Congrès des députés

voix des Grands électeurs de cet État. Le système des Grands électeurs est régi par la section 2 de l'Article 1 de la Constitution. Le nombre des Grands électeurs de chaque état est fonction du nombre d'élus de cet état au Congrès : soit deux sénateurs et un nombre de députés proportionnel à la population de l'état. A l'heure actuelle on compte 538 Grands électeurs, soit 100 sénateurs (2 dans chacun des 50 états de l'Union) et 435 représentants, auxquels il faut ajouter, depuis 1964 et le XXIIIème

L’association des états fédérés à la modification de la constitution fédérale a plusieurs formes : - States : art 5 de la constitution américaine qui fixe la procédure constituante, il y a 2 procédures : - les 2/3 des membres des 2 chambres du congrès proposent des amendements qui doivent ensuite être ratifiés par les ¾ des états - 2/3 des états fédérés qui demandent la révision de la constitution qui devra être ratifié par les ¾ des états fédérés. Allemagne : le parlement à 2 chambres et une

bolchévique, puis à l'exécution du Tsar en 1918. • Jean JAURES (1859 – 1914) : D’abord prof de philo puis maitre de conférence, il fut élu député du Tarn en 1885 et siégea au centre gauche. Battu en 1889 il fut de nouveau élu en 1893 mais cette fois comme socialiste. Son soutient fervent à Dreyfus provoqua son échec aux élections de 1898. Il redevint député du Tarn en 1902 et conserva ce siège jusqu’à sa mort. Partisan d’un socialisme humaniste, il fut souvent en conflit avec les marxistes. Malgré

qui travaille sur le rapprochement du centre droit & du centre gauche. Le 30 janvier 1875 lors du débat constitutionnel engagé sur le rapport préliminaire, un obscur député orléaniste, Henry WALLON dépose un amandement anodin "le président de la république sera élu à la pluralité des suffrages par un Sénat & une chambre des députés réunis en assemblée nationale". Le texte passe à une voix de majorité, pourtant c'est ce texte anodin qui fonde la république en droit parce qu'un monarque n'est pas élu

ministre sous la IVe République : ministre des Anciens combattants et des Victimes de guerre, ministre de la France d'Outre-mer, ministre d'État, délégué au Conseil de l'Europe, ministre de l'Intérieur, garde des Sceaux, ministre de la Justice . Il est député de la Nièvre (de 1946 à 1958 puis de 1962 à 1981) et sénateur de la Nièvre (de 1959 à 1962). Candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle de 1981, il est élu 21e président de la République française face à Valéry Giscard d'Estaing, le 10 mai 1981

officiellement adopté en 1999 contre l'opposition d'une partie de la droite (UDF et RPR)[1]. Au Parti socialiste, il a fait partie de l'aile gauche jusqu'en novembre 2008, date à laquelle il quitte ce parti pour fonder le Parti de gauche (PG). Élu député européen le 7 juin 2009 dans la circonscription Sud-Ouest, il reste sénateur jusqu'à la validation des résultats dans cette circonscription, en janvier 2010. Titulaire d’un CAPES de lettres modernes et d'une maîtrise de philosophie, il a été professeur

imposer sa Déclaration. Ce texte, qui est évidemment une référence à la DDHC, comporte quatre chapitres : - le premier énonce les deux grands principes d’organisation du nouvel Etat, qui est désormais appelée « République des Soviets des députés ouvriers, soldats et paysans » : le pouvoir central et local appartient aux Soviets, et la République est déclarée fondée sur la « libre union des nations libres ». Elle constitue donc une fédération des Républiques soviétiques nationales.

La Gauche et le Congrès de Tours « Je vous ai montré ce qu’avait été et ce que serait l’organisation du parti, ce qu’était notre conception révolutionnaire et ce que serait la vôtre. C’est de ce double désaccord que résulte notre conflit sur la question que les thèses de Moscou considèrent comme fondamentale… »Discours de Léon Blum au Congrès de Tours en 1920. Le congrès de Tours est le 18ème congrès national de la Section Française de l’Internationale Ouvrière, il s’est tenu du 25 au 30 décembre

juillet 2008 Loi constitutionnelle de modernisation des institutions de la Ve République Adoption Assemblée nationale : 9 juillet 2008 Sénat : 16 juillet 2008 Congrès : 21 juillet 2008 La Loi constitutionnelle de modernisation des institutions de la Ve République est un acte voté comme loi constitutionnelle par le Congrès du Parlement français et ayant pour objectif de réformer les institutions. Sommaire 1 Histoire 2 Méthode 2.1 Détails du vote 3 Modifications 4 Notes et références

légitimité , beaucoup de pouvoir et chef de l'armée mandat de 4 ans renouvelable 1 fois nomme et révoque ses secrétaires d'état gouvernement = cabinet parlement = congrès 2 chambre : représentants et Sénat il y a un vice président « joe viden » existence de prérogative : président = droit de pouvoir « véto » sur les lois du congrès régime présidentiel sans 1 er ministre : Brésil, Équateur, E.U, Indonésie... régime présidentiel avec 1 er ministre : Arménie, Tchad , Kazakhstan …