Conclusion Les Contemplations

contrat A) L'existence de la cause L’obligation sans cause, ou sur une fausse cause ne peut avoir aucun effet. L’on ne s’engage pas du seul fait de la volonté, l’on s’engage pour atteindre un objectif, une cause. Il faut se placer au moment de la conclusion du contrat pour rechercher si l’engagement est causé. Lorsque l’on recherche à déterminer si l’obligation a une cause objective. Le contrat doit présenter un intérêt réel pour celui qui oblige et le juge contrôle si l’obligation à un fondement

dimensions de façon encore plus profonde. Et enfin, dans le troisième, nous aborderons les thèmes et la pratique de la méditation et de la contemplation, avec l’aide des mystiques comme Saint Jean de la Croix. Les deux premiers chapitres ne proposent pas de chemin spirituel particulier, le troisième expose l’expérience de la méditation d’inspiration orientale et la contemplation qui est résolument chrétienne. On sera tout à fait libre de s’arrêter si ces thèmes contredisent ses convictions profondes.

pour pouvoir partagé ses sentiments. Dans cette deuxième partie nous verrons que les poètes ont besoin de la souffrance pour traduire leurs désespoirs et pour pouvoir s’en libéré comme Victor Hugo dans le poème « Mors » était du recueil Les contemplation. Ce poème est lourd en émotion car on peu pensé que Hugo parle de la mort de sa propre fille : « Rends-nous ce petit être. / Pour le faire mourir, pourquoi l'avoir fait naître? » . De se poème se dégage donc une amphotère très triste mais on peut

commentaire: introduire l’idée avant de présenter la citation qui la justifie. Reliez le procédé de style, le registre à l’idée qu’il soutient ou à l’effet qu’il produit sur le lecteur. Ne séparez pas le fond de la forme. Soignez les transitions 3. La conclusion Elle est la synthèse de l’interprétation proposée. Ainsi, elle rappelle les impressions dominantes dégagées par le commentaire, elle montre en quoi le passage est représentatif de l’art deElle présente le texte et annonce le déroulement du commentaire

présentation des différents thèmes de son œuvre, une interview imaginaire avec Victor Hugo et pour finir une petite anthologie consacrée à cet auteur. Pour finir, nous avons la conclusion et la bibliographie. 5 Développement : a) Notice biographique : Victor Hugo est une des plus grandes personnalités françaises, pour ne pas dire la plus grande, du 19ème siècle. Il est né en 1802 à Besançon et est fils d’un général de

veuve ( le père de Baudelaire est mort 6 ans après la naissance de son fils), et avec qui Baudelaire avait une relation fusionnelle. Sa mère est entre autre présente dans le poème A une passante. Aussi nous pouvons citer le livre I du recueil Les Contemplations (1856) de Victor Hugo. Dans ce livre, l’auteur évoque son expérience dans la vie e mais aussi dans la poésie: ses premiers émois d’adolescent dans le poème Lise, ses souvenirs de collège dans le poème A propos d’Horace ou encore ses premiers luttes

n'apparaît que plus claire. La théorie s'oppose traditionnellement à la pratique et désigne selon l'étymologie la vision purement intellectuelle ou la contemplation en dehors de tout action. Le moment théorique de l'acquisition de la conscience de soi désigne donc très précisément un moment distinct de la pratique, un moment consistant dans la pure contemplation de l'intériorité. Mais à y regarder de plus près, le texte est plus précis, plus construit qu'il n'en a l'air à la première lecture. Cette prise

eu la révolution industrielle et c’est dans cette période que paris change. Victor Hugo qui a écrit ce poème est un célèbre poète du 19ème siècle, c’est le chef de fil du romantisme. Ce texte « j’aime l’araignée » est un extrait du recueil Les Contemplations publié en 1856, il appartient plus précisément au livre III de son œuvre  qui a pour titre Les Luttes et les Rêves. Le poème étudié est composé de sept quatrains qui sont en rimes croisées et les vers sont soit soient en décasyllabes soit composé

(1937) . L’œuvre de Victor Hugo, Melancholia, représente des enfants agenouillés exécutant des corvées devant des roues mécaniques crachant de la fumée. L’auteur cherche à dénoncer, par cette et gravure et son poème de son recueil Les Contemplation, l’exploitation des enfants au XIXe siècle. L’œuvre suscite la pitié du spectateur et, également, du lecteur, car l’auteur, dans son poème, dénonce le travail des enfants en implorants la pitié de Dieux, par les paroles des enfants. .

musée et la conférencière nous accueille. Nous montons plusieurs escaliers et arrivons dans une salle où de trouvent plusieurs ouvrages d’époques de Victor Hugo. On peut trouver « Dernier jour d’un condamné », « Notre dame de Paris »,  « les contemplations », et « Claude Gueux ». Nous entrons dans un salon « rouge » et parlons de notre lecture des Misérables. La conférencière nous explique quelques détails de la vie au 19ème siècle au temps des Misérables et nous dit qu’une femme avec