Conclusion Les Contemplations

Chapitre 4 : Quelle est l’origine des notions de bien et de mal ?Introduction : La morale selon l’opinion commune a mauvaise réputation. Pourquoi ? Parce qu’elle est souvent liée à des repressions, des interdits. « Faire la morale » ce n’Ets pas positif. Propos moralisateurs est également connoté comme péjoratif. Toujours dans l’aspect négatif de la morale ; parait extrêmement lié à la religion. Or, la religion et la morale sont discréditées car ne respecteraient pas la liberté humaine. Distinction

diriger le futur au nom d’un idéal hypothétique . De l’autre côté , c’est non pas l’action et l’avenir qui nous donne foi dans la rationalité mais la contemplation du passé et la négation de l’action réduite à la passion qui éclairent la rationalité du devenir . Ne pourrions –nous pas dépasser cette contradiction et admettre que la contemplation du passé soit désormais suffisante pour nous permettre une action réelle sur l’avenir ? La science authentique n'a-t-elle pas une efficacité sur la nature

que la mort a fait disparaître. Enfin, Alfred De Musset prouve son amour et sa fidélité à son meilleur ami, qu’il considère comme son frère. C’est alors, un amour puissant et éternel qui uni Alfred à son ami, tel un membre de sa famille. En conclusion, cette anthologie m’a permis de montrer les diverses perceptions de l’amour à travers les poètes du XIXème siècle mais également d’approfondir mes connaissances sur les deux tendances(romantisme et symbolisme) et les poètes qui figurent dans celle-ci

Huysmans nous montre la mutation des sentiments supposés en déception, que ressent Durtal pendant ce trajet en fiacre jusqu'au domicile de sa maîtresse, Madame Chantelouve .Ce n'est pas ce qu'il s'était imaginé et ce trajet perd tout intèrêt . En conclusion : on peut dire , en effet , que ces 3 extraits reflètent des déceptions, des illusions perdues, de l'amertume et ce titre pourrait s'appliquer aux 2 extraits ( Flaubert et Huysmans ) , une réserve pouvant être faite au texte de Maupassant qui laisse

ne peut vouloir que je me trompe quand je suis certain d'être dans le vrai. La certitude des idées claires et distinctes est ainsi garantie par ce Dieu vérace. Voilà, pense Descartes, tout l'édifice de la connaissance fondé sur des bases solides. Conclusion : L'erreur vient des sens et de l'imagination. Il faut prendre la raison pour guide. Innéisme et dualisme Le fait que le cogito me révèle mon existence comme pur être pensant entraîne deux conséquences : L'innéisme : le point de départ

l’homme en vient-il à dépasser le simple fait d’être-là et à se constituer  pour soi  ? Pour y arriver l’homme procède suivant deux types d’action : les unes « théoriques » (Hegel prenant le terme en son sens grec de « contemplation », de réception dynamique), les autres « pratiques » c’est-à-dire suivant une action visant à transformer le réel, à le modifier : ce qu’on pourrait appeler  la fabrique  de l’histoire ou, plus modestement et plus justement

choses nous sont offertes gratuitement et par ailleurs le commun des hommes dont je fais parti me pousse à courir, à me livrer à mille activités ou je ne peux plus rien contempler. Alors j'accumule des savoirs mais sans que cela débouche sur la contemplation. Je suis bien sûr comme le disait si bien mon parrain à « l'aube de ma vie », et j'ai encore toute une route à parcourir et, arrivée au bout je rêve de moi même assise a côté de ma petite maison de campagne. Mes petits enfants joue dans la

le matérialisme bourgeois qui émerge dans la société nouvelle. Ils dénoncent son avidité et cherchent dans le sentimentalisme une alternative à cet avenir. Se révolter ou mourir paraît être le cri des romantiques. La Nature : La contemplation de la nature inspira bon nombre de romantiques. Elle leur permit de révéler leur grande sensibilité. Mais à travers cette attitude contemplative, les romantiques découvrent une autre souffrance, celle de l'infini, qui leur font prendre

le XVIII ème siècle, la poésie renouvelle sans cesse ses sources d'inspiration. La vieillesse, la pauvreté mais ici la laideur son vu sous un autre jour. Ce corpus de textes présente le poème «j'aime l'araignée» de Victor Hugo tiré du livre Les Contemplations parut en 1856. Francis Ponge présente son poème intitulé «L’huître» tiré de son recueil Le Parti pris des choses datant de 1942 . Guillaume Apollinaire nous expose son poème «La Chenille» tiré de sa compilation Le Bestiaire datant de 1918 et enfin

multipliant, agite, tourne Mais aussi de la nature qui bouge : eau courante, la vague, le vent L’histoire : deux amants se promènent et croisent une charogne, une chienne s’étant sauvé guette le moment de revenir se saisir d’un morceau de sa proie. La contemplation de l’animal en décomposition devient le prétexte une réflexion sur la mort et le temps qui passe. Le récit : le poète se remémore avec son amie, un jour d’été où ils virent une charogne au détour d’un sentier Morale : le poème de par sa forme