Contexte Historique Marcel Duchamp

  –   à   laquelle   l’on   donna   d’autres   titres,   comme   Le   Bouddha   de   la   salle   de   bains   ou   encore   la   Madonne   des   toilettes   –   de   Marcel   Duchamp,   le   statut   même   d’œuvre   d’art  est  souvent  remis  en  question.  Cette  œuvre,  un  simple  article  de  sanitaire  acheté  dans  un   magasin  à  New  York

(Kriss présentateur de l’émission « Minute Papillon) Nous pouvons aussi les partager en d’autres types basés sur leurs œuvres : * Les artistes « de fond » Abstraites ou non, leurs créations portent un message, relate un fait de société ou historique. Le fond prime parfois sur la forme qui pour certains n’aura aucun sens et pour d’autres lui donnera tout son sens. * Les artistes « contestataires » Avec des œuvres provocatrices, ces artistes critiquent la société, le business, la religion

assez différents dans leur contexte. C’est ce qui nous a amené à choisir trois textes : RESTANY PIERRE, MANIFESTE DES NOUVEAUX RÉALISTES, EDITIONS DILECTA, 14 pages MOLLARD, Claude, Les nouveaux réalistes, Paris, Cercle dʼart, 2002. HAHN Otto, DANIEL SPOERRI , EDITION FLAMMARION, PARIS, 1990, 190 Pages Le choix des trois œuvres s’est porté sur la pertinence de ces trois derniers et leur complémentarité dans leur contexte global. Ce choix est lié à une étude de contexte de chaque livre, qui représente

curiosité, nous tenterons une approche anthropologique grâce au travail de Krszysztof Pomian, puis celui de Patricia Falguières. En tentant de découvrir la dimension psychologique et sémantique des collections, nous pourrons approfondir le contexte historique expliquant la nature et le contenu des cabinets. Enfin, nous tenterons de mettre à jour la fonction sociale du cabinet de curiosité à travers l’exemple de la collection de Rodolphe II, puis de collections Milanaises dans la période Baroque

» signifie également simultanéité entre deux choses. Donc est contemporain ce qui est dans le même temps que le sujet. L’art contemporain serait donc l'art qui se fait aujourd'hui. Mais, appliquée à l’art, cette notion, sans perdre son caractère historique, revêt de surcroît un caractère esthétique. Ce caractère devient polémique, puisque les acteurs n’ont pas le recul nécessaire pour effectivement apprécier les œuvres. La désignation « art contemporain » ne doit donc pas uniquement être prise au

comme moyen et non comme fin, c’est la base du totalitarisme.La tête devient le réceptacle absurde d’autre chose, et non plus le centre de tout. Ces tableaux sont l'expression de la tragédie, de la douleur, des scènes de combat en peignant dans des contextes brutaux. Étant dans l'impossibilité d'exprimer les choses directement, il est plus facile de s'exprimer en employant le rire. L'artiste exprime dans un style comique des émotions douloureuses. Face à un monde violent et dur, il oppose un rire de

made de Duchamp : celui de présenter en tant qu’art un objet trivial, choisi précisément pour son indifférence esthétique1, qui désamorce toute possibilité de discerner l’œuvre de l’objet réel. De ce que l’art n’est plus affaire d’expression et de représentation, ce serait conclure bien vite que de « Le choix était fondé sur une réaction d’indifférence visuelle, assortie au même moment à une absence totale de bon ou mauvais goût … en fait une anesthésie complète » (Marcel Duchamp, Duchamp du signe

l’incompréhension Le cubisme se fait connaître lors des expositions aux Salons des Indépendants, d’avril 1911 et de 1912. La première exposition expose des artistes cubistes (Delaunay, Gleizes, Le Fauconnier, Léger, Metzinger, Archipenko, La Fresnaye, et Marcel Duchamp) hormis les initiateurs, Braque, Picasso. Le public pense alors, de bonne foi, mais à tort, que le véritable cubisme est celui-là. C’est lors de ce salon que Pierre Cabanne différencie les « cubistes » des « cubisteurs » (Gleizes, Metzinger, Le

politique de la France. À ce stade de la scolarité, les élèves acquièrent les repères fondamentaux du monde contemporain et maîtrisent les notions et le vocabulaire nécessaires à sa compréhension. Ils ont maintenant une pratique effective de sources historiques plus variées et plus complexes qu’ils confrontent de manière régulière et ils intègrent dans leurs productions des éléments explicatifs et démonstratifs, à l’écrit comme à l’oral. Ces deux capacités (analyse de documents et maîtrise de l'expression

Définition de l’évaluation pour les candidats L’évaluation de l’histoire des arts prend appui sur un travail à dimension historique, artistique et culturelle en conformité avec l’esprit de l’enseignement de l’histoire des arts. Toutes les disciplines, mais en premier lieu celles de la culture humaniste, visant à développer la précédents ou contemporains curiosité et la créativité artistiques des élèves, à aiguiser leurs capacités d’analyse d’une oeuvre d’art, à les aider à se construire une