Conclusion Terreur

18), « aimable » (v. 25), « amoureuse » (v. 29), « bonheur » (v. 30) -> Détermine chez le héros la coexistence d’un conflit moral opposant les deux valeurs fondamentales et irréconciliables que sont l’honneur et l’amour. Conclusion : -> Confirmation : C’est dans le renoncement librement consenti de ses passions en faveur de l’exigence la plus conforme à sa gloire que le héros cornélien attire la pitié du spectateur, suscite l’admiration et attise son idéal de perfection.

l’anaphore de «je» («je vois, je frémis») et la mise en évidence de son esprit perturbé «mon esprit se trouble, …s’égare» dans son monologue font rendre sa mort plus vivante et réelle. L’abondance du champs lexical de la mort « funeste », « mourir », « terreurs », « peur », « m’assassine » , l’opposition entre la vie et la mort, « vivante, et morte » et l’antithèse « Mille assassins nouveaux naissent de son trépas” prouvent que Clindor croit avoir une peine de mort certaine, « J’ai repoussé la mort, je

du régime démocratique. La prise de pouvoir de Napoléon est une transposition dans l'univers de la fable de l'ascension de Staline en URSS qui écarta ses rivaux à partir de 1926 pour imposer progressivement sa tyrannie. Napoléon va régner par la terreur: Il supprime les débats publics et les assemblées du dimanche , au cours desquelles sont prises les décisions relatives à la gestion de la ferme : le pouvoir est remis entre les mains d'un comité de cochons. Ce comité de cochons va s'accorder des

LECTURE ANALYTIQUE : PHEDRE, I, 3, v.269-308 (deuxième partie)       II- Un amour interdit  A- L'amour comme crime B- L'amour comme combat III- La malédiction amoureuse A- L'amour dicté par les Dieux B- L'absence de liberté du sujet Conclusion II- Un amour interdit   L’aveu de Phèdre n’est pas une libération pour elle, mais un moment où elle expose sa honte. Son amour est interdit, et doit rester secret parce qu’il est un crime ; la nature criminelle de ce sentiment justifie que Phèdre

d’Hitler puis armée d’élite) éliminent les principaux chefs des S.A (Röhm). 100 à 200 personnes sont assassinées. -2 Août 1934 : Mort d’Hindenburg. Hitler proclame le 3° Reich et devient Reichsführer, le chef suprême de l’Allemagne du 3° Reich. Conclusion : Profitant des difficultés économiques, de la faiblesse de l’Etat et de la crainte inspirée par le communisme, Mussolini et Hitler accèdent légalement au pouvoir. Ils instaurent alors rapidement leur dictature, à la violence spontanée succède le

d'une vision fataliste de l'être humain victime de ses passions. • Lien avec le contexte : Racine, dans la tradition de la tragédie grec, veut éduquer, purger les hommes de leurs passions et de leurs vices (catharsis) en suscitant la pitié et la terreur. À l'apogée du classicisme il rédige cette pièce qui deviendra l'une des plus grandes tragédies classiques. C'est la démonstration des thèmes classiques par excellence soit, en autre, la fatalité du destin, la force obscure des passions et une fin

maîtrisé le bureau du parti communiste pour imposer ses décision - Presse étroitement contrôlé, censure - Politique de grandes terreur, grand procès de Moscou - Police politique III. Une fin progressive pour l’URSS a) Une forte déstabilisation suite à la mort de Staline - 1953, mort de Staline, Khrouchtchev lui succède - Exécution des responsable de la terreur stalinienne, libération des détenus des goulags - réforme économiques et création de bien de consommation - Déstalinisation de

constate que la cause de cette terreur demeure hors-champ et dans notre direction. A l'arrière : deux hommes ; à gauche : le cadre ; à droite : la balustrade. Le personnage n'a donc aucune échappatoire.  Enfin, la forme même de ce personnage n'a rien de réaliste. Elle peut faire penser à fantôme. Le personnage principal semble avoir été totalement déshumanisé par l’artiste : est-ce véritablement un être humain ou la représentation d’une âme tourmentée? 6) Conclusion : Cette oeuvre exécutée en 1893

témoigne-t-elle de l’engagement de l’artiste pendant la Guerre Froide ? Nous allons dans un premier temps, situer l’œuvre dans l’espace afin de comprendre l’intérêt du tableau, puis nous allons passer à une analyse du tableau et enfin, nous auront une conclusion et mon opinion personnelle sur ce tableau. II) SITUER L’ŒUVRE DANS L’ESPACE. Dans les années 1950, Picasso s’inspire des grands maîtres des siècles précédents, comme Goya. Il utilise leurs compositions et leurs thèmes avec une technique picturale

Néron est entre Burrhus (la vertu) et Narcisse (le crime) ; en IV, 4 il respecte encore Burrhus, a mauvaise conscience ("je ne l'écoute point avec un cœur tranquille") ; mais il est totalement manipulé et "retourné" par Narcisse (IV, 4) * Conclusion : Néron est un personnage qui n'a pas en lui-même de frein moral : il est totalement soumis à son entourage. Il paraît par moment presque sympathique : quand il se révolte contre sa mère, quand il écoute Burrhus et semble prêt à se réconcilier avec