Congrégation religieuse

sur la liberté de conscience et les organisations religieuses, telle que modifiée en 1995 et 1996, les congrégations religieuses doivent se faire enregistrer auprès des autorités et avoir au moins 500 adultes adhérents dans chaque localité où l'enregistrement est effectué. Les religions minoritaires ne sont pas reconnues par le gouvernement. Ainsi, seuls l'islam sunnite et l'Église orthodoxe russe sont enregistrés comme des organisations religieuses légales au Turkménistan19.

mérite) et pour les plus riches. Pour la première fois, un plan d’éducation nationale accorde la priorité au degré élémentaire de l’instruction publique. Entre 1789 et 1794, l’école est désorganisée. Le décret du 18 août 1792 interdit aux congrégations religieuses d’enseigner. Le décret du 8 mars 1793 ordonne la mise en vente de leurs biens, donc des collèges. Le décret du 15 septembre 1793 ordonne la liquidation des universités ainsi que les collèges liés aux facultés des arts. Mesures non appliquées

rapidement entreprise : - Décrets d’Allarde des 2-17 mars 1791 : suppression es corporations de métiers - Loi le Chapelier du 14 juin 1791 : interdiction des associations d’ouvriers - Décret du 18 août 1792 : suppression des congrégations religieuses - Art 361 à 363 de la Constitution de l’an III : interdiction des clubs ➢ Napoléon Ier - Fidèle à l’attitude révolutionnaire de méfiance envers les associations : il soumet les associations aux rigueurs de l’article 291 du

mal). Le désenchantement du monde (WEBER) : Nous sommes rentreé s dans une peé riode d'un salut provenant de l’EÉ glise. L'expression deé senchantement du monde renvoie, dans son sens strict, aè un pheé nomeè ne social : le recul des croyances religieuses ou magiques comme mode d’explication des pheé nomeè nes. Dans une acception plus large, l'expression recouvre le sentiment diffus d'une perte de sens, voire d'un deé clin des valeurs censeé es participer aè l'uniteé harmonique des socieé teé s humaines

est le centre de cette conception ».2 Aujourd’hui, dans les écoles catholiques, nous entendons parler de problèmes : « La société se déchristianise… l’expression de la foi s’individualise… l’école catholique accueille toutes les sensibilités religieuses, si ce n’est l’indifférence, avec les problèmes que ça entraîne pour les « cathos » qui ne trouvent plus leur place… les parents ne s’investissent plus… La génération des personnes vraiment engagés dans l’animation pastorale disparait… L’Eglise 

suppliait “Viens, sois ma lumière”. “Je ne peux y aller seul.” Il lui révéla sa douleur devant la négligence envers les pauvres, son chagrin d’être ignoré d’eux et son immense désir d’être aimé par eux. Il demanda à Mère Teresa d’établir une communauté religieuse, les Missionnaires de la Charité, dédiée au service des plus pauvres. En 1948, elle quitte l’ordre des sœurs de Notre-Dame-de-Lorette et entre dans le monde des pauvres en devenant une citoyenne indienne. * Sa fondation Elle se rend à Patna

siècle. Il est novice chez les franciscains, une congrégation monastique érudite qui plaident la pauvreté et la mendicité. Il se passionne de culture grecque et parle couramment latin. Il est donc prêtre.La Sorbonne, une université théologique, interdira l’usage du grec pour la Bible. Il y aura donc un mouvement d’oppression contre les philhellènes et un obscurantisme culturel. Rabelais obtient du pape, la possibilité d’adhérer à une autre congrégation : les bénédictins, plus libres. Il séjournera dans

l’islam : développement et ruptures. a. Le judaïsme. b. Le christianisme. b. L’islam. c. Judaïsme, christianisme et islam dans le monde actuel. 5. L’organisation de la séquence 1. Qu’est-ce que la religion ? Les références religieuses sont omniprésentes dans notre société, le tour de France des vins et des fromages, les prénoms de la classe et leur origine, le calendrier plus riche que les autres, et plus parlant. Depuis l’origine de l’humanité, l’homme a vécu dans un environnement

Cette laïcisation doit encourager le progrès social, libérer les consciences et par là même de renforcer la république. L’école doit former de futurs citoyens qui agiront comme tels par un vote sensé et intelligent, moins de l’influence religieuse. Il s’agit donc de gagner les nouvelles générations au sentiment d’unité nationale et au patriotisme : Ferry voit l’école comme le ciment de l’unité nationale. 2°) La laïcité. En 1879  Jules Ferry propose deux projets de loi : la réforme

  1810  4  août       Loi  créant  les  lycées  et  remettant  aux  communes  les  écoles  primaires   Loi  fondant  l’Université  impériale   Autorisation  de  la  congrégation  des  Frères  des  Ecoles  chrétiennes   *  La  Restauration  (1815-­‐1830)     1816  29  fév   1820  5  juil     1821  6  fév     1824  8  avril     1828