Conséquences Du Bipartisme

1793, on considère que la société doit satisfaire le bonheur commun et les quatre droits principaux sont l’égalité la liberté la sureté et la propriété. On peut même préciser que certains voulaient éliminer la propriété de cette liste. 3 §/ Les conséquences des deux théories A) La place de l’Etat : Le rôle de l’Etat est ici essentiel pour distinguer les deux théories. Dans la théorie libérale, on considère que l’Etat n’a qu’une place réduite, il doit maintenir l’ordre public, c'est-à-dire

Les régimes démocratiques. 15 A/ Le concept de démocratie. 15 1. Les critères des régimes démocratiques. 15 2. La distinction entre république et démocratie. 16 B/ Régime démocratique et système de partis. 16 1. Les systèmes de partis. 16 a) Bipartisme et multipartisme. 17 b) La polarisation des systèmes de partis. 17 2. L’influence des mode de scrutin sur le respect de parti 18 III. Les régimes autoritaires et totalitaires. 20 A/ Régime autoritaire. 20 1. Les critères d’identification. 20

législatives hautes et basses américaines), la procédure d’impeachment étant un cas particulier. De plus aucune chambre du Congrès ne peut faire l’objet d’une dissolution. B. Aux faiblesses des modèles. On remarquera que dans le système britannique, le bipartisme rigide provoque une quasi élection du Premier Ministre au suffrage universel entrainant une quasi disparition de la responsabilité politique du Gouvernement ainsi qu’un détournement du rôle de la dissolution qui est utilisé pour choisir le « meilleur

incorpore tous les individus morts, présents et à venir. Elle ne peut être confondue avec les occurrences du peuple. La nation n’est personne en particulier, et c’est pour ça qu’elle doit être souveraine. Le souverain est devenu une entité. L’une des conséquences de la mise en place de cette notion de nation est notamment le caractère inaliénable et indivisible de la souveraineté, la nation englobant le passé, le présent et l’avenir (pas de division possible). L’effet concret qui apparaît dans le domaine

l'endroit des« barons voleurs » contenaient également une composante populiste. Pendant les années 1990, Ross Perot candidat aux élections présidentielles de 1992 et 1996, et Patrick Buchanan, ont aussi incarné une forme de populisme, en dénonçant le bipartisme traditionnel, associé à des vieilles élites politiques. Le populisme, une influence néfaste sur la démocratie ? En somme, le populisme constitue rarement une idéologie autonome ; le plus souvent, il est une composante parmi

des règles qui ont une valeur supérieure, aucune norme n’est supérieure à elle. Le droit constitutionnel occupe le sommet de la hiérarchie de l’ordre juridique d’un Etat ou le sommet de la pyramide des normes. Cette supériorité entraine deux conséquences : Les lois constitutionnelles sont élaborées selon une procédure solennelle, elles ne peuvent être modifiées que suivant une procédure spéciale, solennelle. Autrement dit une règle constitutionnelle ne peut que être modifiée par une autre règle

des partis politiques, et plus largement sur le régime politique lui même. Le mode de scrutin permet le passage du décompte des voix à la désignation des élus. Le système électoral recouvre, lui, l’ensemble des déterminants de l’élection et des conséquences des modes de scrutin (effets sur l’organisation des partis, les alternances, etc.). Alors que, après de longues luttes pour l’établissement de ses règles et l’extension de son champ, le principe de l’élection au suffrage universel fait aujourd’hui

l’attribution des sièges ou des mandats à partir du nombre de suffrages. Par-delà l’aspect purement technique et mathématique des modes de scrutin, il faut avoir conscience que le choix d’un mode de scrutin n’est jamais neutre et qu’il a d’importances conséquences sur la vie politique et sur les institutions. Il existe trois mode de scrutin ; le scrutin majoritaire, le scrutin à la représentation proportionnelle et les modes de scrutins mixtes. La justice d’un mode de scrutin est la qualité d’un système

Le gouvernement disposant ainsi de la durée peut mettre en œuvre sa politique, il devient alors prépondérant. Le bipartisme rigide que connaît la Grande-Bretagne explique en grande partie cette situation. En effet, il conduit à l’existence d’une majorité cohérente, stable et solide ainsi qu’à la quasi-élection du Premier ministre au suffrage universel. Cela entraîne quelques conséquences paradoxales. On constate en effet la quasi-disparition de la responsabilité politique du gouvernement ainsi que

"consentement" du souverain, qui, en théorie, est toujours titulaire des mêmes prérogatives qu'auxviiie siècle : les ministres, sur le papier, sont des commis de la Reine, elle "dissout" le parlement et "choisit" le premier ministre, tirant apparemment les conséquences des élections. Or chacun sait qu'elle n'a plus qu'un rôle de symbole, de personnification de l'État, dont elle n'assure plus que la représentation, la continuité et le prestige. Cette fonction est importante, mais la pratique est que, bien évidemment