Conclusion Le Renard Et Le Bouc

Rimes variées : 2 rimes plates suivis (V.1-2)(V.15-16) ; Rimes embrassés (V.3-6) ; rimes croisées (V.10-14). * Variété entre le mélange récit-dialogue. L’auteur alterne entre narration et discours. Trois passages au Discours Direct ( Le Lion, Le Renard, L’Ane ). L’auteur vari aussi la manière de rapporter les paroles. On a aussi du discours narrativisé ( résumé des propos sans rompre le récit ) (V.55-56) on a même des passages au DIL, les paroles sont rapportées telles quel mais sans guillemets

(fils du roi) et le Duc de Bourgogne (petit fils de louis14) Représente un théâtre de l'univers avec personnages du + puissant au + faible. PROBLEMATIQUE : Comment La Fontaine parvient - il à faire de cette fable un texte argumentatif ? CONCLUSION : L.F type ses perso. et les ancrent dans la réalité de son époque. Construsion de la fable comme une tragédie. L.F apparait comme socioloque moderne mais pessimiste dans sa vision de la société du 17ème. C'est un texte argumentatif car L

Prise de parole par ordre hiérarchique. -Animaux possèdent tous des caractères personnels identifiables qui renvoient à certaines classes de la société : Lion, puissant, féroce habile « Le lion tint conseil »  roi puisqu’il est aux commandes ? + Renard, rusé, flatteur (voc de la flatterie + formules superlatives mélioratives)  courtisan du roi. + Loup, juge, membre du clergé qui reconnaît les péchés « quelque peu clerc »  Juge, clerc. + Ours et Tigre, puissants forts  aristocrates + Ane, naïf

conseil': définit règles du jeu. • Renard : ruse, flatte le roi, relativise péché du roi en les honorifiant • Loup : beau parleur ('quelque peu clerc, prouva par sa harangue'), prononce le réquisitoire et accable l'âne pour ne pas avoir à s'accuser ensuite + insulte = cruauté (discours indirect libre) • Tigre et Ours : puissance, représente la société aristocratique • Âne : bêtise, naïveté, honnêteté => douce et innocente proie • Dans le discours élogieux du renard les moutons sont les représentants

d’un faux dévot (faux croyant), maître en belles paroles, qui réussit à atténuer ses crimes en s’en accusant. 2. L’âne : - Lui, il correspond bien à l’image traditionnelle qu’on en donne : il est bien peu malin, beaucoup moins que le renard. En effet, il s’accuse d’un crime qui n’en est pas un, et qui, au regard des autres méfaits, n’est qu’une broutille ! (v.49-54). - Cependant, et alors même qu’il apparaît comme le moins coupable, c’est lui qui est immédiatement accusé. Donc

des petits, prennent sérieux discours Roi, Cour et ne savent réagir contre injustice. • Ironie et détour par animaux permettent protection car seul destinataire attentif comprend critiques. Conclusion :  LF utilise tous ses talents conteur. Interventions successives différents animaux, Lion, Renard puis Ane, tous représentant classe sociale, constituent pour beaucoup à servir la morale. A fin fable, ellipse avant chute moralité : on ne sait si peste va disparaître avec sacrifice innocent mais

scientifiques, n'apprennent ni à lire, ni à écrire!) Conclusion: We do understand easily thanks to these clues that LF is serious. B) Importance et interet des arguments A1: LF va démontrer que les enfanrs préfèrent les petites histoires avec les animaux, qu'une matière aussi sérieuse que l'histoire (Romaine) => Pertinance de l'argument qui s'appuie sur un exemple précis et qui met en scène un enfant qui doit passer par Crassus, où le Renard et le Bouc. LF recours ici à un raisonnement inductif.

64 vers, alternance d’octosyllabes et d’alexandrins, présence d’un trimètre (« Le Berger », vers 29). • • • • • • • Exposition, v. 1-14 prise en charge par le fabuliste ; Conseil et discours du Roi Lion (15-33) ; immédiatement suivi du discours du Renard (34-42) ; reprise du récit (43-48) discours de l’Âne (49-54) reprise du récit et dénouement (55-62) morale (63-64) plutôt brève au regard de la longueur de la fable. De la composition aux pistes d’interprétation • Comme toujours chez La Fontaine,

peuvent s'exprimer sans contraintes sous peine de s'attirer la colère du roi. En témoigne, dans La cour du Lion « ...dis le moi :parle sans déguiser (Le Lion). L'autre (Le renard) aussitôt de s'excuser, Alléguant un grand rhume: il ne pouvait que dire Sans odorat »(l29-32). Le roi fait une redondance pour connaître le point de vue du Renard, mais celui-ci afin de ne pas prendre de risque, ment. Le manque de liberté d'expression est donc bien mis en évidence. Parallèlement on retrouve cette critique dans

Sophocle Œdipe roi « Achéron » (V5) * Fable écrite dans un style noble par l’utilisation d’alaxandrins C] Le dénouement sacrificiel * Dénouement tragique aussi car l’âne est vulnérable ; il devient pathétique car seul herbivore devient bouc émissaire « maudit animal » (V57) « crime abominable » attitude blasphématoire (brouter le pré d’un moine) transgressé commandement divin II] Une parodie de procès A] Procès bien structuré * Véritable tribunal « conseil » ; CL justice