Contrex

entre le sujet annoncé (date et titre : « De la Cour » de Louis XIV) et la description géographique et ethnologique d’un pays (ce n’est pas ce qu’attend le lecteur) : - Les mots géographiques en font un pays lointain, avec frontières : « région », « contrée » ; - « peuples » : éloignement historique, linguistique et ethnique ; - Les particularités culturelles et religieuses sont appelées « coutume », « usage ». Une énigme car : - Le pays n’est jamais nommé ; - On ne sait pas de qui on parle

que tu y as mis le pied !" Réfute par un argument de réciprocité et pose un droit : la terre appartient au premier occupant    Loi du plus fort "tu es le plus fort […] contrée"  Démontre la contradiction dans la logique occidentale : disproportion entre punir le vol d'une "misérable bagatelle" et voler "toute une contrée"   L'occidental ne pourrait pas souffrir d'être esclave : toujours argument de la réciprocité    Argumente en rappelant qu'il s'arroge un droit qu'il refuse aux autres

Villegagnon est membre de l’ordre de Malte (ordre catholique dont les membres ont une fonction d’hospitaliers et de militaires) et « vice-amiral de Bretagne ». Animé par une ambition démesurée, il entend « apporter les secours de la civilisation dans ces contrées de cannibales » ; il s’agit, selon lui, d’ « une entreprise juste, glorieuse, nécessaire» (p. 287). Mais il connaitra de nombreuses désillusions et dévoilera une personnalité complexe. Physiquement, il impose le respect avec sa stature de « colosse

Ou est-il destiné à nous faire rêver, à nous conforter dans de somptueux clichés ? Afin d’approfondir ces questions, nous nous intéresserons dans un premier temps à la manière dont les écrivains français des 18, 19 et 20ème siècle ont dépeint les contrées lointaines, aussi bien à travers leurs carnets de voyage que dans les œuvres de fiction se déroulant dans des pays étrangers. Dans un second temps, nous verrons qu’à travers l’évocation du parfum, des écrivains nous convient à des voyages bien plus

mais aujourd’hui cela est tout à fait naturelle. L’écrivain peut être considéré comme un enchanteur parce que d’un coup de baguette magique, il nous projette dans des contrées inconnues ou dans des périodes révolues ou futur. Dans « l’appel de la forêt » ou « croc blanc », Jack London nous fait voyager dans des contrées lointaines (le grand nord canadien) et dans une période révolue : le dix-neuvième siècle. Maintenant que nous avons vu comment l’écrivain peut être un enchanteur en nous transposant

Aprés avoir traversé le continent asiatique et l'Afrique, Candide arrivait dans une lointaine contrée nommé l'Eldorado. Accompagné de Cacambo, qui allait lui servire d'interprete, il s'approchait d'une ville qui semblait etre la capitale. La population ici portait des masques, leur vetements étaient immaculés, mais tous regardaient Candide . Le sol était lui même d'une propreté incomparable, à tel point qu'on pouvait y voir son reflet. Les gens ici semblaient epanouie, Candide avait l'impression

s'ils font mine de rouspéter on les rembarque. Et les serfs importés étaient maltraités, menacés et si mal nourris que certains d'entre eux s'en retournaient dans leur pays tandis que d'autres se révoltaient et étaient abattus où chassés de la contrée. p 329: l'objet de son désir était constamment sous ses yeux. Les gardes chargés d'empêcher un homme de cueillir une orange pour un enfant affamé. p 331: ces gars-là faut les dresser des étrangers, tout ça p 332: moi, j' te

s’affaire (le verbe « s’affairer » est employé l.16), des groupes nominaux hyperboliques qui traduisent l’importance de l’événement qui touche tout le monde: « des dizaines et des dizaines d’ouvriers » (l.10-11), « des caravanes entières venaient des contrées les plus éloignées pour apporter épices, bétail et tissus » énumération (l.20-22), « des sacs innombrables de fleurs » (l.26-27). -> Nombreuses occurrences d’adjectifs, de participes … -> outils de la description Transition : dans cette agitation

et replié, Habit de deuil, vous sert de couverture Depuis le chef jusques à la ceinture, Qui s'enfle ainsi qu'un voile quand le vent Souffle la barque et la cingle en avant. De tel habit vous étiez accoutrée Partant, hélas! de la belle contrée Dont aviez eu le Sceptre dans la main, Lorsque pensive, et baignant votre sein Du beau cristal de vos larmes roulées, Triste marchiez par les longues allées Du grand jardin de ce royal Château Qui prend son nom de la source d'une eau.

fait le bilan des années trente, il s'adonne à des recherches où poème, chanson, musique peuvent s'allier, avec les « couplets » d'État de veille (1943) ou les Chantefables (1944) « à chanter sur n'importe quel air ». Le Bain avec Andromède (1944), Contrée (1944), les sonnets en argot poursuivent, sous des formes variées, la lutte contre le nazisme, car « ce n'est pas la poésie qui doit être libre, c'est le poète ». En 1944, Le Veilleur du Pont-au-Change, (signé Valentin Guillois), pousse son vibrant