Congrès international d'architecture moderne

ACS-Université de Paris VIII letizia.capannini@wanadoo.fr Résumé La notion d’ « habitat pour le plus grand nombre » est complexe et demande une analyse historique synchronique et diachronique à la fois. Le thème est sous-jacent dans le débat international depuis l’introduction de la standardisation, mais c’est à partir du deuxième aprèsguerre qu’il prend une nouvelle centralité, et que l’on assiste à des positions de « modernisme critique » envers l’universalisme des Ciam. La dichotomie entre individuel

 L’ARCHITECTURE MODERNE Une histoire critique Kenneth Frampton Introduction Plus on est rigoureux dans la recherche de l’origine de la modernité, plus cette origine semble s’éloigner dans le temps. On la fait généralement remonter, sinon à la Renaissance, du moins au au milieu du XVIIIème : une nouvelle conception de l’histoire amena alors les architectes à remettre en cause le canon classique hérité de Vitruve et à étudier les vestiges de l’Antiquité en vue de fonder une base plus objective

Introduction p.7 I. L’architecte dans l’histoire. Un outil mondialiste. Le symbole des grands empires Ailleurs La Renaissance européenne Le XIXème siècle, la révolution industrielle Exportation des modèles Après les styles, le Mouvement Moderne Mégapoles, la course aux skylines Les post-modernismes p.11 p.17 p.23 p.27 p.31 p.37 p.43 p.53 p.57 II. Des architectes altermondialistes ? Références contemporaines et contre modèles. p.63 La production des architectes contemporains Les différents

rapport a César qui est Brutus par rapport a César III. renseignement thématique : arts, états et pouvoirs taille : 400x707 cm / 112x195cm année : 1798 / 1804 nature : huile sur toile lieu de conservation : musé de Naples / galerie nationale d'art moderne et contemporain de Rome IV. Description - l'action principale est concentrée dans un triangle dont la base est formée parles conjurés et le sommet par la statue de pompée (consul rival de César). César y occupe une place centrale : il est à le fois

Introduction. I. L’architecte dans l’histoire Un outil mondialiste. -Le symbole des grands empires. -Ailleurs. -La renaissance européenne. -Le XIXème siècle, la révolution industrielle. -Exportation des modèles. -Après les styles, le mouvement moderne. -Mégapoles, la course aux skylines. -Les post-modernismes. II. Des architectes altermondialistes? Les références contemporaines, les contre-modèles. -La production des architectes contemporains. -Cartographie de l’exportation des Starchitectes

notamment. Conçu pour être l’une des attractions commerciales les plus fréquentées de la ville, le nouveau centre sera construit dans le respect des normes les plus strictes en la matière. Une mission à laquelle s’affairent les cabinets d’architecture internationaux et les développeurs sélectionnés pour leur expérience dans la réalisation de projets similaires. Sur le plan architectural, le projet s’inspire de son environnement direct en adoptant les thèmes à dominance marine et minérale. Et pour ne

harmonie avec l’environnement où elles sont construites. En 1991, il a été reconnu par l’Institut des architectes américains comme le plus grand architecte américain de l’histoire1. Sommaire 1 Premières années 2 Un fondateur de l'architecture moderne 2.1 Les Prairie Houses 2.2 Les années difficiles 2.3 Taliesin Fellowship, une idée communautaire 2.4 Éclectisme de sa production 3 Postérité 4 Quelques réalisations notables 5 Publications 6 Dans les arts 7 Notes et références 8 Voir aussi

la tour du vent à Yokohama de Ito ( 1986), les maisons Nemausus I à Nimes de Nouvel (1985-1987), sont tous des projets de styles nouveaux, différents de la ville contemporaine. En France, Massimiliano Fuksas devient un architecte européen, international, mais il y trouve des commanditaires adéquats, habitués à traiter l'architecture contemporaine et la possibilité de désirer de nouveaux ouvrages pour une société en profonde transformation. D'un certain point de vue, Massimiliano Fuksas est un

actuelle des approches en architecture, on se rend compte qu’est désormais à bout de course, sinon totalement discréditée, l’architecture moderne telle qu’on la concevait jusqu’ici, c’est-à-dire la syntaxe architectonique du XXe siècle, avec ses formes blanches, rectangulaires et abstraites, ses toits plats et ses vastes surfaces vitrées. Le style dit « international », pour entériner le nom donné en 1932 par Philip Johnson et Henry Russell Hitchcock à cette tendance alors universelle, semble-t-il, s’efface

risque de réifier une conception particulière de la pratique architecturale, l’enquête sur l’unité part de matériaux portant sur des contextes spatio-temporels très différents : traités et manifestes d’architecture de différentes périodes, observation du suivi de projets dans des écoles d’architecture en France et aux États-Unis et données collectées lors de recherches antérieures sur des opérations récentes. L’unité est pensée successivement à deux niveaux : la culture architecturale d’une période