Convention Girondine

secrétaire du ministre de la Justice. * Elu à la Convention nationale où il siége avec les Montagnards mais n’a pas de rôle important dans la politique. -1793 : *Lors du procès du roi,  il vote contre l'appel au peuple, pour la mort et contre le sursis et va défendre Marat qui a été mis en accusation. *Il s’éloigne peu à peu des Montagnards suite à la condamnation des Girondins le 30 octobre 1793, qu’il aurait regretté d’après certaines

DISCOURS PRELIMINAIRE SUR LE PROJET DE CODE CIVIL (21 JANVIER 1801) – JEAN ETIENNE MARIE PORTALIS La fin de la terreur Tragédie de Robespierre : l’amour, l’armée, la trahison se côtoient. Comité de salut public : 10 personnes qui transmette a la convention, les décrets de la terreur est une œuvre collective La terreur est un système de gouvernement, une idéologie La question est de sauver la république ou de la voir mourir (soit on la sauve soit on la laisse) La fin justifie- t- elle les moyens ?

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conseil exécutif provisoire. 1792 Septembre : massacre à Paris Ouverture de la Convention nationale 26 septembre : Victoire de Valmy ; proclamation de l’an I de la République. 21 janvier : Louis XVI guillotiné (Marie-Antoinette exécutée en octobre) 19 mars : la Vendée devient une guerre 6 avril : Formation du Comité de Salut Public 1793 31 mai – 2 juin : chute des Girondins 13 Juillet : assassinat de Marat Convention Septembre : début de la Terreur avec Robespierre (lois des suspects, loi du Maximum)

va mettre en place un appareil de gouvernement autoritaire à l’origine de cette « terreur ». Mise en place d’appareils de contrôle par le gouvernement révolutionnaire : - 2 organes principaux : Le comité de sûreté générale : il est crée par la convention (qui a remplacée l’assemblée) le 2 octobre 1792. Il est en charge de la police et de la justice révolutionnaire. Il assure la mise en place de la terreur en favorisant les dénonciations. Le comité de salut public : mis en place en mars 1793, il

1. Présentation Ce document est un texte de Maximilien Robespierre (1758-1794) présenté le 25 décembre 1793 à la Convention, au nom du comité de salut public créé le 6 avril 1793. Ce comité était composé de neuf membres, dominé par Georges Danton et délibérant en secret. Durant cette période, la France est assaillie de toute part, mais parvient tout de même à reprendre l’offensive. C’est ainsi que Robespierre présente les faits au sein du rapport où il réaffirme les principes du gouvernement révolutionnaire

Il connut son heure de gloire à l’époque de la chute de la royauté. Ephémère ministre de la Justice puis député de Paris à la Convention, il exerça une grande influence, sans toute fois sembler jamais en mesure de s’imposer. On se méfiait du tribun, on connaissait les rumeurs qui couraient sur son incertaine probité. Son étoile déclina bientôt après la chute des Girondins. Les hébertistes, à l’automne de 1793, le prirent pour cible. Il les combattit au cotés de Robespierre mais, refusant que les

statistique et les probabilités, son analyse des différents modes de scrutin possibles et du « paradoxe de Condorcet », et son action politique, tant avant la Révolution que sous celle-ci. Siégeant parmi les Girondins, il propose ainsi des réformes du système éducatif ainsi que pénal. La Convention nationale ordonne son arrestation en 1793, et on le trouve mort dans sa cellule peu après son incarcération.Né à Ribemont (Aisne) en 1743, il est l’un des descendants de la famille Caritat. Les Caritat tiennent

26 août 1792 : élections (suffrage universel « théorique » : pas de femmes ni de domestiques, vote public et non secret). 20 septembre 1792 : première réunion de la convention qui prononce la déchéance du Roi. 21 septembre 1792 : An I de la République. 11 octobre 1792 - 15 février 1793 : premier projet de constitution (girondin), qui subira un echec. 24 juin 1793 : constitution de l’an I (montagnarde). Juillet-Aout : ratification populaire (adoptée massivement mais scrutin public et non secret)

Comment passe-t-on de la République à la Terreur ? A) La République en danger En septembre 1792, après l’emprisonnement de Louis XVI, une nouvelle assemblée est élue : La Convention. Le 22 septembre elle proclame la République La Convention est divisée entre Montagnards qui veulent poursuivre la Révolution et les Girondins, plus conservateurs. Les Montagnards obtiennent la condamnation de Louis XVI qui est guillotiné le 21 janvier 1793. Sur le plan extérieur, cette exécution provoque une coalition