Contrat Social Introduction

explique bien le fond de sa pensée : «L’homme est naturellement bon, c’est la société qui le corrompt2.» Rousseau explique que lorsque l’homme est devenu civilisé, il a perdu une grande partie de sa liberté ainsi que son instinct. C’est ainsi que le Contrat Social est né, tentant de réparer les méfaits de la civilisation : il s’agit de fonder les lois et restrictions sur quelque chose qui nous rejoint tous : la raison. Ces lois viendraient donc d’une volonté générale, d’un intérêt commun et si nous y obéissons

malheur de la Cité. L'hybris est alors vu ici comme un excès de liberté. la loi assure notre liberté, d'après le contrat social, ( 1762 ) de Rousseau, il évoque que l'homme est née libre. Dans le discours sur l'origine et le fondement dans l'inégalité parmi les hommes (1755) Rousseau pense que l’homme à l’état naturel serait bien meilleur que l’homme socialisé. seul un contrat social (donc les lois) peut lier les individus et les obliger mutuellement et que l'individu garantit sa liberté en obéissant

dont il est question, non seulement sous sa forme générale (thème du désir, du langage, etc.), mais, bien évidemment, sous un angle précis, par exemple, le droit du citoyen à l'opposition, dans tel texte de philosophie politique de Rousseau (Du contrat social, liv. IV, 2), la spécificité de la connaissance humaine par rapport aux formes qui la préfigurent chez l'animal, dans tel texte d'Aristote (Métaphysique, Liv. A, § 1, t. 1, Vrin, p. I et sq.). En bref, il s'agit de comprendre, de manière déterminée

aux hommes. Ce qui fonde l'État c'est un processus naturel . Au 17ème siècle, le finalisme est remis en cause et n'est plus valable. L'État ne peux plus être justifié de cette façon. Idée du fondement divin de la politique remise en cause. Contrat social : concept philosophique qui fonctionne avec la nature; philosophie contractualisée. B – La théorie à l'État de nature. Thomas Hobbes extrait de Leviathan extraits chapitre XIII « Par la condition naturelle des hommes en ce qui concerne

SUJET : Le contrat social « Le contrat est une convention par laquelle une ou plusieurs personnes s’obligent envers une ou plusieurs autres à donner, à faire ou à ne pas faire quelque chose. » Article1101 du Code Civil.Le pacte d’association ou contrat social proprement dit est destiné à expliquer l’origine de la société ou de l’Etat. Les individus décident d’abandonner l’état de nature et de se constituer en corps social. Ilsrenoncent au profit de la collectivité qui devient souveraine, à tout

hommes, dénonciation des hiérarchies sociales, des injustices de la société. Voltaire l’attaque. Lorsque paraît en 1758 sa Lettre à d’Alembert sur les spectacles, ce sont les philosophes qui se détournent de lui. Depuis plusieurs mois, il a commencé un roman par lettres, Julie ou la Nouvelle Héloïse. Celui-ci connaît aussitôt le succès. Mais, dès l’année suivante, ce sont de nouvelles difficultés qu’il doit affronter. A leurs sorties, en 1762, Le Contrat social est saisi et le traité de pédagogie

principaux sont Rousseau, Locke et Hobbes, ils sont établis l'état comme un phénomène contractuel et le contrat social, pour passer de l'état de nature a un état de société.Mais ils ne partagent pas la meme vision de l'état de nature : -Hobbes voit l'état de nature comme quelque chose de péssimiste, un état de guerre de tous contre tous, " l'homme est un loup pour l'homme".On les hommes passent un contrat entre eux pour sauver l'état qui serait vouer a disparaitre. -Rousseau et Locke par contre voit

(Cour Européenne des droits de l’homme). La démocratie doit être fondée sur un certain nombre de valeurs. ! généralement encore, l’adjectif démocratique peut aussi servir à caractériser le fonctionnement Plus d’un corps social ou d’une organisation politique ou sociale, une association, une entreprise… Cela signifie que ce fonctionnement repose sur des valeurs comme l’égalité des membres du groupe, des procédures de délibération, des votes pour prendre les décisions importantes ou encore l’élection

qui le compose. Par suite, la souveraineté du peuple est faite de l’addition des souverainetés individuelles des citoyens. Les tenants de cette thèse mettaient en avant le célèbre paradigme de JJ Rousseau qui figure au chap. 1er du livre 3 du Contrat social, bien souvent cité. Supposons que l’Etat soit composé de 10000 citoyens écrivait JJ, chaque membre de l’Etat a pour sa part, la 10 millième partie de l’autorité souveraine. Les partisans de cette thèse qui se regroupaient en 1789 derrière la

grecs et notamment Aristote, la citée est consubstantielle à l’homme, elle ne peut pas être séparée de l’individu. La citée ne se réduit pas une ville, la citée n’est pas tellement une entité géographique, c’est plutôt une organisation politique et sociale. Pour Aristote et Platon, il n’y a qu’au sein de la cité que l’Homme existe réellement. C’est au fond, ce que veut dire Aristote par cette formule. L’Homme ne se distingue de l’animal que parce qu’il appartient à la citée. C’est la citée donc qui