinement au procès de Nuremberg (novembre 1945 – octobre 1946) qui a la lourde charge de juger les principaux responsables nazis. Document 3 : Affiche de l’Association des victimes du nazisme 1945 Manuel de Terminale Bordas 2008 3 Cette affiche illustre les

recevoir un visa de censure délivré par le parti. C'est le parti qui organise les grandes manifestations publiques, sportives et culturelles comme les défilés. Il est chargé d'exalter la personnalité du chef. C'est ce qui se passe lors du Congrès de Nuremberg avec le discours de clôture d’Hitler qui marque son apogée. Le parti est chargé d'organiser la surveillance de la population. Pour cela, il met en place un système de terreur. C'est un aspect essentiel du totalitarisme. La population est maintenue

73-74 Section II : Une réorganisation des mécanismes alternatifs 74 Paragraphe I : Une meilleure redéfinition du fondement des commissions de vérité 74-75 Paragraphe II : Une fixation de la plénitude des mécanismes non juridictionnels 75-77 CONCLUSION GENERALE 78-80 BIBLIOGRAPHIE 81-86 TABLE DE MATIERES 87-88 ANNEXES REMERCIEMENTS Je rends grâce à ALLAH, l’Unique. Maître de tout commencement et de toute fin ; Il est Omnipotent sur tout. Je tiens en premier lieu, à remercier mon

mêmes images. La continuité du moi change t’elle ? Ou bien est-ce seulement les variations du « je » au cours du temps ? Enfin, l’homme n’est pas seulement dépendant des autres mais aussi de la société dans laquelle il vit. Les bilans des procès de Nuremberg montrent que certains SS étaient sous des « ordres » et que donc ils n’étaient pas eux-mêmes (Le livre de la déportation de Marcel Ruby). La société peut donc avoir elle aussi un effet dépersonnalisant. Les médias, la propagande peuvent agir

qu’il mette sur le même plan la collaboration et la Résistance. MAIS de Gaulle n’a jamais nié publiquement la parabole des deux cordes. Il avait d’ailleurs demandé, au moment de la Libération, le pardon pour Pétain et avait tenté de lui éviter le procès. On peut évoquer des raisons personnelles mais le général cherchait aussi à faire porter le chapeau des excès de l’épuration aux seuls communistes. Si en 1940, Pétain représente pour de Gaulle l’adversaire, il constitue en 1950 une arme (à double-tranchant)

Prétendre que je suis responsable de moi et des autres, c’est un bon principe de vie. En effet, si tout le monde essayait d’être un exemple pour les autres, chacun s’abstiendrait des actes malfaisants, une plus grande harmonie sociale régnerait. En conclusion, on comprend que les hommes renoncent à leurs liberté car cela consiste à fuir cette responsabilité que nous avons tous vis-à-vis des autres : On ne veut pas faire le chois du meilleur mais seulement faire ce qui nous arrange sur le moment sans

loi impose donc un certain code de comportement dans les démocraties, quels sont donc les impacts? PARTIE II/ Les impacts de la loi A)Importances L’importance de la loi semble pourtant remise en cause et connait des limites. B)Limites CONCLUSION Nous avons pu constaté au travers de l’étude de la notion de « loi », que sa définition en elle-même pouvait varier selon les interprétations. Ainsi, elle regroupait de très vastes domaines d’applications, ce qui implique un grand impact sur la