Conformisme

». (p.141) Les effets du groupe. Dans son opposition à l'autorité, l'individu est faible, mais le groupe est fort. Le conformisme est l’attitude du sujet qui agit à l’instar de ses pairs, des gens de son statut, n’ayant aucunement le droit de lui dicter sa conduite. Le terme obéissance sera réservé au comportement du sujet qui se soumet à l’autorité. Comme pour le conformisme, l’individu abandonne à des sources externes l’initiative de son action. « Tout directeur compétent d'un système bureaucratique

bienséance il est donc le plus prédisposé à succombé à la rhino cérite. Au contraire, Bérenger se manifeste comme un personnage décalé de part son apparence ainsi que par son comportement. Il est inapte à se plier aux règles et aux exigences du conformisme donc incapable de s’adapter socialement parlant. Il boit dès le matin « j’ai un eu la gueule de bois, c’est vrai ». Il trahit son manque de confiance en lui du fait de son alcoolisme. Il parait en outre mal et en situation de malaise jusque dans

la remarque à peine. N’est-ce pas une façon d’en critiquer la banalisation? Les caractères particuliers de ce poème peuvent orienter sa lecture vers les axes suivants : la monotonie d’une scène familialen la guerre banalisée, la dénonciation du conformisme. 1. La monotonie d’une scène familiale La lecture du texte laisse le lecteur sur l’impression d’une grande monotonie. Celle-ci provient d’une structure répétitive, des temps des verbes et des sonorités qui reviennent d’un bout à l’autre du texte

présence latente de la guerre, si intégrée pourtant à l’ensemble qu’on la remarque à peine. N’est-ce pas une façon d’en critiquer la banalisation ? Plan : • La monotonie d’une scène familiale • La guerre intégrée et banalisée • La dénonciation du conformisme Partie 1 : 1/ La structure répétitive • On remarque que les sujets sont constitués par les personnages, tantôt seuls, tantôt ensemble (le père et la mère), qu’ils sont parfois remplacés par des pronoms. • Cette reprise crée un effet de monotonie

d'avoir des amis, tire sur un des élèves puis se suicide. La police intervient et les secours s'occupent du blessé ainsi que du mort pendant que les autorités emmènent l'enseignant. LIENS PHILOSOPHIQUES : (*) Le conformisme de Asch : Il nous explique que le conformisme concerne notre relation avec nos pairs, nous souhaitons etre accépté par nos pairs et pour cela nous conformons nos pensées et comportement avec les leurs dans cette situation, les eleves sont face a un mouvement de foule

négative, comme les vagues de suicides, les comportement dangereux au volant. En ce qui concerne l’influence des programme violent à la télé, rien n’est prouvé il se peut que ce soient les personnes déjà naturellement violentes qui les regardes. 2. Conformisme Ca signifie que l’on prend des habitudes contraires à nos attitudes. On peut l’observer dans l’expérience de Asch : dans un groupe de minimum 3 personnes toutes sont complices sauf une. On pose des questions simples auxquelles elles répondent

«  Cela ne ressemble à aucune des expériences que j’ai eu dans ma vie je ne l’oublierai jamais… » : Expérience relativement traumatisante. » « Je ne voulais pas être séparé du groupe, je ne voulais pas voir l’air d’un fou » : Exemple type de conformisme ne veut pas être détaché du groupe  « Ils étaient si affirmatifs…durant un essai j’ai senti qu’il se trompait probablement mais je n’étais pas complètement sur » : un groupe complet ne peut pas se tromper « Je n’ai jamais donné de réponse en sachant

Fiche 2 : Adaptation individuelle I) QUESTIONS TYPOLOGIE DES MODES D’ADAPTATION INDIVIDUELLE Modes d’adaptation Traits principaux Exemples Conformisme Assure une persévérance de l’ordre social, comportement « modal » devant le contrôle social. La « société des nations » : valeurs communes d’une société auxquelles tous se plient. Innovation Amène un inconfort moral de la part de l’observateur car le modèle culturel est sauvegardé et assimilé par les individus socialisés recourant

autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas nécessairement au conformisme. Alors, les autres sont-ils l'obstacle qui m'empêche d'être ou au contraire le ferment de la constitution de soi ? La question est importante car sa réponse éclaire la définition classique d'Aristote : "l'homme

confère donc une responsabilité morale indéniable. I- Une morale sociale et relative A- Une morale liée au conformisme 1) Une morale d'obligation Pour commencer, on peut considérer la morale comme le simple résultat d'un conformisme, d'un ensemble d'habitudes sociales. La morale ne serait donc liée qu'à l'expérience et l'éducation, plutôt qu'à une disposition innée et universelle. Le conformisme est une tendance à se conformer aux usages, à accepter les manières de penser ou d'agir du plus grand nombre