Conclusion Les Obsèques De La Lionne

Critique des cérémoniaux qui établissent une hiérarchie rigide : des courtisans déshumanisés, sortes de pantins mécaniques. * Abdication de toute individualité : un personnage collectif qui n’a pas d’âme (rappel de La Fontaine : « Les obsèques de la Lionne » : « On dirait qu’un esprit anime mille corps / C’est bien là que les gens sont de simples ressorts »). Ici, utilisation du pluriel : « ceux qui… », « les grands », « ils » ou d’un mot collectif (« ce peuple ») soumis à la volonté d’un seul

LES OBSEQUES DE LA LIONNE Intro JDLF : Le XVIIe siècle est un siècle majeur pour la langue et la littérature française en particulier pour les œuvres des moralistes et des fabulistes comme Jean de La Fontaine. Ce poète classique a particulièrement marqué le 17e siècle. A travers ses fables, Jean de la Fontaine fait passer un message et donne une leçon de vie. Il a pour but de plaire et d’instruire son lecteur c’est pour cela qu’il se dit moraliste et non moralisateur. En effet il illustre sa

futilité, les fables sont plus profondes qu’elles n’en n’ont l’air, comme l’explique Jean de la Fontaine dans son texte A Monseigneur de le Dauphin. En effet, elles nous font réfléchir sur la société, Les animaux malades de la peste et Les obsèques de la lionne de La Fontaine dénoncent tous deux la satire de la Cour, la flatterie et le fonctionnement de la justice, Le chêne et le roseau, toujours de La Fontaine, dénonce la loi du plus fort, mais aussi dans Le rat qui s’est retiré du monde Jean de

  Critique des cérémoniaux qui établissent une hiérarchie rigide : des courtisans déshumanisés, sortes de pantins mécaniques.   Abdication de toute individualité : un personnage collectif qui n’a pas d’âme (rappel de La Fontaine : « Les obsèques de la Lionne » : « On dirait qu’un esprit anime mille corps / C’est bien là que les gens sont de simples ressorts »). Ici, utilisation du pluriel : « ceux qui… », « les grands », « ils » ou d’un mot collectif (« ce peuple ») soumis à la volonté d’un seul

par certains adultes (;)), morale implicite).Après celà, je suppose que je peux en arriver à la conclusion mais dois-je dire ceci : "Oui parce que certaines sont lus aux enfants (la cigale et la fourmis, le corbeau et le renard (La Fontaine)) mais d'autres, Non, qui ne peuvent être comprises à cause du niveau de langage employés ou de la morale (Les animaux malades de la peste, Les obsèques de la Lionne (La Fontaine))."Ou ça ne va pas ?   semble que les fables aient été écrites pour les enfants

I L’art du récit 1.Rapidité,variété et l’enchainement des actions Le schéma narratif de l’histoire révèle une articulation des événements très maitrisée Sit initale: mort et preparation des obsèques de la lionne ( v1 a v16) avec digressions de l’auteur v11 et commentaire de 17 a 24 Element pertubateur: le cerf ne pleure pas (v25 etv28). Le narrateur explique sa conduite avec l’analepse v26-27 Péripetie:delation v29 et la condamnation a mort du cerf invention du songe( la reine l’a obligée

des fables aux enfants, c'est notre deuxième point . Effectivement quand une fable es bien lus et que le ton es bien pris, la différence entre la voix des animaux peut amuser les enfants. Par exemple dans le Lion et le Rat ( II,11) la dissonance entre la grosse et imposante voix du Lion et celle petite et peu impressionnante du Rat peu plaire aux enfants qui s'imaginent la scène. Ce qui nous amène a notre troisième et dernier point qui insiste encore plus sur le fait que les fable sont destinées

personnages cela donne alors une ambiance distrayante et détendue du texte. Ce choix est également utile pour éviter la censure car il critique souvent les membres haut placés de notre société. Chaque animal a toujours un caractére unique , exemple: le lion représente la puissance tandis que le renard la ruse et l'ane le pauvre etc... Ceci donne donc un aspect amusant du texte pour les enfants autant pour les plus agés qui s'interessent plus à quel personnage de la société cet animal fait référence. Des

circonstanciées, le plus souvent teintées d'humour. Alternance irrégulière de différents mètres (octosyllabes et alexandrins, par exemple), utilisant des effets complexes de rythmes, d'assonances et de rimes => rythme, dynamique.... Cf. « Les Obsèques de la lionne » ou « Le Singe et Le Léopard ». * Dépaysement : Zadig => action dans l'Orient lointain, à une époque imaginaire et antique. Exotisme qui rappelle les Mille et une nuits. « Du temps du roi Moabdard... » B- Simplicité de la lecture

se servaient du monde animal pour donner vie à de nombreux acteurs. Par exemple, Jean de la Fontaine fait appel à ce procédé dans ses fables, afin de critiquer la société. Ainsi, la fable « les obsèques de la lionne » se sert du lion pour attaquer le pouvoir absolu du roi.Il y met en scène la cour du lion caractérisée par son suivisme, son manque d'intelligence et son hypocrisie. Cette attitude fait référence au comportement réel des courtisans de l'époque. Il la décrit comme peuple singe, peuple