Controle De La Validité De La Norme Pénale Nationale

les citoyens d’un Etat. Mais parfois la règle de droit ne s’adresse qu’a une catégorie de personne, elle ne va concerner par exemple que les mineurs protégés, les personnes âgés ou handicapé ou s’adresser à une région et non pas tout le territoire nationale (exemple disposition concernant l’outre-mer). Malgré tout même lorsque la règle ne s’adresse qu’a une partie de l’état on considère qu’elle reste générale car les critères qu’elle utilise reste objectif, généraux. Les critères de l’âge, l’état de

unique, la Cour Commune de Justice et d’Arbitrage, organe interétatique du plus haut niveau, les pouvoirs d’organisation de l’arbitrage et de contrôle des sentences. Ainsi, se trouvent affirmées avec toute l’autorité d’un traité, la prééminence de l’arbitrage comme mode de règlement des litiges du commerce international, et la nécessité d’un contrôle des décisions arbitrales – points sur lesquels se retrouvent toutes les législations modernes en la matière. Il restera à un Acte uniforme (art

PROFESSIONNELLE (CQP) : document écrit délivré sous la responsabilité d’une Commission Paritaire Nationale pour l’Emploi (CNPE) de branche, parfois reconnue dans la convention collective de la branche. Il atteste de la maîtrise par un individu de capacités et de compétences requises par un emploi ou un métier de la branche. Le CQP n’a de valeur que dans la branche qui l’a créé. COMMISSION NATIONALE DE LA CERTIFICATION PROFESSIONNELLE (CNCP) : créée par la loi de modernisation sociale de janvier

l’Union européenne. Le Conseil constitutionnel opère ainsi une incursion dans le contrôle de conventionnalité jusque-là dévolu aux juridictions de droit commun conformément à sa propre jurisprudence (Cons. const. 15 janv. 1975, IVG). Le dialogue des juges est un élément essentiel pour garantir l’effectivité, l’unité et la primauté du droit de l’Union. Ce dialogue repose aujourd’hui sur la faculté du juge national de pouvoir poser une question préjudicielle en interprétation à la Cour de justice

communautés euro, à cette intégration existante on va ajouter de la coopération inter-gouvernementale. Coopération qui se fonde sur le 2ème pilier Del ‘union (PESC, le 3ème est la CJAI qui deviendra la coopération judiciaire et policière en matière pénale CJPP) Coopération=pas transfert de compétence 2pillier 3ème étape : traité de Lisbonne Etape très importante, signé en 2007 et entré en vigueur 1er décembre 2009 Les piliers ont disparus, le traité CECA avait disparu en juillet 2002 pour le

règles de droit vue comme norme générale. Il s‘oppose aux droits subjectifs qui désignent les règles individuelles (par rapport à une personne, quels sont mes droits ?). C’est le droit objectif (général) qui va déterminer les droits subjectifs (individuels). * Exemple : il n’existe pas de droit subjectif à l’enfant car le droit objectif ne le reconnait pas. ------------------------------------------------- PARTIE I : LE DROIT OBJECTIF OU LE DROIT EN TANT QUE NORME. -------------------------------------------------

actes unilatéraux à caractère obligatoire. - applicabilité des actes de droit produits : - coopération, produit des actes qui ne sont pas directement applicables dans les ordres juridiques nationaux. - intégration, applicabilité directe, le droit sera invocable devant les juridictions nationales. A l’origine, les pères fondateurs Monet et Schuman ont opté pour le modèle d’intégration mais à Maastricht au moment d’étendre les compétences, les Etats ont considéré que la méthode d’intégration

contraint à faire ce qu’elle n’ordonne pas. Droit implacable, rigide, lointain. C’est une idée préconçue le droit organise la vie en société (contrat, vote, aide sociale, pax, mariage, ce n’est pas seulement la police, le droit n’est pas que le doit pénal). - Le droit n’est donc pas une machine à changer la société. C’est quelque chose de fragile et d’incertain. Le fait de voter des règles ne fait pas forcément qu’elles soient appliquées. - Le droit n’est pas rigide, c’est un objet de dispute, c’est

droit international pénal … II. En fonction de l’origine de ses règles Droit originaire, droits dérivés III. En fonction de leur extension Droit international général et droits internationaux particuliers IV. En fonction de leurs destinaires Distinction entre sujets, destinaires primaires et destinaires secondaires § 2 - Unité I. Obstacles Diversité normative ; prolifération des juridictions internationales ; « régimes autosuffisants » ; conceptions nationales du droit international

DROIT Section 1 : Les textes Ils constituent la principale source des règles de droit en France. Paragraphe 1 : Les principaux types de textes : Ils se définissent comme des règles écrites émanant des autorités de l'état. Ils peuvent être nationaux ou internationaux. Il s'agit d'une source direct et formel qui peuvent émaner de différents auteurs avec différentes procédures. A/ LES TEXTES FRANCAIS : Ils sont de quatre types : - la Constitution -les lois -les ordonnances -les règlements