Conclusion Sur Les Poilus

1938, c'est l'Anschluss (annexion de l'Autriche par l'Allemagne nazie). Description : 1, Les éléments iconiques : Panneau de gauche :des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités. Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté

cette vie quotidienne sont à l’image de cette bataille particulièrement éprouvante. Les soldats doivent affronter me froid, la boue, la chaleur, l’absence d’hygiène (les rats et les poux insupportables). Cette situation situation leur vaut le nom de poilu. Ayant duré près de 10 mois, cette bataille aura un coût humain effrayant, au total elle causera 700 000 victimes, 30 000 morts et 400 000 blessés, sans procurer un avantage et une victoire décisive. Avec la bataille de la Somme qui se déroule

« ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de formes (« corne »l.5, « Front plat »l.6 et « traits tombants »l.7), de texture (« moites »l.11, « rugueuses »l.11 / « flasque »l.13, « dure »l.14 / « sans poils »l.16, « poilu »l.14) ou de couleur (« trop blanc »l.13, « magnifique couleur vert sombre »l.15). Enfin, les barrissements apparaissent comme des « chants »l.17 opposés à la faiblesse de sa propre voix, humaine. On aboutit dès lors à un éloge des rhino­céros qui

dans le tercet pour casser le rythme et pour faire prendre conscience au lecteur le futur tragique qui s’annonce. II/ Une flambée des sens : Eloigné de son amour, risquant chaque jour la mort, le pote comme beaucoup d’hommes de l’époque (Lettres de Poilus) se laissent aller à ses fantasmes érotiques afin de tenter de dépasser ses angoisses qui les étreignent. Pour effacer la peur de sa disparition totale, le poète imagine que son corps va revivre dans l’univers. Il imagine son sang couvrant le monde

« ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de formes (« corne »l.5, « Front plat »l.6 et « traits tombants »l.7), de texture (« moites »l.11, « rugueuses »l.11 / « flasque »l.13, « dure »l.14 / « sans poils »l.16, « poilu »l.14) ou de couleur (« trop blanc »l.13, « magnifique couleur vert sombre »l.15). Enfin, les barrissements apparaissent comme des « chants »l.17 opposés à la faiblesse de sa propre voix, humaine. On aboutit dès lors à un éloge des rhinocéros qui

« ce sont eux qui sont beaux »l.3) est développé à travers les oppositions de formes (« corne »l.5, « Front plat »l.6 et « traits tombants »l.7), de texture (« moites »l.11, « rugueuses »l.11 / « flasque »l.13, « dure »l.14 / « sans poils »l.16, « poilu »l.14) ou de couleur (« trop blanc »l.13, « magnifique couleur vert sombre »l.15). - On aboutit dès lors à un éloge des rhinocéros qui révèle que la solitude et la différence sont difficiles à porter, à assumer pour Beranger. En effet la culpabilité

les rhinocéros n’avaient pas raisons. Il compare les Hommes aux rhinocéros, et trouve les rhinocéros beaux. Il trouve son front dépourvue de corne laid. Il trouve ses mains trop moites, il les préfèrerait rugueuses. Sa peau est flasque, blanche et poilue, il aimerait avoir une peau dure, verte, sans poils. En écoutant les barrissements, ils les trouvent charmants, mais il n’arrive pas à les reproduire. Il regrette de ne pas les avoir suivis à temps, au moins, il serait avec Daisy et il ne serait pas

même modèle formé de quatrains de 3 heptasyllabes(7), suivis d’un tétrasyllabe(4). Paul Eluard : PAUL ELUARD (1895-1952) De son vrai nom : Eugène Grindel, infirmier pendant la Première Guerre mondiale. Il publie ses premiers poèmes en hommage aux «poilus» avant de participer aux mouvements poétiques d'avant-garde dans les années 20, aux côtés d'André Breton. Sa poésie est marquée par un renouveau du lyrisme amoureux. Durant l'Occupation, il vit à Paris, où il publie d'abord légalement des recueils

L’encadré du dessus est assez ironique. L’auteur parle de guerre dans toute sa splendeur, de « bonnes terres à betteraves » utilisées pour des cimetières. L’auteur utilise l’humour noir. C’est finalement l’aspect funeste qui l’emporte avec le « poilu » dessiné, mains sur le casque et yeux hagards, terrorisé par tant de violence et le désastre de la guerre. II- Paragraphe argumenté Introduction Après environ 4 années meutrières, la Première Guerre mondiale, qui s’était ouverte

1918. Elle a laisser l’Europe traumatisé meurtrie, consciente du degrés de sauvagerie. Comment l’expérience combattante de la première guerre mondiale illustre-elle l'entrée dans l'ère de la guerre totale. b. L'enfer de Verdun Les lettre de poilu témoigne de l'atrocité des combats. La première guerre mondiale et une guerre industrielle : 50 000 000 d’obus sont tombé sur Verdun infligent des blessures terrible et déchiquetant les corps d’on on ne retrouvent plus l'identité, les offensive sont