Conclusion Terreur

ce qui lui amènerai la gloire et l’honneur « loin de moi l’idée de détruire les préjugés qui l’assiègent ! Ils ajouteront à mon bonheur et à ma gloire. » Champ lexical de la peur : « détruire, épouvante, terreur » : Il veut qu’elle oublie ses craintes dans ses bras « et agité de mille terreurs, elle ne puisse les oublier que dans mes bras ». Le type parfait du libertin qui se prend pour dieu ressort : « qu’elle me dise je t’adore ; elle seule, entre toutes les femmes, sera digne de prononcer

tragédie classique : I) La tragédie La tragédie est un genre théâtral. Une tragédie développe généralement une action mettant en scène des héros ou des personnages de rang social élevé pour émouvoir et instruire le spectateur, provoquer sa terreur et sa pitié par le spectacle, des passions humaines ou contre le destin. Dans une tragédie, les personnages s’expriment sur un ton élevé, et en vers (alexandrins). II) Les caractéristiques de la tragédie classique 1 - Les trois unités

absolu sur le parti, l'État et le pays. Il lance la collectivisation et donne la priorité à l'industrialisation. Cette politique désorganise la production agricole, provoque de terribles famines et conduit à la mort de 6 à 9 millions de paysans. La Terreur stalinienne s'appuie sur de redoutables polices politiques (GPU puis KGB). Les purges se succèdent et font du parti un instrument docile. Les Grandes Purges de 1937 à 1938 font beaucoup de morts. II) Les similitudes entre les trois totalitarismes

sociale, c'est à dire la classe moyenne. On constate que la peur est présente dans tous les textes, elle se traduit par l'atmosphère dégagée par les récits à travers différentes expressions, tel que: « étrange », « horreur », « effrayant », « mort », « terreur », « tressaillit », « ténèbres »... Le vocabulaire utilisé est caractéristique du fantastique: « fantôme », « extraordinaire », « hallucinations »... Dans les quatre textes la réaction des personnages se traduit par le regard ; dans Le Nez : « il

texte est la mort qui ce traduit par diverses pensées de Ronsard. On peut le voir dans trois différentes parties, la peur de la mort, la peur de la mort et l’acceptation de la mort. (trois partie?) Dans cette partie, Ronsard tente de montrer la terreur qu’il ressent par la description totale de son corps. Comme on le remarque avec le champ lexical de la mort : «os, squelette, décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé, mort, peur, tremble». De plus, il utilise un ton dépréciatif tout au long du premier

innocemment »  Paradis terrestre / découverte du monde 2.2 la famille TTK - Le baron o Fausse puissance Noblesse/richesse/puissance Réalité : /banalité Conclusion Château Porte/fenêtres Grande salle Une tapisserie Meute Chiens/basse cour Piqueurs Palefreniers Grand aumônier Vicaire village o Terreur et domination  Ils l’appelaient tous monseigneur o intolérance - La baronne o Pesait 350 livres et s’ attirait Par là une très grande considération  à quoi

Traduction : évacuation de l'Autriche et reconnaissance du gouvernement de BONN par l'URSS. b) L'équilibre de la terreur Il résulte de la montée en puissance de l'URSS (bombes A, H ; fusées à longues portée). Chaque grand dispose de capacités propres à détruire l'autre mais peut s'attendre à une réplique meurtrière. La coexistence pacifique est donc, en parti, la traduction de la terreur. 2°/ Ses manifestations a) La non-intervention des Etats-Unis dans les problèmes intérieurs du monde communiste

majeur afin de répondre à la terreur de manière lucide, dans une garantie des libertés (III). I . Le terrorisme comme personnage historique Avez-vous déjà entendu des groupes se revendiquer comme terroristes ? Trop rarement dans l’histoire, le choix d’un tel vocable est choisi par ceux qui se définissent plutôt de par leurs revendications. Il ne faut donc pas faire du terrorisme un concept global dans l’histoire, surtout si l’on se penche sur son origine sémantique : La Terreur sous Robespierre. Déjà

totalitarisme comme un phénomène nouveau dont le fondement et l'idéologie avec comme instrument principal : la terreur. Ceci doit entraîner une domination permanente des individus dans toutes les sphères de leur vie. Karl Friedrich énumère les critères qui définissent un régime totalitariste : une idéologie forte et construite la domination d'un parti unique un seul chef utilisation de la terreur, du monopole des médias et la planification de l'économie b) La mise en place des régimes totalitaires

1945-1953 : moment fort du stalinisme. Staline bénéficie du prestige de la victoire et en profite pour accroitre son pouvoir : Augmentation du culte de la personnalité Intensification de la terreur menée par le NKVD (puisqu’on est en guerre froide, peur de la propagation des idées orientales) La terreur touche : - l’armée - les membres du parti - les minorités - les populations juives 1953 : 3 millions de déportés travaillent dans les camps du goulag. Staline meurt, on lui rends des obsèques