Conclusion Les Contemplations

recueil de poésie, Les Contemplations, Victor Hugo dénonce le travail des enfants à travers un langage poétique exceptionnel. Plus près de nous, Eluard, dans Liberté, dont le texte est parachutés par les avions anglais à des milliers d'exemplaires au-dessus de la France, s’appuie sur des éléments naturels (nuages, champs, mer, bateaux, chien, vitre …) comme autant de moyens de diffuser le mot Liberté et amplifier ainsi son pouvoir d’inciter à la révolte. En conclusion, le monde réel et la poésie

Idée 3: les passions peuvent être libres. ce n'est pas la contemplation intellectuelle qui nous fait vivre, mais la satisfaction de nos passions. Ce qu'il faut, c'est ne pas subir ses passions comme une fatalité. La psychanalyse nous apprend à éviter certaines passions qui sont mauvaises et à en cultiver d'autres qui sont bonnes. Pouvoir librement et moralement satisfaire ses passions, tel est le secret du vivre. Conclusion: l'homme n'est pas libre. Si l'action ne peut pas le faire vivre

Corps du sujet: le poète exprime son désir d’arrêter le temps qui fuit : Présence de deux participes passés (« poussés », « emportés ») présence des deux termes « éternels » et « sans retour » montre que le temps passe, inexorablement. La contemplation du lac qui fait naître cette réflexion, et le souvenir l’envahit. Il est submergé par ses états d’âme. Il a des sentiments vagues. Au vers 3 et 4, le poète utilise une métaphore qui sera filée dans tout le poème, métaphore sur le temps, sur

saisir ». Ce changement est l’élément déclencheur d’une impulsion qui la pousse à s’engager dans une course folle à travers les rues du village algérien. Elle s’arrête lorsqu’elle n’a plus de souffle, pour contempler le paysage nocturne. Cette contemplation lui apporte soudainement beaucoup plus qu’un simple paysage, et son expérience se termine lorsqu’elle rentre « avec milles précautions (…) se glissant sous ses draps ». 2. Quels sentiments éprouve Janine dans cette nouvelle ? Les sentiments

Laurent lui parlait d’une voix tranquille. Ce qui laisse à penser que Thérèse reste indifférente a l’égard de laurent . Puis aux files du temps on perçoit que Thérèse ressent une attirance, émerveillement envers Laurent. Thérèse ressent une contemplation et des frissons envers Laurent. Elle est placide. Mais Thérèse reste bouche bée devant la carrure de Laurent elle n’avait jamais vue un homme. Elle reste étonnée devant son animalité. Elle voit en Laurent l’homme viril, puissant et fort. Thérèse

rapporte l'expérience décevante de son séjour à Rome. Son célèbre sonnet « Heureux qui comme Ulysse » montre la nostalgie du pays natal : « Quand reverrai-je, hélas ! de mon petit village/ Fumer la cheminée […] ? » De même, dans le recueil des Contemplations, Victor Hugo consacre de nombreux poèmes à la douleur qu'il éprouve à la suite de la mort de sa fille. Le « je », rythmant la plupart de ses poèmes, renvoie bien à l'artiste souffrant et cherchant à communiquer sa souffrance : « je pleurai trois

singulier, employé ici dans sa forme dite de politesse, et alors il serait adressé au tableau lui-même ? A une tierce personne ? Au lecteur ? Au peintre Watteau ? Acceptons la seconde hypothèse et nous pouvons alors parler d'un soliloque né de la contemplation d'une œuvre picturale, en l'occurrence celle du peintre Watteau, artiste qui, avec Boucher, Fragonard et d'autres, a traduit avec sa sensibilité l'insouciance et la légèreté du XVIIIème siècle. a) Un paysage organisé, festif. Par l'emploi du

fonctionnalités de l’âme pour permettre l’excellence de chacune d’entres elles, car toutes dépendent des autres pour exceller. Ainsi, l’harmonisation de toutes les fonctions, maîtrisées par le philosophe, permettent une psyché saine. Avec ceci, la contemplation du bien est possible et le but de l’équilibre est atteint, soit de contempler le bien. Le philosophe peut donc permettre le développement de l’homme et, par sa compréhension des fonctions, être le roi-philosophe. En effet, le philosophe doit

mariant. Tout d’abord, le verbe mélioratif «admirer» propose la contemplation de ce qui est magnifique, dans ce cas, la compassion qui habite Arnolphe. De plus : «Je puisse me louer de l’acte que je fais.» le sens dénoté du verbe «louer» renvoi au fait qu’Arnolphe accomplit un acte d’une grande générosité donc il pourrait se féliciter éternellement. Bref, Arnolphe démontre à Agnès à quel point son humanité est supérieure. En conclusion, Arnolphe utilise l’antithèse de leurs statuts sociaux ainsi que

un de ses plus célèbres poèmes Demain dès l'aube.., qui est en est le 14ème de Pauca meae (quelques vers pour ma fille), livre quatrième de son receuil autobiographiques du souvenirs, de l'amour, de la joie mais aussi de la mort et du deuil Les Contemplations. Il écrit donc ce poème pour sa fille décédée quelques années plus tôt dans lequel il semble partir retrouver une personne. Dans ce poème nous montrerons qu'il s'agit d'un récit riche en suspens, puis nous étudierons l'expression du sentiment