Constantin VII Porphyrogénète

un pont vers des sources que nous avons perdues par ailleurs. Il est connu surtout pour son ouvrage Vie des douze Césars, série de biographie des dirigeants romains de Jules César à Domitien (soit les Iers siècles avant et après J.-C.)Constantin VII Porphyrogénète (Κωνσταντίνος Πορφυρογέννητος, littéralement né dans la pourpre, 905 – 959) est un empereur romain d’Orient – c’est à dire Basileus (Βασιλεύς) de l’empire byzantin. Avant de parvenir au pouvoir, il est confiné au palais par son beau-père

que les moyens d’étude, les ouvrages spéciaux se réduisaient à bien peu de chose. Cependant M. de Slane commençait alors la publication du texte et de la traduction d’Ibn-Khaldoun et de divers autres écrivains arabes. La Société archéologique de Constantine, la Société historique d’Alger venaient d’être fondées, et elles devaient rendre les plus grands services aux travailleurs locaux, tout en conservant et vulgarisant les découvertes. Enfin, la maison Didot publiait, dans sa collection de l’Univers

contemporains. D’ailleurs, pendant longtemps, les penseurs politiques avaient pour postulat que la démocratie ne pouvait s’appliquer que dans les petits états, à la manière des cités-états de la Grèce. Ainsi raisonnent Montesquieu (Esprit des lois, l. VII, ch. XVI et l. IX, ch. II) et Rousseau (Contrat Social, l. III, ch. IV, VI, VIII), ou encore John Stuart Mill qui voient dans l’essor des communications et des moyens d’information le moyen d’avoir une démocratie directe à grande échelle permettant

pastoral de son troupeau spirituel et par le zèle pour les saints dogmes. Il organisa avec soin le service des pauvres, institua les coutumes de l’Église de manière à les différencier des usages païens, et s’illustra par de nombreux miracles. Lorsque Constantin le Grand, vainqueur de Maxence par la puissance de la précieuse Croix, entra dans Rome et fit promulguer de nombreuses mesures favorables au christianisme, saint Silvestre put sortir de la clandestinité et enseigner aux foules les mystères de la

lèpre, si générales alors ; car les hôpitaux nommés léproseries étaient déjà très nombreux. Voltaire (1756), Essai sur les mœurs et l’esprit des nations. 36 La monnaie avait à peu près la même valeur que celle de l'empire romain depuis Constantin. Le sou d'or était le solidum romain. Ce sou d'or équivalait à quarante deniers d'argent fin. Ces deniers, tantôt plus forts, tantôt plus faibles, pesaient, l'un portant l'autre, trente grains. Le sou d'or vaudrait aujourd'hui, en 1778, environ

lèpre, si générales alors ; car les hôpitaux nommés léproseries étaient déjà très nombreux. Voltaire (1756), Essai sur les mœurs et l’esprit des nations. 36 La monnaie avait à peu près la même valeur que celle de l'empire romain depuis Constantin. Le sou d'or était le solidum romain. Ce sou d'or équivalait à quarante deniers d'argent fin. Ces deniers, tantôt plus forts, tantôt plus faibles, pesaient, l'un portant l'autre, trente grains. Le sou d'or vaudrait aujourd'hui, en 1778, environ

était la cause de toutes ces maladies de la peau, connues sous le nom de lèpre, si générales alors ; car les hôpitaux nommés léproseries étaient déjà très nombreux. La monnaie avait à peu près la même valeur que celle de l'empire romain depuis Constantin. Le sou d'or était le solidum romain. Ce sou d'or équivalait à quarante deniers d'argent fin. Ces deniers, tantôt plus forts, tantôt plus faibles, pesaient, l'un portant l'autre, trente grains. Le sou d'or vaudrait aujourd'hui, en 1778, environ

les sociétés se forment et se défont Chapitre V. Les inégalités ethniques ne sont pas le résultat des institutions Chapitre VI. Dans le progrès ou la stagnation, les peuples sont indépendants des lieux qu'ils habitent Chapitre VII. Le christianisme ne crée pas et ne transforme pas l'aptitude civilisatrice Chapitre VIII. Définition du mot civilisation ; le développement social résulte d'une double source Chapitre IX. Suite de la définition du mot civilisation ;