Conclusion Terreur

l’existence de la Révolution et celle du roi et prennent une mesure de « salut public » pour sauver la République face aux armées étrangères. Louis XVI est jugé et condamné à mort à une courte majorité. Il est guillotiné le 21 janvier 1793. Conclusion : Le transfert de souveraineté du roi vers la nation s’est fait par étape. Sous la monarchie constitutionnelle, le roi partageait le pouvoir avec une assemblée législative représentant la nation. Puis avec la création de la République le 22 sept

Registre épique - un monstre infranchissable (un guerrier) : 1. image feroce : les dents deviennent un obstacle ; « devant lui bondit l’epouvante »  (=Frayeur, peur soudaine) -> degage un sentiment d’insureté) + « la terreur regne autout de ses dents » = la terreur est le pouvoir suprême/l’atmoshpere qui flotte dans l’air qui l’entoure) 2. « un souffle ne peut s’y infiltrer » (intouchable) + « les fanons inebranlables » -> Un monstre tres imposant/solide : meme l’air (composé immateriel)

nationaliste, impérialiste et qui fait l'apologie de la guerre. Si le projet totalitaire italien reste empirique et inachevé (maintien fictif des institutions démocratiques, persistance de maigres espaces de liberté comme l'éducation catholique, une terreur moins sanguinaire), la primauté de la nation est le fil conducteur du régime. L’état tout-puissant doit affirmer la grandeur du pays, « une troisième Rome » est à construire. Cette Italie régénérée s'incarne dans son nouveau César : Mussolini .•

�� L’alternance de point de vue dans le texte est un facteur de dramatisation : nous sommes informés non seulement de la réaction du monstre et d’Hippolyte, mais aussi de celle des chevaux (v. 1505, 1512, 1538) et des témoins (v. 1551, 1526). Leur terreur répond à celle d’Hippolyte comme une chambre d’écho. �� Le suspense est également un ingrédient important de cette dramatisation : au moment le plus terrible, Théramène interrompt son discours pour témoigner de sa douleur (v. 1545-1546). De même

axe : Le relais des regards L'alambic est vu successivement par plusieurs personnages (focalisation interne) -1) Le regard de Gervaise : nous remarquons une gradation, puisque nous passons de la curiosité à une peur diffuse et terminer par la terreur. La curiosité : " elle eut la curiosité d'aller regarder, au fond, derrière la barrière de chêne, le grand alambic " : curiosité, fascination paradoxale. L'alambic représente une sorte d'objet-tabou. (difficulté pour le voir : " au fond, derrière

ni crainte ni terreur à l’exemple de la France. Pour continuer, le roi se sert du plaisir pour se divertir. Selon lui, cela crée, à partir d’une bonne expérience, un « empire d’aussi longue durée ». C’est pourquoi nous pouvons dire qu’il y-a un lien entre la politique et le divertissement. Pour finir, dans le second paragraphe, Louis XIV montre l’exemple d’autres nations où les représentants n’ont pas de divertissement influençant leur façon de régner (l.18 : « craintes et terreur »). De plus,

Euripide, qui dans sa tragédie Hippolyte porte-couronne avait traité le mythe de Phèdre. Nous étudierons ici la scène 7 de l’acte 5 qui correspond au dénouement de l’histoire et nous nous demanderons en quoi ce dénouement tragique provoque t il terreur et pitié. Pour cela nous étudierons tout d’abord l’aveu que fait Phèdre puis nous étudierons le caractère tragique de ce dénouement. 1ère partie : L’aveu de Phèdre a) Une confession urgente : L’aveu de Phèdre intervient de façon brutale. En

fondamentale = pouvait-on faire l’économie de la terreur ?  1e réponse historique = Michelet (L’histoire de la RF)  Puis fin du 19e : discours savant à la Sorbonne : création d’une chaire d’histoire consacrée à la RF   2 lectures historiques jusqu’à moitié du 20e: celle de la Sorbonne + lecture marxiste (RF = rév populaire). Dans les 2 cas, terreur justifiée.  Période actuelle (dérivée de 1970) : contre-point à la lecture marxiste (François Furet)  terreur nécessaire mais on n’aurait pu en faire l’économie

citoyen français II. Naissance de la nation française et la radicalisation de la Révolution 1) La république thermidorienne : une république bourgeoise contestée, une société divisée 2) Les débuts de la République marqués par la violence de la Terreur (1792 - 1794) III. La réaction conservatrice et la fin de la Révolution (1794-1804) 1) La république thermidorienne : une république bourgeoise contestée, une société divisée 2) La confiscation de la République par Bonaparte en 1799 3) Le Consulat :

1 CHAPITRE 2 Les régimes totalitaires (1917-1939) Durant l'entre-deux-guerres, se mettent en place en Europe des régimes que les historiens qualifient de « totalitaires ». Dirigés par des dictateurs qui assoient leur pouvoir par la terreur et là propagande, ils cherchent à remodeler les sociétés en fonction de l'idéologie officielle. 3 principaux régimes totalitaires émergent, l'URSS de Staline, l'Italie de Mussolini et l'Allemagne d'Hitler. Régime totalitaire : régime dans lequel l’État