Confrérie Notre-Dame

SIECLE  ▪ Les centres intellectuels se déplacent des monastères à la ville ▪ Paris, centre d’études ▪ Situation politique stable Louis VI et Louis VII ▪ Début construction école de Notre-Dame => berceay de la musique occidentale, naissance 1er pôle création et domination musicale ECOLE NOTRE-DAME  Léonin ▪ Maître de musique vers le milieu du XIIe siècle ▪ Compositeur d’organa à deux voix ▪ Ecriture mélismatique La voix principalis est la voix grave, l’autre est l’organum, avec

la dernière grande révolte d'Algérie a lieu en 1871. Elle débute au mois de janvier avec l'affaire des Spahis, s'aggrave en mars avec l'entrée en dissidence de Mohamed El Mokrani, qui fait ensuite appel auCheikh El Haddad, le grand maître de la confrérie des Rahmaniya. La révolte échoue et une répression est organisée par les Français. ------------------------------------------------- Révolte des Spahis[modifier] Suite à un ordre qui a été donné par l'armée de les envoyer en France, les Spahis se

a des voles... A Paris, la plus ancienne salle est l'Hôtel de Bourgogne, construite en 1548. Elle appartient aux membres de la Confrérie de la Passion. Ils l'ont construit à l'origine pour jouer des mystères mais à peine terminée, le Roi a interdit les Mystères et donne un privilège, c'est-à-dire que les acteurs ne peuvent pas jouer sans payer une redevance. La Confrérie de Passion a alors un monopole de la représentation, ce qui va retarder l'évolution du théâtre en ville. Les conditions de représentations

nouveauté par rapport à l’Antiquité est l’ajout de l’importance de l’amour. On prône l’amour : nouveauté dans l’espace des lettres romanes ou dans la littérature vernaculaire. Le fin’amor suppose une dévotion et un respect pour la femme. Elle devient la dame de l’amant courtois, sa suzeraine. Transposition dans le domaine amoureux du système féodal. Souvent la femme est d’un rang social + élevé que le poète. Il existe une confusion entre l’amour et le désir : la conception de l’amour est basée sur le

romans bretons : Les légendes celtes de Grande-Bretagne, reflet de leurs luttes contre les saxons au XIe siècle, se répandent en France au XIIe siècle. Y apparait l’amour courtois : des chevaliers exécutants des prouesses héroïques pour plaire à une dame. Cet amour est une passion fatale qui se heurte aux convictions sociales et à la religion mais qui obéit à toutes les règles de l’honneur chevaleresque. La femme est toujours idéalisée. L’emploi du merveilleux est très développé (sorcier, fée, fontaine

| |Argent |-N’estime l’argent ni plus ni moins qu’il ne vaut : c’est un bon serviteur et un mauvais maître. | | |Alexandre DUMAS Fils, La dame aux camélias. | | |-Si l’argent ne fait pas le bonheur....Rendez-le ! Jules RENARD, Journal.

Il dit aussi que les Vaudois apparurent sous le règne du pape Lucius2 ,qui décèda en 1144 . Comme il existait auparavant des sorciers, et des vrais , depuis la nuit des temps , on supposera que Bernard voulait plutôt stigmatiser une sorte de confrérie qui aurait existé avant Pierre le Lyonnais Néammoins ceux qui sont appelés vaudois à Lyon , donc sorciers et péquenots des vallées ,se voyaient eux mêmes comme de vrais catholiques , ils participaientent à la messe et aux sacrements de

je frayais à mes rêveries un sentier de mousse et de rosée, de silence et de quiétude, loin de la ville. Que de fois j’ai ravi leurs quenouilles de fruits rouges et acides aux halliers mal hantés de la fontaine de Jouvence et de l’ermitage de Notre-Dame-d’Étang, la fontaine des Esprits et des Fées, l’ermitage du Diable[6] ! Que de fois j’ai ramassé le buccin pétrifié et le corail fossile sur les hauteurs pierreuses de Saint-Joseph, ravinées par l’orage ! Que de fois j’ai pêché l’écrevisse dans les

engagement à ne pas manger nourritures provenant des animaux ( viandes, oeufs, lait, graisses animales,...) , la pratique de la morale évangélique : interdiction de jurer, de mentir, de tuer. Il fait d'un croyant cathare un Bon Homme ou une Bonne Dame, membre du clergé, prédicateur, capable d'apporter lui-même le consolament aux mourants. Il était donc aussi administré aux mourants qui en faisaient la demande, c'est-à-dire aux simples croyants qui n'avaient pas franchi le pas de l'ordination

vivre, c'est aussi cet imaginaire gourmand évoqué déjà par Brillat-Savarin à propos d'un amphitryon qui « avait fait servir un saucisson d'Arles de taille héroïque". "Acceptez-en une tranche,disait-il à sa voisine. Il est vraiment très gros, dit la dame en lorgnant d'un air malin; c'est dommage que cela ne ressemble à rien. »" Le tableau de Renoir "Le déjeuner des canotiers" qui a pour cadre la Maison Fournaise, va de pair avec un beau repas, une cuisine de partie de campagne qu'a laissé le fils