Conscient De Ses Actes

de valeur de ses propres actes qui le définisse. Le mot « conscience » vient du du latin conscientia composé du préfixe con- (« avec ») et scientia (« connaissance »). Il s'agit d'une prise de conscience sur la perception qu'à l'être sur ce qui l'entoure. On peut prendre deux types de consciences : la conscience de soi qui est la capacité d'être conscient de son existence et de sa personnalité propre, et la conscience immédiate qui est la ce qui accompagne tous nos actes, nos perceptions, comme

immédiate de la vie : une intuition. On ne peut pas se représenter la conscience car cette « chose » n’est pas un objet, quelque chose qui se montre, jeté devant soi. Pourtant, imaginer, percevoir, distinguer, réfléchir, juger, agir etc. Sont des actes qui ne prennent de sens que dans la mesure où ils sont présents à la conscience, éclairés par cette « chose ». Texte de Pascal : « le roseau pensant » Les Pensées. Je vis, et cette conscience d’être vivant est le premier savoir irréfutable qui caractérise

L’INCONSCIENT   Etymologiquement, le concept d'inconscient désigne ce qui n‘est pas conscient. Dans cet usage général, nous pouvons établir les distinctions suivantes :   - Les faits non-conscients : Les automatismes neurophysiologiques dont la plupart sont innés, tels que la respiration, les battements du cœur, la digestion. Les actes réflexes tels que l'accoutumance visuelle le mouvement des paupières, le réflexe de la tétée chez le nourrisson etc.. Les automatismes sensori-moteurs, innés

limites que la nature lui a cédé. Mais malgré des siècles d’évolution, l’homme, bien que se sentant supérieur aux autres espèces qui l’entoure, n’a-t-il pas instinctivement une priorité dans ces devoirs qui le pousse à accomplir primordialement des actes simples et nécessaires à son bien-être et à sa survie, personnelle, familiale ou collective ? Malgré cette prise de conscience de son existence où l’homme pense, mais surtout qu’il sait qu’il pense s’oppose une matérialité constituée d’actes primitifs

conscience intellectuelle de l’idée d’objet et connaissance de son existence. Son émergence est liée à la structure topique du psychisme humain, que Freud décrit comme organisée autour de trois grandes strates : l'inconscient, le préconscient et le conscient. La conscience est conscience de ses représentations et de ses illusions comme conscience épistémologique c'est à dire sur la base d’une théorie morale et psychologique. Autrement dit : des idées factices, claires et distinctes ou innées selon

lois physiques.. luniversité de la conscience a t elle sa place dans la nature ? Est ce que la conscience peut être le fondement de la moral ? Un universelle moral, cad des droits et des devoirs pour tout homme ? Comment penser les êtres non conscients ? si la conscience est la clé pour être un sujet alors pas de conscience pas de sujet. Mais cela signifie t il que les êtres sans conscience sont tous à placer dans la même catégorie ? est ce que le monde se divise en 2 entre sujets et objets ?

principe de plaisir. Il est injurieux de traiter quelqu’un d’inconscient car cela signifie que les personnes ne sont pas responsables de leurs actes. Ainsi, sont déclarés inconscients par la justice, les hommes qui aux moments de leurs faits, n'avaient pas la faculté de discerner ce qu'ils faisaient et de se rendre compte de la réalité de leurs actes. Le monde extérieur n’est plus présent pour eux. Dès lors, traiter quelqu'un d'inconscient, c'est lui reprocher de ne pas se servir de sa raison et

« moi » qui contrôle la pensée. Nietzshe, par la suite, destitura la conscience de son privilège de conscience car dans Métapsychologie , il montre que la conscience ne peut tout expliquer, et en particulier ne peut expliquer tout les fondements de nos actes. Les maladies et les troubles psychiques sont alors pour Freud la preuve évidente d'un mécanisme caché interieur au patient. Je ne peux voir en moi comme dans un miroir. L'inconscient ne peut d'essence pas être perçu consciemment. Freud prouvera son

la sciences physiques ne peut trouver sa légitimité que sur un fondement sûr, donné par la métaphysique. Il va élaborer l'arbre des sciences 2) Le doute conscient, volontaire, radical, hyperbolique ( exagéré) Descartes se distingue de la mise en œuvre du doute septique notamment parce que son doute est conscient et volontaire. Doute septique : le nom donné à une attitude de l'esprit qui se refuse de juger du vrai et du faux de manière assertorique ( j'affirme ). Le principe du

choisir la forme, la fin et les moyens de ses actes. De même sa volonté suit une règle qu’il se donne à lui-même. Mais cela implique aussi qu’il peut, par souci de liberté, agir à son détriment, d’une façon passionnelle. Cependant agir par une liberté consciente et non par le déterminisme des de sens seulement, cela implique la raison et la délibération, la conscience de la finalité qui accompagne le choix. Et rend l’homme responsable de ses actes. L’homme peut s’écarter de ce que la nature lui