Consonne fricative

Rappel de notions de Seconde 1) La notion de signe Signe = Signifié+ Signifiant où : • Le signifiant est la combinaison de lettre ou de son Exemple : Les jeux sur le signifiant   • Allitération : Répétition de consonne • Assonance : Répétition de voyelle Les jeux sur les sonorités • Paronomase : eg ( « Je m’ [aime] érveille. » • Et le signifié le sens du mot. On peut noter deux sens : • Le sens dénoté (ou

qui les entoure. Néanmoins, on retrouve encore ici une sensation de douceur, de féminité, apportée par l'allitération de la consonne fricative [f] (« un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle »)que l'on retrouve sur un schéma « miroir » au vers 67 et qui se poursuit au vers 68 (« souffles », « flottaient »), rejointe alors par les sonorités plus coulantes de la consonne [l] (« Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala »). Le tout dresse le portrait d'une nature nocturne calme et parfumée

par « affaiblie » Les deux vers sont donc accouplés phoniquement mais également syntaxiquement puisque la phrase se poursuit sur l’ensemble des deux tercets. Les deux tercets sont traités comme une seule strophe. Le [f] et le [v] sont des consonnes fricatives qui miment ici à la fois l’idée du froid mais aussi de la parole soumise à la constriction, au souffle gêné et affaibli. Semble le râle épais d'un blessé qu'on oublie Au bord d'un lac de sang, sous un grand tas de morts -

dépasser, envahir, noyer la douleur du poète à moins qu’ils soient à même d’en représenter les ravages. Les sonorités - très particulières aussi - sont incluses dans ces effets de rythme. Les sons liquides (L- M- N) englobent les rares consonnes sifflantes (S) et fricatives (R-F) comme une eau très froide ou très chaude peut calmer une douleur, comme un bruit assourdissant peut distraire un moment d’une pensée triste, comme un torrent, un orage, ou une tempête en mer peuvent momentanément faire oublier

langues à double articulation postérieures (voyelles non arrondies et arrondies), les langues à double durée vocalique, etc. Du côté des consonnes, certains linguistes ont tenté de classer les langues en fonction des modes d'articulation: les langues à consonnes occlusives limitées (une seule), à consonnes fricatives limitées (seulement le [t]), les langues à consonnes prénasalisées ou post-nasalisées, les langues à clics, les langues à deux modes articulatoires, etc. D'autres distinguent les langues

saccadé, heurté. Il y a donc une musicalité très spécifique, basée sur une énonciation rapide, lourde dans son propos mais légère et dans sa forme. Peut se retenir faciIlement. Musicalité renforcée par les allitérations, notamment la répétition de la consonne : « Je ne sais comment je dure / Car mon dolent cœur fond d'ire / Et plaindre n'ose, ni dire »,  « Ma doleureuse aventure / Ma dolente vie obscure ». De plus, Le retour du refrain induit à la fois la répétition voire l’enfermement puisque le poème

l'assonance en "A" dans les deux dernières strophes: "Je vois un port rempli de voiles et de mâts", "charmants climats", "fatigués", "vague marine", "parfum", "tamariniers", "la narine", "âme", "mariniers". =>Aux allitérations de consonnes douces et continues: fricatives f/v ("vois", "voiles", "fatigués", parfum", "verts"...); liquides l/r et nasales m/n (" charmants climats", "mâts", "marine", "tamariniers", "mariniers"). -Par ailleurs, la forme même du sonnet, cet "infini diminutif" tel que le

LECTURE LINEAIRE 1INTRODUCTION :Le XIXème donne naissance au romantisme, mouvement littéraire et artistique qui prone rexpression du moi. Victor Hugo, poète, romancier mais aussi dramaturge est l'un de ses représentants. Lorsqu'il publie Les Contemplations en 1856, l'auteur explique dans sa préface que «Vingt-cinq années sont dans ces deux volumes».Ce poème fait partie du tome I «Autrefois». 21e poème du livre premier intitulé «Aurore», il évoque l'enfance et l'adolescence. C'est une section heureuse

théorique de la pratique. Axe 2 : Analyse de la pratique de la synesthésie : " Il est ", donc est sensible, donc existe. Il part d'une sensation très secrète, abstraite, le parfum. Le parfum est impalpable, mais allitérations de fricatives, consonnes de vent en allitérations. Il faut lui trouver des équivalences plus palpables. Sensations avec trois " comme " successifs, avec du : · tactile : " chairs d'enfants fraîches ", · musical : " le hautbois ", · visuel : " vent

du monème. Si nous prenons, à titre d’exemple, la comptine n°10, nous remarquons : − Un changement du mode d’articulation avec l’ajout de la voyelle antérieure ouverte [a] au milieu du monème. − la fricative uvulaire sonore [ʁ] devient une fricative uvulaire sourde [χ]. − l’absence de la fricative uvulaire sonore [ʁ] à la fin du monème, donc il y a apocope. − l’ajout de la latérale alvéolaire sonore[l] au début du monème [lãglεz] forme une agglutination. − la voyelle antérieure semi-ouverte nasale