Contrainte Morale

que je veux » et par conséquent avoir un pouvoir d'agir, c'est la liberté d'action. Pour ces derniers, l'obligation est une entrave à la liberté car elle réduit le pouvoir d'agir. Ce pendant, il faut différencier l'obligation de la contrainte. En effet, une contrainte est une nécessité imposée à l'homme qui n'a donc plus le choix, il n'y apar conséquent pas de question de liberté, mais dans l'obligation, c'est l'homme qui s'impose à lui même cette obligation, il y a donc un choix de sa part et on

ne peuvent être écartés b) Droit et morale Il n'y a pas de séparation radicale entre droit et morale : la morale demande respect du droit et le droit implique le respect de la morale : par exemple, elle peut entrer en compte pour un juge (mauvaise foi ) mais a un caractère relatif). Le parlement prend la morale du corps social dominant (média ? et rejet de certaines formes de morales traditionnelles) .

La morale Un faux problème ? La morale réfléchit sur l’action pour lui donner des règles. Elle concerne le temps de l’action : le présent. Nietzsche dans Ecce homo III, appelait la morale «  Circé de l’humanité », perverse et morbide. En faisant miroiter des idéaux transcendants et des valeurs sublimes, elle discrédite implicitement ce monde-ci et, ss prétexte de l’améliorer, permet aussi d’en esquiver les obligations. La morale, refuge des « contemplatifs », sert trop souvent de tour d’ivoire

droit ? • Quel est le fondement de la validité (de leur caractère normatif) du droit (voir le débat entre Hans Kelsen et Carl Schmitt, celui-là soutenant le « normativisme » et celui-ci le « décisionnisme ») ? • Quel est le rapport entre morale et droit (et notamment le débat sur les droits de l'homme et le rôle des valeurs éthiques par rapport au droit positif, c'est-à-dire aux lois et textes réglementaires existants) ? • Faut il s'opposer à la loi injuste ? (question pouvant se poser

droit au regard de la règle morale » I ) Les divergences entre le droit et la morale A ) Des domaines différents B ) Des sanctions différentes II ) Les convergences entre le droit et la morale A ) La morale, moteur du droit B ) Le droit, facteur d'évolution de la morale Introduction : Le droit comporte des règles, mais toutes les règles ne sont pas juridiques et il est parfois difficile de distinguer ce qui sépare le droit des autres disciplines, comme la Morale. On peut définir la règle

Dissertation de philosophie La liberté peut-elle faire peur ? La liberté est souvent définie comme une absence de contraintes. Il ne faut cependant pas se limiter à cet aspect. Hobbes, dans son ouvrage « Le Léviathan » définit la liberté comme un mouvement qui a une cause : si nous désirons accomplir une action, cette volonté provient de quelque chose. La liberté semble donc être une nécessité pour l’homme. Malgré cela, au cours de l’histoire, les hommes ont de nombreuses fois volontairement

mais l’objet de notre extrait est l’éducation morale que Kant assimile à l’éducation pratique (2). La question que l’on se pose est celle du fondement de l’éducation morale. On peut définir d’une part communément la morale comme regroupant un ensemble de règles que l’homme doit respecter et d’autre part on assimile traditionnellement l’homme moral à l’homme libre. Le problème qui se pose à nous est le suivant : à quelles conditions une éducation morale qui consiste en l’apprentissage du respect de

délimitation des champs d’application Le français possède deux termes pour désigner sensiblement la même chose : « l’éthique » (du grec ethos : habitude) et « la morale » (du latin mores : mœurs). Les deux termes renvoient à l’ensemble des jugements destinés à influencer la conduite des hommes. Mais une distinction existe pourtant selon laquelle : « La morale commande à tous, l’éthique recommande à quelques-uns. » (Dictionnaire de droit de la santé et de la biomédecine, 2006). 2. Intérêts et limites L’éthique

Relayée par les médias, l'affaire Humbert illustre le débat sur la relation entre droit et éthique. En effet, elle soulève la question de savoir, si une personne ne pouvant se donner la mort peut être assistée par une autre personne. D'un point de vue moral deux réponses sont possibles : on peut considérer la vie comme valeur suprême comme le font par exemple les catholiques et dans ce cas aider à donner la mort est interdit ou l’on peut considérer que chacun a le droit de vivre dans la dignité et de

de la volonté de l’individu qui y est soumis. Le sujet ne s’impose pas lui-même une contrainte comme avec le droit de la morale ou de la religion (où ce dernier semble être pur et unique produit de conscience). Ici, la règle de droite est un ordre, une suggestion imposée à chaque membre du corps social qu’il le souhaite ou non puisqu’elle est contrainte émane de l’état. Ainsi, si toute règle de conduite ou de morale comporte une sanction (par exemple psychologique ou divine), la règle de droit est