Concordat de Worms

théocratie pontificale, conception dans laquelle le pouvoir pô et temporel sont aux mains du pape. Le problème de la désignation des evêques subsistent néanmoins. Dans le début 12eme, la apauté remporte la victoire avec la signature, en 1122, le concordat de Worms où l’empereur accepte le principe de libre election des evêques par les chanoines de la cathedrale. C’est une victoire pour la papauté car l’empereur ne pourra plus veritablement maitriser l’election de ses evêques et le pape n’hesitera

dépendance directe des rois = la papauté prétend avoir le pouvoir de contrôler l'action des puissances temporelles en raison des péchés que les rois et empereurs peuvent commettre dans leurs fonctions. Solution de compromis en 1022, avec le Concordat de Worms passé entre l'empereur Henri V et le Pape Calixte V : il s'applique à toute l'église chrétienne occidentale et prévoit une distinction entre les fonctions spirituelles de l'évêque, qui relèvent de l'élection canonique (l'évêque est consacré

ecclésiastiques de haut rang en particulier des évêques et des abbés. En fait les empereurs c'était approprié cette prérogative que les papes leur contestait ; cette querelle durera de longues années et sera résolue par un texte de 1122 appelé le «Concordat de Worms». Ce texte est conclu entre le pape urbain II et l'empereur germanique Henri IV ; il tente de donner satisfaction a chacune des parties mais qui en fait consacre l'abaissement du pouvoir impérial. Il prévoit que désormais les ecclésiastiques

investitures et le concordat de Worms ( 1074-1122 ) L’empereur Henri IV entra immédiatement en conflit avec Grégoire VII. Mais il fut défait militairement par les alliés du pape et obligé de se soumettre lors de l’entrevue de Canossa ( 28 janvier 1077 ). L’expression « aller à Canossa » est restée pour signifier « faire sa soumission totale à une autorité, en particulier à l’autorité pontificale ». Le règlement du conflit fut opéré par le concordat de Worms de 1122. Le canoniste

direction de fait est-elle la seule occasion de déceler l'immixtion du créancier dispensateur de crédit ? 568 569 570 571 D. TRICOT, Les critères de la gestion de fait, Dr. et Patrim. Janvier 1996, p 24 et s., spéc. p 27 Cass. com. 27 juin 2006, Banque Worms, D 2006, n° 36, p 2534 et s, note R. DAMMANN et J. PASZKUDZKI ; JCP E 2006, 2408, note Y. REINHARD ; Dr. Sociétés. 2006, comm. 160, note J.-P. LEGROS ; Rev. Sociétés 2006, p 900, note D. PORACCHIA ; Bull Joly Sociétés. 2006, n° 286, p 1372 note F.X

la dépendance du pouvoir laïc au pouvoir spirituel : on est à l’apogée de la théocratie pontificale. Cependant, les successeurs de Grégoire VII sont plus modérés et des terrains d’entente vont être trouvés avec les princes. Le Concordat de Worms en 1122 affirme que l’évêque est librement élu par un collège de chanoines et de dignitaires ecclésiastiques et qu’il est ensuite consacré par l’archevêque. Le pouvoir laïc n’intervient qu’après : le roi investit l’évêque des biens liés à l’évêché

Saint-Denis, Louis VI se retrouve à la tête d’une immense armée mais l’affrontement, que tout le monde pensait pourtant inévitable, ne se fait pas. Henri V certainement impressionné par une telle mobilisation et prétextant des troubles dans sa capitale de Worms, se retire sur Metz le 14 août sans combattre. - C’est aussi le cas remarquable de la victoire de Bouvines (cf. Georges Duby, Le dimanche de Bouvines. 27 juillet 1214, coll. « les Trente journées qui ont fait la France »). le royaume est menacé: Jean

la dépendance du pouvoir laïc au pouvoir spirituel : on est à l’apogée de la théocratie pontificale. Cependant, les successeurs de Grégoire VII sont plus modérés et des terrains d’entente vont être trouvés avec les princes. Le Concordat de Worms en 1122 affirme que l’évêque est librement élu par un collège de chanoines et de dignitaires ecclésiastiques et qu’il est ensuite consacré par l’archevêque. Le pouvoir laïc n’intervient qu’après : le roi investit l’évêque des biens liés à l’évêché

l’affirmation de la dépendance du pouvoir laïc au pouvoir spirituel : on est à l’apogée de la théocratie pontificale. Cependant, les successeurs de Grégoire VII sont plus modérés et des terrains d’entente vont être trouvés avec les princes. Le Concordat de Worms en 1122 affirme que l’évêque est librement élu par un collège de chanoines et de dignitaires ecclésiastiques et qu’il est ensuite consacré par l’archevêque. Le pouvoir laïc n’intervient qu’après : le roi investit l’évêque des biens liés à l’évêché

obligé de venir s’excuser devant le pape, il va a Canossa car le pape va jusqu’au château du pape en 1075, donc l’empereur va s’humilié devant le pape. Finalement, la crise abouti a une transaction en 1122 l’empire et la papauté passe la concordat dit le concordat de Worms, où il y aura un choix conjoint des évêques entre la papauté et le pouvoir politique. - Utilisation du clergé régulier : on a vu les monastères en conflit avec les évêques et ont été la fer de lance de la réforme grégorienne. Ceci