Convention Girondine

l’Incorruptible », il s’oppose fermement à la guerre. Membre de la Commune (Administration révolutionnaire établie à Paris à la suite de l’émeute du 14 juillet 1789) après l’insurrection du 10 août 1792, puis député à la Convention, il devient le chef des Montagnards. Hostile aux Girondins, il provoque leur chute (mai-juin 1793). Entré au Comité de Salut Public (juil.1793), il est l’âme de la dictature, affirmant que le ressort de la démocratie est à la fois terreur et vertu ; il élimine les hébertistes

statistique et les probabilités, son analyse des différents modes de scrutin possibles et du « paradoxe de Condorcet », et son action politique, tant avant la Révolution que pendant . Siégeant parmi les Girondins, il propose ainsi des réformes du système éducatif ainsi que du droit pénal. La Convention nationale ordonne son arrestation en 1793, et on le trouve mort dans sa cellule peu après son incarcération . Dans le premier paragraphe Condorcet parle des philosophes sans citer de nom , seulement

Le 4 février 1794, pour la première fois dans l’histoire, fut proclamée par la Convention nationale, l’abolition de l’esclavage, près de 4 ans après l’adoption par l’Assemblée de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen. Mais l’abolition, appliquée dans toutes les colonies françaises, sauf à l’île Bourbon et aux Mascareignes, fut révoquée en 1802. Il fallut attendre le 27 avril 1848 pour que le gouvernement provisoire de la République abolît par décret l’esclavage. Désormais, selon l’article

de Valmy. 1792-1794 - LA CONVENTION (et LA TERREUR!) + la GUERRE (suite) Les ennemis aidés par les ROYALISTES et les Vendéens - «Les CHOUANS». L'Angleterre, la Hollande, l'Espagne se sont alliés à l'Autriche et la Prusse + la Guerre Civile («la Vendée»). Rouget de Lisle écrit La Marseillaise Proclamation de la République - ABOLITION DE LA MONARCHIE. 24 avril '92 22 sept '92 1793 21 janvier juin juillet 5 septembre 1794 avril Louis XVI GUILLOTINÉ. Les Girondins condamnés. LE GOUVERNEMENT RÉVOLUTIONNAIRE

10 aout 1792 : veto du roi (celui de trop) -> attribution à et par l’Assemblée de tous les pouvoirs Rédaction d’une nouvelles Constitution 20 septembre 1792 -> la Convention abolit la monarchie -> établit la République 21 janvier 1793 : Louis XVI guillotiné II- La première République 24 juin 1793 : Convention vote nouvelle Constitution -> consécration du système républicain Pourtant : marquée par le Gouv. Révolutionnaire et terreur A- La Constitution du 24 juin 1793, An I de

se fait le 11 août 1792 et l’Assemblée chargée d’élaborer une nouvelle Constitution se donne le nom de Convention, en référence aux Etats-Unis. N’ayant plus de pouvoir exécutif, tout le pouvoir politique est concentré « dans les mains » de l’Assemblée, on parle de régime d’Assemblée. Ainsi les luttes politiques acharnées se déroulent au sein de cette Assemblée et Robespierre entre à la Convention comme chef incontesté des Montagnards, qui appartiennent à la petite bourgeoisie et sont des idéologues

plus tard les Etats Allemands. A cause de la guerre la convention du faire appel à 300000 milles volontaires militaires, cette demande entraina un vif refus chez les vendéens qui étaient pour la plus part contre révolutionnaire. Il s’en suivit une lutte acharnée et très sanglante entre les révolutionnaire et les contre révolutionnaire. Face aux difficultés que rencontrée la France à l’intérieur et à l’extérieur de son territoire la convention pris les premières mesures de salut public, en créent des

lutter par tous les moyens contre les ennemis, y compris par la terreur. C'est pourquoi la convention a légalisé la terreur, cela par la loi dite des suspects en date du 17 septembre 1793. Cette loi a ordonné l'arrestation de tous les ennemis suspects de la révolution. Étaient suspects par exemple, tous les nobles, tous les parents d'émigrés, ou encore les fédéralistes : tous les partisans des idées des Girondins. Mais cette loi permettait en fait, l'arrestation de n'importe qui. Chez Robespierre la

Révolution, jusque là modérée et libérale. Il préfigure la terrible dictature de la gauche jacobine et montagnarde. Trois jours plus tard, le roi déchu est emprisonné au Temple avec sa famille. Louis Capet, anciennement Louis XVI, comparaît devant la Convention le 11 décembre 1792. L'assemblée législative s'est pour l'occasion constituée en tribunal. Elle siège dans la salle du Manège, aux Tuileries. Il est accusé de haute trahison pour avoir joué double jeu face aux assemblées nées de la Révolution

constituante. 27 septembre 1791 : L'Assemblée nationale constituante émancipe les Juifs du Royaume. 30 septembre 1791 : Fin de l'assemblée législative. Elle est remplacée par la convention nationale. Formation de trois partis : les Feuillants, partisans de la monarchie constitutionnelle, siègent à droite ; les Girondins, partisans d'une république libérale, siègent à gauche ; les Montagnards, partisans d'une république démocratique, siègent en haut. Proclamation de la République. 20 avril