Conclusion Le Renard Et Le Bouc

enfin les argumentations détournées du lion, du renard et du loup. Tout d’abord, La Fontaine délègue la parole à des animaux. Nous assistons à la confession d'un lion, au plaidoyer d'un renard, au réquisitoire d'un loup et à la condamnation d'un âne. Par ce procédé, l'auteur détient une plus grande liberté d'expression, très limitée à cette époque de censure. Un lecteur averti peut aisément reconnaître le monde de la cour avec les courtisans (le Renard), les avocats (le Loup) ; à sa tête le Roi (le

ce flot d’injures contraste totalement avec le péché qu’a commis l'âne, son péché étant seulement d'avoir brouté de l’herbe, tous les animaux se retournent contre lui ayant trouvé leur bouc émissaire, l'âne ayant pris les paroles du roi comme quoi

acteurs -Définition de la fable (court récit fictif qui expose un enseignement moral, donc cf ici deux derniers vers, et sous forme allégorique) •Les personnages ont des caractères personnels identifiables (énoncer signification du Lion, Renard, Âne, Tigre et Ours) àarchétypes. La Fontaine a recours à la fable pour critiquer le pouvoir et la justice afin d’éviter toute censure. II - Une scène critique de la justice et du pouvoir 1) Le pouvoir : le roi et les courtisans •Personnages

c'est l'homme qui transparaît ; soit de manière explicite, soit implicitement, dans les rapports des animaux entre eux. λ Une société toute entière Qui a ses grands, son roi (le Lion), sa reine (la Lionne), ses courtisans (le loup, l'ours, le renard, le singe), et ses petits, toujours faibles, méprisés, et qui ne peuvent échapper aux abus de pouvoir que par la ruse : l'âne, trop honnête et naïf des "animaux malades de la peste" doit périr ; le cerf plus lucide des "obsèques de la Lionne" s'en

ensuite « ils » v. 7, « tous » (même vers) > faune animalière importante> idée d’une masse. Flou dans les animaux, les précisions viennent ensuite. Enumération et passage en revue : « ni loups ni renards », « les tourterelles » (v. 11 et 12), le « lion » (v. 15), « force moutons » (v. 27), « le renard » (v. 34), « »Du tigre, ni de l’ours, ni des autres puissances » (v. 45), « aux simples mâtins » (v. 47), « l’âne » (v. 49), « Un loup » (v. 56). > des animaux topiques des fables du fabuliste, > déjà

La fontaine répond aussi au goût classique qui est de plaire : les animaux sont stylisés → a chaque animal va correspondre un type humain. Par exemple, le lion symbolise le pouvoir car il connote la force, de même que l'ours et le tigre (v.45), le renard symbolise la ruse. Le loup est également évoqué, il connote la cruauté. L’âne est le dernier animal a entrer en lice, il connote la candeur et la bêtise. → Cette transposition animalière est une façon imagée de rendre compte des rapports de force

fables I.2:Morales et récits  I.3:La désignation des personnages, et autres difficultés liées à la lecture des Fables De La Fontaine  I.4:Les séquences dialoguées : la polyphonie des fables et la fonction persuasive I.4.1:Le corbeau et le renard et la persuasion I.4.2:Le loup et l’agneau et l’argumentation II : Ecrire  II.1:Réécritures  II.2:Transpositions génériques II.3:Continuations  II.4:Imitations  II.5:Copies III : Dire les fables  III.1:Lire à haute voix, seul ou

réel raisonnement. De plus, le discours du renard n’a aucun contenu informatif , il répète 3x la même chose, il fait preuve de flatterie absolue, c’est une parodie de l’absolution. Il emploie l’infinitif de narration qui crée un raccourci narratif. Enfin, les autres emploient un discours narrativisé. Finalement, l’âne est dans le registre de la modestie, de l’humilité et presque de la sainteté cela crée un antithèse avec la surenchère royale. L’âne est un bouc émissaire et sa prise de parole de représente

Le premier recueil de fables parut en 1668 chez Barbin, les illustrations étaient de François Chauveau, le meilleur spécialiste de l'époque. Il se composait de 124 fables, réparties en 6 livres, avec une introduction (la dédicace en vers), et une conclusion (l'épilogue), qui ne correspondent pas forcément à l'ordre dans lequel les fables avaient été écrites. Il fut dédié au fils aîné du roi Louis XIV, le Dauphin, âgé alors 6 ans. "Lecture agréable, mais aussi utile et sérieuse". Ce premier recueil

chemin, quelques fois le lui laissant ouvrir » l.20 Métaphore chemin/savoir = renvoi à l'apprentissage autonome. II)Conclusion : Texte polémique dans lequel Montaigne remet en cause l'éducation traditionnelle et en propose une autre : système du précepteur. Texte direct : Montaigne s'adresse directement au lecteur. Thème principal : l'éducation. exemple de Conclusion : La vision de Montaigne sur l’éducation est une vision humaniste et nouvelle. Elle se base sur les qualités d’un bon