Consulat

Mythes Napoléoniennes Si le XIXe siècle est le siècle du romantisme, c’est entre autres parce que plane sur lui l’ombre de l’épopée et de la légende napoléoniennes. Le Consulat et l’Empire ont eu une portée bien plus grande que ne le laisse attendre a priori un épisode finalement bien court. Ces années ont en effet donné naissance à des mythes puisqu’il y a eu fabulations, déformations et interprétations objectivement récusables du réel. Les mythes nés de l’Empire révèlent les traces que ce régime

toutes annuelles sauf deux : * Les censeurs : élus tous les cinq ans pour 18 mois. * Les dictateurs : nommés pour 6 mois. 2) Le cumul Au niveau du cumul : on ne peut exercer deux fois de suite la même magistrature. Pour le consulat, il faut même attendre 10 ans. On cherche à éviter les abus d’autorité. Néanmoins, il existe des clauses de dérogation car on manque parfois de candidats, effectivement, les conquêtes romaines, réclament sans cesse un nombre croissant de magistrats

avant le consulat ? Le consulat a été un régime politique issu du coup d’état du 9 Novembre 1799 (ou 18 Brumaire de L’an VIII) qui a renversé le régime du Directoire et qui se termina le 18 mai 1804 (Ou 28 floréal de L’an XII). Suite à ce coup d’état la constitution de l’an VIII va établir un régime politique autoritaire dirigé par trois consuls, mais surtout par Napoléon Bonaparte qui deviendra par la suite consul à vie en 1802. Si le Code Civil n’a pas pu être adopté avant le consulat c’est

patriciens de Rome5. Par ce lignage, César revendiqua, lorsqu’il prononça l’éloge funèbre de sa tante Julia, une ascendance remontant à Vénus6. Les Iulii historiquement connus furent une famille patricienne d'importance mineure, qui exerça quelques consulats mais ne faisait pas partie, au Ier siècle av. J.-C., de la cinquantaine de familles de la nobilitas qui fournissaient la plupart des consuls. Les Julii connurent des revers de fortune, et Jules César grandit dans une maison assez modeste du bas quartier

province d’Aquitaine, distinction brillante entre toutes par l’importance de cette charge et parce qu’elle laissait espérer le consulat, auquel l’empereur l’avait destiné. » En effet, Vespasien rappelle Agricola en 74 et, pour le récompenser, l’élève au rang prestigieux de patricien, qui lui confère de surcroît des privilèges religieux. La magistrature suprême, le consulat, lui semble désormais accessible. Ce poste est devenu une coquille vide depuis l’avènement d’Auguste, mais reste très convoité

la Bastille. Révolution : 1789-1799 ou 1789-1815 (cf. chronologie du dossier). Monarchie constitutionnelle : 1789-1792. 10 août 1792 : arrestation du roi : fin de la monarchie absolue. 1792-1799 : Première République. A partir de 1799 : Le Consulat et l’Empire. On a trois grands temps dans la Révolution : fin de l’Ancien Régime et de la monarchie absolue. A partir de 1792 : on va rentrer dans la République et dans la guerre. L’évolution politique de la Révolution est liée à l’évolution de

résidents à l'étranger ? | | | Eu égard aux conditions des marocains résidents à l'étranger, ils peuvent conclure leurs contrats de mariage, soit auprès des services du pays de résidence, soit auprès des sections notariales des ambassades et consulats marocains. | | | | | | La conclusion des actes de mariage auprès des services du pays de résidence : | | | les marocains résidents à l'étranger peuvent conclure leur mariage selon les procédures administratives locales du pays de résidence

approuvée par référendum. / Constitution extrêmement rigide (le pouvoir constituant originaire n'a pas manqué d'imagination pour rendre complexe la révision). / Séparation stricte des pouvoirs. Constitution du 13 Décembre 1799 (22 frimaire An VIII) : Consulat. Né du coup d'Etat du 18 Brumaire an VIII qui a renversé le Directoire. Le Chef de l'Etat est un Consul (Napoléon Bonaparte) qui partage en théorie son pouvoir avec deux autres Consuls, ce qui ne sera jamais le cas en pratique. La souveraineté est

droits à la citoyenneté complète sont équivalents à ceux des Romains de Rome, peut après avoir occupé une charge publique mineure, dans sa cité, ou exercé un commandement militaire, se lancer dans la carrière des honneurs, dont le but ultime est le consulat. Dans la Rome républicaine, les magistratures sont peu à peu ouvertes aux plébéiens comme aux patriciens. Il est simplement interdit de faire des affaires, activités réservées à la classe des chevaliers ( equites) En pratique, quelle que soit son

vertueux Nobilitas : ce qui on était consul ou qui on un parent consul. Entre 218-108 : 222 consuls de seulement 25 familles p.22 Ce qui s’oppose à la nobilitas : homines novi (homme nouveau). Ce sont les premiers de leur famille à accéder au consulat, ils sont de plus en plus nombreux et importants 4 hommes nouveaux dans la première moitié du premier siècle, 11 dans la deuxième moitié Ex : Cicéron, consul en 63 C- Le patronat Réseau de fidélité p.24-25 Même si l’aristocrate est supérieur