Conseil Constitutionnel Et La Cedh

peine il faut une loi. C’est un principe fondamental. C’est le garant de l’état. Il permet de définir la liberté des individus, chacun sait ce qu’il a le droit de faire et ne pas faire. A. Le principe et ses corolaires C’est un principe constitutionnel, c’est la norme la plus élevée du droit français, elle est supérieure à toutes les autres. Si une loi ne respecte pas la constitution elle sera censuré par la constitution. La loi est prise par le peuple, elle est faite par le parlement et le

efficientes, les autres règles juridiques. Le droit pénal n’a pas l’exclusivité de la sanction : il existe toute une série de sanctions extra pénale (AAI, préfet). Ces sanctions excluent les principes généraux du droit pénal, mais la CEDH et le Conseil constitutionnel estiment que le droit pénal est le moteur du respect des libertés individuelles. Dès lors que l’on est face à une sanction primitive relativement lourde, celle-ci devra être soumise aux principes généraux du droit pénal : c’est la théorie

droits de l'homme au sens large, notamment ceux de première génération. Contenu[modifier]Contenu des libertés fondamentales : les droits de l'homme les libertés publiques mais aussi de nouveaux droits comme les garanties procédurales (cf. CEDH). Différences[modifier]Cette même dénomination peut recouvrir plusieurs systèmes : Certains systèmes traditionnels protégeant des libertés déjà affirmées dans des textes de nature juridique diverse (ex. : Royaume-Uni ). D'autres privilégiant

plus de crédit pour entretenir les guillotine et les bourreaux non financé. Loi Badinter du 9 octobre 1981 qui abolie la peine de mort. Les français y été attaché. L’idée ici c’est que l’Etat ne doit pas être un Etat vengeur mais un Etat justicier. CEDH Reynold contre France du 16 octobre 2008 ; un détenu est en maison d’arrêt et est suicidaire. Il fait une tentative de suicide à l’aide d’un opercule de boite de conserve. Le surveillant voit et entre dans la cellule. Le surveillant est blessé. Le

doit néanmoins être concilié avec le droit de grève, dont la valeur constitutionnelle est reconnue dans cette décision par le Conseil d’Etat. Seules des lois ponctuelles réglementent actuellement la grève dans les services publics. (Loi du 31 juillet 1963 sur les modalités de la grève). En l’absence de la législation générale appelée par le préambule de la constitution du 27 octobre 1946 (qui à valeur constitutionnel), pour le conseil d’état, l’autorité compétente pour réglementer le droit de grève

La délimitation des compétences Les actes du gouvernement CE, 1er mai 1822, Laffitte : le Conseil d’Etat qualifie d’acte à mobile politique une décision du ministre des finances car relatif au statut de la famille Bonaparte >donc touche à une question du Gouvernement. Puis abandon de cette jurisprudence > CE, 19 février 1875, Prince Napoléon :là on ne prend plus en cpte le critère subjectif  de l’intérêt politique mais un critère objectif : nature de la matière traitée. Exclusion compétence

Charte communautaire des droits sociaux fondamentaux des travailleurs (points 12 à 14). Le droit à l'action collective a été reconnu par la Cour européenne des droits de l'homme comme l'un des éléments du droit syndical posé par l'article 11 de la CEDH. En ce qui concernes les niveaux appropriés auxquels peut avoir lieu la négociation collective, voir les explications données sous l’article précédent. Les actions collectives, parmi lesquelles la grève, relèvent des législations et des pratiques

religion. « Dans les écoles, les lycées, les collèges publics, le port de signe ou de tenue ou d’éléments qui manifestent ostensiblement l’appartenance à une religion est interdit ». A contrario, le port non ostensible est permis. Avis du conseil de l’état du 27.11.1989 : le principe de laïcité = neutralité donc implique un principe de conscience des élèves donc on ne peut permettre le port qui troublerait l’ordre dans les écoles. C’est un principe de liberté. Cette loi est

légitimité. (référence à l'ISF (impôt sur le capital/patrimoine)). Doc 7, CEDH conformité application ConvEDH CJUE, conformité des traités UE CEDH fait référence à la souveraineté de l'Etat, quand la CEDH ne veut pas prendre la décision elle fait référence à la marge d'appréciation des Etats. Le Conseil constitutionnel ne parle pas de seuil défini et n'en met pas en place, alors que la cour constitutionnelle allemande en met un à 50% il n'en met par ce qu'il estime que c'est au législateur

CONTROLE DE CONSTITUTIONNALITE ET CONTROLE DE CONVENTIONNALITE Par Olivier DUTHEILLET de LAMOTHE Conseiller d’Etat Texte publié dans les « Mélanges en l’honneur de Daniel Labetoulle », Dalloz 2007 « La loi est l’expression de la volonté générale ». Inscrit à l’article 6 de la Déclarati on des droits de l’homme et du citoyen, ce principe, qui est au cœur de la philosophie de Jean-Jacques ROUSSEAU, explique l’hostilité des ré volutionnaires de 1789 vis-à- vis de toute forme de contrôle