Confédération générale du travail - Force ouvrière

économique du travail TITRE INTRODUCTIF : LE TRAVAIL DANS L’ANCIEN REGIME L’ancien régime correspond à la période qui précède la révolution de 1789. A cette époque, la société était très hiérarchisée et cloisonnée. Dans le travail aussi, chacun a une place précise, chaque milieu est fermé. Section 1 : La société médiévale : une société hiérarchisée I. Les inégalités juridiques et sociales A. La distinction en ordre : la tripartition fonctionnelle Dans l’ancien régime

000 salariés. L'action des responsables syndicaux de la C.G.T. face à cette première menace a sans doute joué un rôle dans le maintien de l'hégémonie de ce syndicat dans les années suivantes. Ainsi, la scission de la C.G.T. et la création de Force Ouvrière restent sans conséquence aux Forges. Dans les années suivantes, la C.G.T. continue de représenter 80 à 85 % des suffrages des ouvriers et des employés lors des élections professionnelles. Pourtant, à l'initiative des cadres et des ingénieurs,

industrielle. De même (et schématiquement) la conquête du temps libre condition nécessaire pour l'accès massif du peuple aux bibliothèques, aux différentes sources du savoir pouvait être essentiellement perçue comme un temps de récupération des forces de travail, et donc comme un investissement pour le patronat. Ainsi, s'installera le débat toujours actuel sur la fonction sociale de l'Education Populaire puis de l'Animation : Cette fonction vise t elle avant tout des perspectives intégratrices, de contrôle

droit du travail Chapitre 1 histoire des images sociales à l égard du travail Les principes fondateurs c est l’occasion d évoquer le problème de l image que l on s est fait du travail cf travailler plus pr gagner plus dernière campagne présidentielle, en grande Bretagne en Allemagne. L’image sociale est important car le statut du travailleur dépend si le travail est valorisé ou pas, la réhabilitation du travail. Il y a eu trois grandes attitudes à l égard du travail Travail malédiction

d’une part, ainsi que la conjoncture internationale de l’autre. Résumé des évènements Comme dans les pays ayant subi la montée d’un fascisme au XXe siècle, l’Espagne possédait une tradition démocratique encore fragile. Ainsi, le coup d’État du général Primo de Rivera en 1923 supplante, avec l’appui du roi Alphonse XIII, la monarchie constitutionnelle. Déstabilisé par le Krach de 1929, le régime promet des élections et en avril 1931, les républicains1 les remportent. Le roi est démis de ses fonctions

conservatrice se forge aussi dans la lutte menée alors contre la pressions nouvelle exercés par le mouvement social et les défis violent lancés par les anarchistes contre la République. 1891 : 1er mai : grève en faveur de la revendication des 8heures de travail, la troupe débordée tire, et fait 9 morts (1 adulte) 1892-1894 : vague d’attentat anarchiste contre les figures du personnel politique républicain  pour atteindre un régime qui se confond au yeux des terroristes avec la défense de l’ordre bourgeois

Socialisme et mouvement ouvrier en Allemagne depuis 1875 Socialisme et mouvement ouvrier dans l’Empire Allemand – 1875/1918. La naissance de la sociale démocratie Allemande. 1875 : Congrès de Gotha – fusion de l’Association Générale des travailleurs Allemand (F. Lassalle, parti réformiste, pour l’intervention de l’état) et du parti Social Démocrate des travailleurs (W. Lifbknecht et A. Bebel, influé par le Marxisme et + révolutionnaire). Création du parti Ouvrier Socialiste d’Allemagne qui

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l'objectif de consolider la prédominance du grand capital ; 2. le rejet des institutions démocratiques auxquelles on substitue des méthodes nettement dictatoriales ; 3. la répression acharnée contre le prolétariat (destruction des organisations ouvrières par des procédés "plébéiens", selon la juste expression de Trotsky, mesures d'extrême violence, allant jusqu'à la destruction physique, contre les militants ouvriers, suppression des acquis de la classe travailleuse, établissement d'un régime d'esclavage

mais sans syndiqués. A ntienne médiatique aussi bien que politique, la remise en cause de la représentativité des syndicats français découle d’une apparente contradiction, maintes fois relevée mais peu analysée. Un premier constat s’impose avec force : celui de la présence et du poids indiscutables des organisations syndicales (salariées et patronales) dans le débat politique national. Des mobilisations intensivement relayées, ainsi que des prises de position largement médiatisées, contribuent