Concubinage Et Solidarité

STRUCTURE Sujet: Concubinage ou pacs, avantages et inconvénients de chaque mode de conjugalité. Pendant longtemps, la vie de couple ne s'imaginait qu'à travers l'institution du mariage. De nos jours, la phase indispensable à la construction du couple passe par l'union libre pour beaucoup de personne. A la fin du XXème siècle, par la loi du 15 novembre 1999, le concubinage a un titre introduit dans le livre 1er du Code civil. Elle a également établi le Pacte civil de solidarité (PACS) donnant ainsi

d'incapacités ou encore pour la constitution du conseil de famille pour un mineur orphelin ou un majeur placé sous tutelle. A l'inverse, dans d'autres cas encore, le droit de la famille traite les couples sans enfants, qu'ils soient mariés, pacsés, ou en concubinage. Enfin, il y a même des cas où le droit de la famille traite des situations qui concernent un seul parent, c'est le cas de la famille monoparentale ou en cas de demande d'adoption par un célibataire. La conception classique que l'on avait de la

Commentaire de l'arrêt de la Première chambre civile du 11 février 1997 Le concubinage est, par sa nature, une situation de fait qui n'est pas destinée à être régie par le droit. Pourtant, la Cour de cassation n'a pu ignorer les nombreux différends survenus lors de ruptures entre concubins. Elle a dû appréhender les multiples situations et ce, en l'absence de contrat entre les parties et de cadre légal spécifique. Ainsi, dans un arrêt du 11 février 1997, la première chambre civile fait le

possibilité d’être adopté par le partenaire ou le concubin de son père ou de sa mère. Cette différence de traitement entre les couples mariés et ceux qui ne le sont pas vous paraît-elle juridiquement justifiée ? Alors que l'adoption du pacte civil de solidarité (PACS), en novembre 1999, souligne l'évolution de la société française à l'égard de l'homosexualité permettant à des couples homosexuels d’organiser leur vie commune dans un cadre juridique autre que celui du mariage leur restant fermé, la question

nucléaires ( père, mère et enfants ), mais aussi, monoparentales, recomposées, ou en concubinage. La législation reconnaît ces familles, leur donne des droits et des devoirs. Toutefois, une autre forme de vie commune, déjà existante, mais non reconnue: le couple homosexuel, réclame aujourd'hui, plus que le fait de pouvoir légaliser leur union par le PACS crée le 15 septembre 1999 (Pacte Civil de Solidarité) ou le concubinage , n'offrant pas les mêmes garanties juridiques que le mariage. Même si les mentalités

ensemble de règles de droit plus ou moins complexes qui régissent les rapports patrimoniaux des époux entre eux et avec les tiers. Ils peuvent également préférer le contrat de mariage. Quoi qu'il en soit, les époux en se mariant sollicitent une solidarité familiale. D'ailleurs l'art 214 du Code civil dispose : « Si les conventions matrimoniales ne règlent pas la contribution aux charges du mariage des époux, ils y contribuent à proportion de leurs respectives ». Les obligations pécuniaires entre

III. Mariages et situations voisines * Fiançailles * Concubinages * Pacs * Remariage * Divorce 1. Le concubinage : À côté du mariage, il existe d'autres formes d'unions. Le concubinage, qui est une institution aussi ancienne que le mariage, est une communauté de fait résultant de la cohabitation notoire et durable, tandis que l'union civile (appelée par exemple en France pacte civil de solidarité), d'apparition récente, offre une officialisation du couple avec des

(empreintes génétiques…), les avances juridiques avec l’internationalisation du droit (Convention de NY sur les droits de l’enfant, la Convention Européenne des Droits de l’Homme…) et, surtout, les transformations sociologiques (mariages gays, concubinages, PACS, adoption homosexuelle…). • Ainsi, depuis 1999, beaucoup de réformes sont venues répondre à ses transformations. Tout d’abord, la loi du 15.11.1999 qui instaure le PACS. Le PACS a été réformé et amélioré par une loi du 23 juin

s’imposera (prêt à usage). A l’inverse, si la rupture est due à la fiancée, la bague doit être restituée. Les fiançailles peuvent avoir un dernier effet juridique en cas de décès accidentel de l’un des fiancés. On estime qu’à l’instar du concubinage, les fiançailles peuvent donner lieu à une action en dommage et intérêt contre le tiers responsable du décès de l’un des fiancés. Pendant longtemps, ce droit à indemnisation du fiancé avait été refusé par la jurisprudence qui se fondait sur l’absence

descendants en ligne directe mineure. §2 - L'alliance Le lien d'alliance s'oppose au lien de parenté, car il n'est pas issu du sang. Il est plus restreint, ne résultant uniquement du mariage et du pacs. En cas de concubinage entre 2 individus aucun lien d'alliance n'est créé, le concubinage est en dehors du droit, car les personnes font le choix de ne pas etre soumis à un encadrement juridique. Le lien d'alliance c'est le lien juridique qui existe entre les époux, entre chaque époux et les parents