Conte Plaisant

soirée de conte. Deux conteurs nous ont raconté plusieurs contes, portant sur plusieurs sujets. Suite à cette soirée, nous devons faire l’analyse du conte « Le pêcheur et sa femme» des frères Grimm. Dans cette analyse, vous pourrez voir les caractéristiques du conte, le rapport à l’oralité et le langage scénique que j’aurais mis dans ce conte. Il existe plusieurs caractéristiques qui nous permet de constater que « Le pêcheur et sa femme» est bien un conte. Tout d’abord la définition du conte est : «

Argumentation indirecte dont la force repose sur le contraste entre les deux personnages et le jeu des valeurs mis en scène dans la fable. Genre de l’apologue : récit bref à visée argumentative et dont les éléments ont une portée allégorique. UN RECIT PLAISANT des personnages stylisés et contrastés Le titre : désigne les personnages par leurs métiers en les opposant (appartenance à deux classes sociales distinctes). Ces deux personnages vont être constitués en types par la fable. Le Savetier : d’abord

Le conte et la fable : deux genres dont les affinités et les entrecroisements paraissent évidents au xviie siècle. Le Dictionnaire de Furetière a recours à la même terminologie pour les définir : « fiction », « chose inventée », « plaisanterie », « plaisant ». Pour les contemporains de La Fontaine, les deux genres participent également de la « feinte » — la fable par statut, le conte par prédilection — et leur finalité avouée est celle de « plaire », de « divertir ». Bien sûr, il existe aussi des

(le Pot de terre et le Pot de fer ) des éléments naturels ( le Berger et la Mer ). - Le conte, court roman d’apprentissage dans lequel le héro découvre le monde et qui il est. L’enseignement du conte découle de la capacité ou l’incapacité du héro à surmonter les épreuves qu’il rencontre. Ex : conte de Perrault, Le petit chaperon Rouge. - Le conte philosophique possède les mêmes caractéristiques du conte traditionnel, à cela s’ajoute l’enjeu politique et dénonce les dysfonctionnements sociaux

quoi la morale est-elle ambiguë ? Exemples de plan : I) Une fiction plaisante a) Le personnage de Perette b) Un doux rêve II) Le lecteur captivé a) Un récit vivant b) l'implication des lecteurs III) Vers l'enseignement a) Un récit instructif b) la morale Intro : Le deuxième recueil des Fables de La Fontaine, paru en 1678, comporte la fameuse fable « La laitière et le pot au lait » qui conte l’histoire d’une jeune paysanne, Perrette, qui se rend à la ville pour

d’instruction « La Laitière et le pot au lait » = histoire d’une jeune paysanne qui rêve de s’enrichir mais retour brutal à la réalité. En quoi cette fable illustre-t-elle le principe « plaire et instruire » cher à La Fontaine ? I – Un récit plaisant Le conte a une valeur éducative : - Texte vivace (rythme) → Vers bref (ex : « Perrette sur sa tête ayant un pot au lait » (v 1) → présente le pers. princ. → rimes : ville/agile → musicalité, entrain Séquence 1, Lecture analytique 1 La Fontaine

contraire il est captivé dès que l'orateur commence à narrer les aventures des dieux. Preuve est faite : les hommes ne sont sensibles qu'aux histoires. La Fontaine peut alors conclure : « Au moment que je fais cette moralité, Si Peau d'âne m'était conté, J'y prendrais un plaisir extrême ; Le monde est vieux, dit-on ; je le crois, cependant Il le faut amuser encore comme un enfant. » Ainsi, le lecteur, même adulte, est friand d'histoires, en particulier d'histoires merveilleuses, mettant en scène

propos qui se trouve ainsi soulevée. L’auteur montre alors tout au long du récit l'utilité de l'apologue, art à la fois utile et futile. L'apologue se rapproche dans ce texte du conte de fée avec l’allusion à Peau d'Ane (v.34) de Charles Perrault. L’une des principales caractéristiques du conte de fée est d’être plaisant car il est destiné généralement aux plus jeunes. La Fontaine, par la voie de l’orateur, compare alors le public à des enfants : l'auditoire se livre à « des combats d'enfants »,

ce qui est énoncé) IV/ L’argumentation au XVIIe et au XVIIIe siècle A)     L’argumentation au XVIIe siècle ·         La doctrine classique vise à « instruire et plaire ». On privilégie l’argumentation indirecte. ·         Apologue : récit plaisant dans lequel l’auteur distille une morale au lecteur. La fable est une forme possible de l’apologue. 1-      Les Fables de la Fontaine Il écrit selon la doctrine classique de l’imitation. Il imprime à ses fables un style qui lui est propre et

versification ou la personnification, l’auteur parvient à divertir ses lecteurs pour mieux faire passer sa moralité (= « l’âme » de la fable ≠ « le corps « ). La Fontaine voulait faire retrouver leur esprit d’enfant à ses lecteurs, que demander de plus plaisant pour instruire ? 3) Dans le genre théâtral : Les règles du théâtre classique : à partir de 1630 plusieurs règle s’imposent aux dramaturges car elles renforcent l’illusion théâtrale : elles aident le spectateur à faire comme s’il assistait en