Contraintes Structurelles Crozier

ANALYSE DES POLITIQUES PUBLIQUES ________________________________________ 1. INTRODUCTION 1.1. Définition des politiques publiques L’Etat est prestataire de service, mais il a également un aspect de contrainte, via notamment les impôts, l’armée, la police. La contrainte est toujours présente dans l’action de l’Etat. Les politiques publiques concernent donc l’ensemble de ces actions. Aspect idéologique à prendre en compte, et le jeu politique. Politiques publique : actes, décisions

L’organisation de l’entreprise doit alors apporter efficacité et réactivité. La production est organisée en « flux tendus » et par lots différenciés, les compétences du personnel deviennent plus techniques et polyvalentes pour s’adapter aux nouvelles contraintes de production. Les fonctions support -communication, organisation, ressources humaines, comptabilité, finances, contrôle de gestion- font l’objet d’une intégration approfondie au sein de l’entreprise, afin d’en permettre le pilotage à court et moyen-long

s’allient et s’opposent dans la défense de leurs intérêts Auteurs : March et Simon ; Crozier et Friedberg Métaphore : politique (polis = la cité) Vocabulaire : concurrence et collaboration, acteurs, stratégies de pouvoir, conflits d’intérêts Domaines influencés : direction générale, stratégie d’entreprises, syndicats professionnels * …une prison du psychisme : Image essentielle : lieu de contraintes psychologiques, d’adhésion, de soumission, de passions Auteurs : Ecole freudienne :

Surmonter les contraintes du projet Pour finaliser son projet, le créateur doit identifier et surmonter l’ensemble des contraintes qui y sont liées. Elles sont de quatre ordres : – contraintes propres au produit et à la prestation : un produit industriel ne génère pas les mêmes contraintes qu’un service, certains produits peuvent avoir des volumes de stockage très importants (camions, outillage), tandis que des services nécessitent des investissements aux normes (restauration) ; – contraintes de marché

établissements scolaires. Sous l’impulsion de Laurent Fabius, le plan Informatique Pour Tous – IPT – est lancé en 1985. Deux milliards de francs sont alloués pour former les Français à ce qui devait devenir « une deuxième langue maternelle » . Mais les contraintes matérielles ont eu raison de l’engouement suscité par ces mesures. Le matériel français développé par Bull et Thomson s’est avéré peu performant par rapport à ses homologues américains. Mais ce plan a tout de même permis d’amorcer la spirale de

activités permettant la conduite des organisations. L’activité du gestionnaire est donc de prendre des décisions en fonction d’objectifs à atteindre, d’informations sur la situation actuelle et passée de l’organisation et de son environnement, de contraintes à respecter, puis de faire appliquer les décisions prises. L’objet de la gestion L’objet de la gestion ne se limite pas à l’entreprise privée1 mais concerne l’ensemble des organisations : entreprises publiques, administration, association, collectivité

premier temps, un modèle qui inverse l’ordre des axes financier et client. Ce modèle place l’axe client au sommet de la BSC pour représenter la finalité externe de l’administration. L’axe financier est placé en deuxième position pour représenter la contrainte budgétaire imposée par les donneurs de fonds publics5. Visiblement trop simpliste et réducteur de la réalité du management public, cette solution a été fortement critiquée6. Avec l’accroissement du nombre d’administrations ayant adopté cet outil

Dans la famille, le groupe professionnel, religieux ou non religieux, le pays, voir au delà sa civilisation. Il définit ainsi le fait social comme « toute manière de faire susceptible d’exercer sur chacun de nous une contrainte extérieure ». L’individu subit la contrainte, le poids de son milieu social. On retrouve ici l’idée d’un déterminisme social. Pour lui, l’individu, depuis sa naissance, est conditionné par son milieu social, cela à travers son éducation. Pour expliquer un fait social

se relier, c’est-à-dire à relier les agents organisationnels avec les autres ; elle cherche à produire des biens et des liens ce qui lui vaut d’assurer sa pérennité. L’organisation matérialise l’existence d’un « équilibre » entre des logiques structurelles et celles des agents qui les animent. L’organisation est donc une construction sociale contingente qui prend en compte des objectifs, des conditions d’environnement et la mentalité des agents qui s’y trouvent. C’est donc un système socio-technique

........................................................................ 38 III.5/  L’approche  de  la  performance .................................................................................... 38 III.5.1/ Le resserrement progressif des contraintes gestionnaires .................................... 38 III.5.2/ La LOLF............................................................................................................... 39 III.5.3/  L’ONDAM .........................................