Convention Nationale 1792

Le 16 aout 2012 Bonjour à toutes et à tous, Tout d'abord, je vous remercie d'être présent et je vous souhaite la bienvenue. Aujourd'hui, vous assistez à une rencontre politique qui sort des entiers battue. Je suis ici pour vous présenter mes priorités électorales. Elles représentent mes convictions et sont le reflet de mes actions soutenues depuis les 3 dernières années. Ces dernières, en plus de démontrer ma grande implication sociale et politique, m'ont amenées à me poser bien des questions

provisoire ? L'idée était dans l'air et déjà Marat l'avait revendiquée en 1793. Fabre d'Olivet affirme dans ses souvenirs que les Jacobins purs et durs avaient proposé la dictature à Bernadotte mais celui-ci souhaitait la tenir de la représentation nationale. La dictature de Bonaparte est accidentelle : elle est la conséquence de sa maladresse et de son désarroi au conseil des Cinq Cents. L'opération parlementaire de Sieyès est compromise : il faut faire donner la troupe alors que celle-ci n'avait

consequences du decret du 22 prairial (II) I) Le Tribunal Correctionnel A) Composition d'Esprit juste et raisonnable  Le tribunal est composé d'un president , de quatre vice president , de juges, nommé par la convention nationale, il y a auprès du tribunal un accusateur publique . La convention nomme 12 citoyens qui rempliront la fonction de jurés . Composé de 50 jurés , tous les postes sont exercés par des citoyens nommés pa le decret du 22 prairial an II B) Une fausse entreprise contre-révolutionnaire

révolutionnaire de pouvoir agir vite. Pour cela, il fallait que le gouvernement soit une autorité centrale, forte et soumise à aucun contrôle. Il convenait de lutter par tous les moyens contre les ennemis, y compris par la terreur. C'est pourquoi la convention a légalisé la terreur, cela par la loi dite des suspects en date du 17 septembre 1793. Cette loi a ordonné l'arrestation de tous les ennemis suspects de la révolution. Étaient suspects par exemple, tous les nobles, tous les parents d'émigrés, ou

qu'Alexandre Dumas ridiculise ouvertement le système administratif tatillon de la Terreur. L'année 1793, durant laquelle se déroule le récit voit naître un nouveau type de justice dirigée par la loi des suspects. Cette loi, votée par la Convention Nationale, permet de criminaliser tout comportement allant à l'encontre des principes de la toute nouvelle République française, comportements dit suspects. Ainsi, elle met notamment hors-la-loi: « Ceux qui, soit par leur conduite, soit par leurs relations

II) 1793 – 1799, la naissance de la République et de formes particulières de séparation des pouvoirs Après la bataille de Valmy en 1792, les Révolutionnaires Français ont signé l’arrêt de mort de la Royauté. A partir de cette date, la République est proclamée en France. De nombreuses évolutions sociales vont permettre aux hommes de prendre part à la vie politique, et en mettant en avant la séparation des pouvoirs. Cependant, en raison d’un contexte peu favorable, son application va être suspendue

Au lendemain du 10 aout 1792, la France n'a plus de gouvernement. Il s'agit d'une République sans constitution. Les sans-culottes, révolutionnaires issus du peuple, ont réussi à provoquer la chute de Louis XVI. Celle-ci provoque un événement capital : la création d'une commune insurrectionnelle, à Paris, dominée par les révolutionnaires les plus extrémistes. La nouvelle commune administre Paris, et elle seule, à la possibilité de recourir à la force armée. A la suite de ces événements, la nouvelle

renaissent, ainsi que les journaux jacobins. On vote un nouvel emprunt forcé sur les riches et une « loi des otages » qui permet de déporter quatre parents de nobles ou d’émissaires en cas d’assassinat d’un fonctionnaire ou d’un acquéreur de biens nationaux. Les gouvernants craignent le renouveau royaliste, lequel prend une forme insurrectionnelle dans l’Ouest et dans le Toulousain. Cette série de coups de force est éclairante. Sans appuis solides, incapable de réconcilier les deux France nés de la

Qu’est-ce que la Terreur ? La Terreur est décrétée en France le 5 septembre 1793, en réponse à un état de crise qui dure ; elle constitue la seule solution trouvée pour garantir les acquis révolutionnaires et ceux de toute la jeune République. La Convention fait ensuite le choix d’un Gouvernement révolutionnaire. Dès lors, la Terreur apparaît comme l’organisation systématique de la répression des adversaires intérieurs et des traîtres de la République française. Un débat controversé

et tous ceux ne pouvant s'acquitter d'un cens électoral, dans cette seconde catégorie. Malgré l'appel de Condorcet, elles furent ainsi officiellement exclues du droit de vote par l'Assemblée nationale le 22 décembre 1789, exclusion maintenue par la Constitution de 1791 puis par un vote de la Convention nationale le 24 juillet 1793, quelques mois avant l'exécution d'Olympe de Gouges, auteur de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne en 1791. Du XIXe siècle à 1944[modifier] Chronologie[modifier]