Conséquence Des Prélèvements Obligatoire Sur La Demande

depuis la fin des années 60 (20 millions)il y a eu une très fort accélération de cette population (1968 -> 21,5 millions ; 1972 -> 22,2 millions ; 1976 -> 23,2 millions ; 1980 -> 24,1 millions ; 1992 -> 25,2 millions ; 1999 -> 26,1 millions) Conséquence du baby boom. Ce qui va poser des problèmes à partir des chocs pétroliers (1975) car les emplois ne se créent plus et le chômage augmente. Le taux d’activité des femmes a beaucoup évolué, en 1975 il était de 51,5 %. Phénomène frein dans l’évolution

2006, surtout le premier janvier 2001, tous les impôts et taxe sont été regroupés dans une seule et unique loi sous le nom de code générale des impôts. Tous les pays du monde puisent de ces prélèvements pour financer leurs dépenses. Le financement de l’Etat marocain provient en grande partie des prélèvements fiscaux. I. Notion et caractéristiques de l’impôt : 1. Notion de l’impôt L’impôt est depuis longtemps assimilé aux finances nécessaires pour couvrir les dépenses de

communes…), les entreprises publiques (SNCF…) et la sécurité sociale (Etat-Providence). La décentralisation consiste pour l’Etat à transférer au profit des collectivités territoriales certaines compétences et ressources. Dès lors, on peut se demander si l’Union Européenne et la décentralisation conduisent vers un affaiblissement de l’Etat. Nous allons alors étudier dans un premier temps l’affaiblissement de l’Etat. Dans un second temps, nous analyserons le renforcement de l’Etat. I) Affaiblissement

sur l’évolution de la masse monétaire et les taux d’intérêt pour agir sur la croissance, le chômage et l’inflation tandis que la politique budgétaire repose elle, comme son nom l’indique, sur le budget de l’Etat. Celle-ci agit principalement sur la demande. Nous imaginons aisément que les moyens de chacune de ces deux politiques peuvent interagir ensemble et nous mettrons en lumière dans un second temps le Policy Mix. Notion qui fait état d’un mélange de genre entre politique monétaire et budgétaire

illimités. Ils ne sont pas tous de même nature. On distingue les besoins primaires et les besoins sociaux, des besoins solvables ou non, des besoins individuels ou collectifs. Les biens et ressources économiques sont au contraire limités.  La conséquence de cette double situation est la rareté relative des biens, ce qui nécessite de hiérarchiser les besoins et de faire des choix. L’activité économique de consommation conduit à choisir en fonction de l’urgence et de l’intensité des besoins.  L’activité

recueil et au traitement des données sur l'état de santé de la population réalisé et appuie les enquêtes, études ou expertises sur sa mission de veille sanitaire Champ de compétence Tous les domaines de la santé publique (maladie à déclaration obligatoire, infectieuses) risques de pollution santé au travail (amiante) maladies chroniques (diabète) traumatisme (accident de la vie courante) 2) L’AFSSAPS (agence Française de sécurité sanitaire et des produits de santé) Définition Se substitue

Economie Première année I) Le prix  Marché=lieu de rencontre entre l’offre et la demande et de cette confrontation découle un prix. L’objet de l’échange peut porter sur des biens, des services, sur du travail, des capitaux financiers, des devises etc… Le prix d’équilibre=> offre et demande = au même niveau Forte demande = augmentation des prix et lorsque la demande est inférieur à l’offre = prix bas Le prix est un indicateur essentiel pour les agents car c’est un indicateur de rareté

 et  d'effets  pervers.  »     Notions   obligatoires  :   Égalité,   équité,   discrimination,   méritocratie,   assurance/assistance,   services   collectifs,   fiscalité,  prestations  et  cotisations  sociales,  redistribution,  protection  sociale.     Acquis  de  première  :  État-­‐providence,  prélèvements  obligatoires,  revenus  de  transfert       Notions  complémentaires

des impôts locaux? Une interrogation presque paradoxale En effet, jamais les prélèvements obligatoires des collectivités locales n'ont été aussi élevés. De 5,9% du PIB en 1987, ils représentent 6,6% en 1993 et 6,9% sont prévus en 1994. Dans le même temps, les prélèvements obligatoires totaux, toutes collectivités confondues, sont passés de 43,8% du PIB en 1987 à 43,6% en 1993 et 44,4% prévus en 1994. Les prélèvements au profit de l'Etat enregistrent une décrue (de 16,9% du PIB en 1987 à 14,3% en

de modèle corporatiste. Même s'il est un système d'assurance, il se distingue du modèle libéral (voir plus bas) dans la mesure où il est organisé par l'Etat, cogéré par les partenaires sociaux (représentants des salariés et des employeurs) et obligatoire. La logique de l’assistance : La protection sociale est un système redistributif visant à assurer une plus grande égalité entre tous en couvrant les besoins considérés comme « de base ». Dans ce type de système, tous les individus sont couverts