Cordes-sur-Ciel

l'handisport sont représentatives de la région. Au niveau culturel, le patrimoine, l'art, le spectacle, les langues, l'audiovisuel sont représentatifs aussi. Lourdes, le viaduc de Millau, le Pic du Midi, l'Abbaye de Flaran, le Cirque de Gavarnie et Cordes-sur-Ciel sont six grands sites touristiques 6) Héritières lointaines des provinces de l’Ancien Régime -la Gascogne, le Languedoc et le Rouergue pour Midi-Pyrénées. Les régions sont apparues dès la seconde guerre mondiale, lorsque est apparu le besoin de

nacre (v.2) • Des marins « tous beaux » et « tous charmants » (v. 22) o Le ciel des contes fantastiques ▪ Les étoiles qui se déplacent et « rendent visite » ▪ Des étoiles « blondes aux yeux noirs » (v. 14) « aux dents étincelantes » (v. 15) «  brunes aux beaux seins » (v. 16) ▪ « le ciel de ma sirène n’est pas un ciel ordinaire » (v. 21) o Des êtres à la fois identifiables et inattendus accomplissant des actions

moment. Pendant longtemps la recherche va porter sur ce caillou. Ici, c’est le patrimoine théorique qui empêche de penser que le mouvement se conserve. Ptolémée Grec du 2ème siècle après J.C représente un système du mouvement des planètes dans le ciel qui est faux. Ce système prévoit tout même les éclipses. Ainsi, toutes les observations empiriques confirment ce faux système. Au 3ème siècle av. J.C, Aristarque de Samos impose la méthode des parallaxes. Il découvre que la terre tourne autour du

une euphorie, de liberté retrouvée, une délivrance que l'on retrouvera dans le poème "Phrases", "J'ai tendu des cordes de clocher à clocher... et je danse". Cette euphorie devient indifférence, insouciance du bateau fugueur face aux gouffres marins, "rouleurs éternels de victimes", mépris des dangers, des signaux d'alarme "l'œil niais des falots". L'euphorie marine (Q 5 et 6) Mer et ciel se confondent dans une constellation de mots, de néologismes et une galaxie de strophes. La phase d'initiation

suggère son attitude crispée au premier vers du poème : « les poings » dans ses « poches crevées ». Les longues marches dans la campagne sont évoquées par la répétition du verbe aller en début de vers : « Je m’en allais » (v.1); « j’allais sous le ciel » (v.3) ; par l’utilisation du mot « course » (v.6) qui indique une marche rapide, de longs itinéraires. Il se décrit « assis au bord des routes ». Le pluriel « routes » est significatif : il en a parcouru beaucoup. Notons encore l’emploi de l’imparfait

est lente, triste, discrète, et elle suis l’émotion du chanteur. Elle commence par le rythme lent et régulier des timbales , une sorte de lourdeur , d’oppression et présente tout au long de la chanson .La mélodie est assez répétitive, Il y a des cordes ,des guitares ,des cuivres qui symbolisent le pouvoir et font penser aux musique de propagandes. Elle évoque la souffrance des déportés dans les trains qui les menaient aux camps. Il y a une intensité dans les couplets après couplets apportée par

Ruben Luccioni1Le balcon Le jour se levait sur Uzes, les premiers rayons de soleil tapaient sur le clocher qui surplombait la ville. Ses cloches retentir, elles annonçaient neuf heure. C’était un mercredi matin d’Avril comme les autres, le ciel était dégagé, la chaleur était encore supportable, et un petit vent frais faisait danser les fleurs accrochés aux fenêtres. La rue Dr Blanchard illustré parfaitement l’architecture Uzétienne, elle était pavé de pierres et les façades des hotels particuliers

cousins se retrouvent chez les parents de Lauren, en Provence. Mais ces derniers viennent de se séparer. Alors Lauren est partie chez Camilla et Nathan, les parents de Diego. Ils ont loué pour deux semaines une maison sur la Côte basque. 
Il pleut des cordes. 
— Tu verras, la villa est incroyable, chuchote Diego à l’oreille de sa cousine tandis que la voiture longe le bord de mer. 
À travers le rideau de pluie, Lauren découvre une haute façade blanche à colombages peints en rouge, dans un pur style basque

renforce cette séparation, fuir et adieu ce rajoute à cette idée St3chemin indéterminé, mais identifier seulement par silex et pas ce qui correspond à l’incertitude des sentiments. Les composants du paysage st des éléments de la nature comme écume de mer ciel et orage St4 anonymat du boulevard c’est une perte de repères (rigidité) le chemin est de + en + large l’approche de la mort est impersonnel avec la perte de repère. II- Le caractère insaisissable de la vie et de l’amour 1- Le temps passé

déplie Tu te couches l’eau s’épanouit Tu es l’eau détournée de ses abîmes Tu es la terre qui prend racine Et sur laquelle tout s’établit. Tu fais des bulles de silence dans le désert des bruits Tu chantes des hymnes nocturnes sur les cordes de l’arc-en-ciel Tu es partout tu abolis toutes les routes Tu sacrifies le temps À l’éternelle jeunesse de la flamme exacte Qui voile la nature en la reproduisant Femme tu mets au monde un corps toujours pareil Le tien Tu es la ressemblance.