Consonne fricative

mystérieux. Le rythme et les allitérations produisent un effet d’harmonie suggestive. En effet, le rythme très régulier du tétramètre3/3/3/3 et les allitérations en sifflantes « s », « soir, encensoir, son , ciel, reposoir »appuyé par la présence de fricatives « f », «  g » « t » et de liquides « l », « r », proposent une harmonie suggestive qui évoque cet évanouissement de la réalité : ssss, cette fuite du paysage crépusculaire dans son propre néant »le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige » et

classique. À titre indicatif, on peut indiquer les principales différences entre le sanskrit védique et le sanskrit classique : Le sanskrit védique avait une fricative bilabiale sourde (/ ɸ /, Upamādhamīya) et une fricative vélaire sourde (/ x /, jihvāmūlīya) — qu'il a utilisé jusqu'à ce que le souffle visarga apparaisse devant les consonnes sourdes labiales et vélaires respectivement. Les deux ont été perdues en sanskrit classique. Le sanskrit védique avait une rétroflexe approximativement latérale

à ce titre emblématique : « Dans l'énorme et indifférente solitude de l'eau », et l'homme qui subit une réification. L'ironie lexicale est relayée par la cacophonie des sonorités : les consonnes douces et fluides, fricatives, chuintantes et liquides ([f], [v], [l], [ch]), cohabitent arbitrairement avec les consonnes explosives : On Tue aux Courbes fleuries Des fleuves, On Tue aux flancs chauds Des montagnes On Tue Dans les villes où le ToCsin sonne Crie la Douleur Des Dômes saignants

déclenchés par "le bruit des carillons" auquel ils s’associent, c’est pourquoi le poète dit qu’il les "écoute".Ils sont à la fois  "doux" et "amers" car ils se détachent des moments heureux qui ne reviendront plus ("lointains"). Noter le jeu sur les consonnes liquides : "Les souvenirs lointains lentement s'élever"  et l’allitération sur l'occlusive bilabiale : bruit/brume.Cette première strophe est organisée autour de sensations auditives : "écouter", "le feu qui palpite et qui fume", "le bruit des carillons"

blancheur de la lune, peuvent faire penser à des algues)  De ce mouvement violent et dément, tordre. -Impression de magie corroborée par le rythme lent.  Longueur de l’alexandrin renforcée par le double enjambement (v 2-3-4), et nombreuses consonnes nasales et voyelles nasalisées : effet d'écho tout au long de la strophe. -Renforcée par l ‘évocation de la « chanson lente »ds le vers 2,  La strophe entière construite sur une mise en abyme. -Le « je » de poète (mon verre) et sa parole (écoutez

allitérations créent une musique avec des mots qui disent la laideur : allitération en « -l » « des l arves qui cou l aient comme un épais l iquide » / allitération en consonnes fricatives (= lettres dont la prononciation donne une impression de frottement ou de friction) « en f lé d'un s ou ff le v ague » -charogne est

Les sonorités sont très fermées [ure], et participent à l’effet d’étouffement généré par la musicalité du poème : prédominance des occlusives sonores [dire/dolent/dure] qui expriment la dureté adoucie par la sonorisation (voisement) et des fricatives [je/sais/ose/chanter] qui miment le soupir, voire le dernier souffle. I) La douleur sublimée par la poésie La souffrance est musicalisée et sublimée par la poésie. Par la forme même du rondeau tout d’abord : le refrain confère au poème

- vers 10-11) ; *le contraste entre la vélocité et l'immobilité de l'atmosphère lumineuse : « le feu vert et doré » (les rayons du soleil) qui « danse pieds nus, à petits pas légers » (vers 11 et 12), souligné par l'allitération des occlusives (consonnes explosives bilabiales /p/) ; tout laisse à montrer dans ces vers que la pratique du vélo n'a strictement rien à voir avec le pantouflage du dimanche ! * le jeu d'antithèses, les oppositions entre la paisibilité et la sérénité des lieux (l'air

l’astre semble à peine préparer en amont la canicule étouffante dans laquelle est rapidement plongé Angelo. En effet, le second paragraphe débute par une phrase aux allitérations en f et en ch (« chaleur », « étouffante », « soif », « chaud »), consonnes fricatives, raclant presque la gorge asséchée ; de même que la répétition des mots « chaleur » et « chaud » qui alourdissent cette tension ; ou l’opposition entre « étouffante » et « soif », accentuant toujours un peu plus cette impression. Le paysage

cavités nasales -Fricatives -> souffre permanent *Organes qui entre en jeu -En France on ne peut pas prononcer 3 consonnes d’affilés sauf si il y a un « r » ou un « l ». Règle d’assimilation -> pour enchaîner 2 consonnes en France *Assimilation de sonorité : On ne peut pas enchaîner une consonne sourde et une consonne source (et inversement) Consonne sourde + consonne sonore = 2 sonores Consonne sonore + consonne sourde = 2 sourdes => C’est la deuxième consonne qui va assimiler