Contrainte Morale

dont une personne déterminée peut se prévaloir (ex : Le droit à une vie privée, le droit au mariage, le droit à la propriété, le droit à la liberté d’expression, etc.) - D’autres sources de commandement et de régulation des rapports humains : la morale, la religion, la curiosité, voir même le phénomène de mode dans certains milieux. Le code pénal marocain introduit des interdictions religieuses. Le droit objectif : • Le droit objectif assure l’ordre nécessaire à la vie en société

Comparez la règle de droit et la règle morale « Le droit se préoccupe des attitudes extériorisées tandis que la morale s'intéresse au for intérieur », Kant. La règle de droit est une « règle de conduite dans les rapports sociaux, générale, abstraite et obligatoire, dont la sanction est assurée par la puissance publique ». Les règles morales sont les normes qui distinguent entre le bien et le mal, ainsi ces règles ne peuvent pas assurer la sécurité juridique qui est le but de la règle de

ligne 12 jusqu’à  la fin Puis, dans un deuxième temps, il explique comment la conscience se retourne contre elle-même, comment elle se donne tort à elle-même. Du coup la conscience qui surgit ainsi dédouble l’homme. L’expérience de la conscience morale nous conduit ainsi à une expérience de l’altérité à soi. Comment peut-on, tout ensemble, être soi-même tout en étant un autre ?   I. Description de la conscience (début à ligne 11) 1) Comment définir la conscience ?             Kant part d’une

également être soumis à d'autres types de règles, morales ou religieuses par exemple. Les rapports entre règle de droit et règles morales et religieuses sont problématiques dans la mesure où ces termes font référence à trois systèmes normatifs qui ont pour terrain commun l'individu et son action sociale. On peut se demander comment définir ces différentes relations installées entre ces trois types de règles, ce qui distingue le droit de la morale et de la religion et comment ses trois notions interagissent

situation seront soumises à la même règle. Si une mesure ne concerne qu'une personne déterminée, ce n'est plus une règle de droit mais une décision. Ex: un décret de nomination n'est pas une règle de droit mais une décision administrative. Les règles morales, religieuses ou de bienséance en tant que règles ont aussi ce caractère général et impersonnel -> pas propre à la règle de droit. - Elle a une finalité sociale "Ubi sociétés ivi jus " -> pas de société sans droit. Le but de la règle

situation. Lire de ce sens l'article 6 de la DDH --> la loi doit être la même pour tous Est ce qu'on peut réserver la généralité et l'impersonnalité à une seule règle de droit ? Est-ce que seule la règle de droit présente ces caractères ? NON Morale, religieuse, savoir-vivre ne s'adresse pas à tel ou tel personne définie comme une règle de droit formulée de manière abstraite peut s'appliquer au plus grand nombre de catégories indifférenciées de personnes CONCLUSION : critères qui tiennent aux

juste une notion physique, son point d’application est le corps d’autrui mais par la contrainte je ne peux pas obtenir d’autrui qu’il pense ou croit quelque chose. Il faut donc choisir entre la nécessité qui est un rapport physique et le devoir (rapport d’esprit à esprit). Cependant,  «  il faut »peut signifier à la fois une nécessité (sens factuel), soit une notion morale. Seul un être qui n’est pas contraint par la force peut avoir un devoir. Si un voleur me menace d’une arme pour reprendre mon

Sur la conscience morale Qu’est ce qu’un acte moral ? Ca rejoint les souvenirs de l’enfance, des choses à faire et à ne pas faire. La connaissance du Bien ou du Mal vient des règles et la formulation des interdits. L’éducation est la première référence au Bien ou au Mal, mais c’est une éducation très subjective, elle est relative. L’éducation par l’interdit donne la morale. La conscience morale est indissociable de la notion d’action. Agir en conscience, et agir en son âme et conscience. Le

règles de bienséance, règles morales, règles religieuses, ainsi que des règles de droit. Toutes ces règles ont une vocation sociale et entraînent une sanction en cas de non-respect de la norme qu’elles édictent. Les juristes s’entendent généralement pour définir la règle de droit comme une norme juridiquement obligatoire, quelle que soit sa source, quel que soit son degré de généralité. La règle de droit doit être distinguée des autres normes. Il y a aussi les règles morales, imposées par notre conscience

libre, est-ce vivre sans contrainte ? » On peut trouver beaucoup de terme et de définitions pouvant définir ce qu'est « être libre », être libre c'est pouvoir exercer sa volonté en agissant ou en n'agissant pas; c'est avoir un libre arbitre; c'est celui qui n'est pas en captivité; etc. Mais le sens commun qui revient le plus souvent est qu'être libre c'est d'avoir une absence de contraintes. On peut alors se demander si vraiment, être libre c'est vivre sans contrainte, Cette question se pose en