Corps Electoral

dissolutions anticipées des Chambres (une prérogative qui appartient au Président de la république, après avoir constaté l'impossibilité de créer une majorité parlementaire à même de voter la confiance à l'exécutif), la législature dure 5 ans. Le système électoral est un système majoritaire avec une part proportionnelle de 25 %. La République italienne est gérée par une Constitution démocratique ; c’est un Etat unitaire, constitutionnel, de droit et représentatif ; c’est un Etat démocratique parce que fondé

collège électoral d’environ 150 000 grands électeurs reflétant les collectivités locales dans leur diversité, puisqu’il est composé de différents élus : députés, conseillers municipaux, généraux et régionaux. Si les conseillers régionaux et généraux depuis 1986 sont électeurs sénatoriaux, le Sénat demeure toujours le « Grand Conseil des Communes de France » qu’il était au début de la IIIe République comme le disait Gambetta, puisque les conseillers municipaux fournissent près de 95% de son corps électoral

apparaître en filigrane d’une interrogation plus précise : quels sont les éléments électoraux et constitutionnels qui assurent dans notre monde libéral la pérennité de l’idéal démocratique ? I ; La Démocratie, ou l’exigence de l’implication du peuple. Entendu que la démocratie se base sur le principe de la souveraineté du peuple, elle doit accepter une première définition construite sur l’exigence électorale : les citoyens, au motif des principes fondateurs que sont la liberté et l’égalité,

interviennent également dans ce processus ; ATTENTION ! Ce chapitre intègre 4 savoir faire applicables aux données quantitatives : calcul, lecture et interprétation du taux de participation électorale et du taux de mobilisation électorale + lecture et interprétation de l’indice d’Alford et et de l’indice de volatilité électorale (cf fiches méthodologiques) Introduction : les chemins de la politisation L’intérêt des citoyens pour la désignation de leurs représentants, base de la démocratie représentative

aux élections s’est peu à peu dégradée. Depuis 1990, les taux d’abstention aux élections augmentent de plus en plus pour quelques fois atteindre plus de 50%, et ce sans compter le nombre de personnes en âge de voter non-inscrites sur les listes électorales. On observe donc un désintérêt des Français quant au fonctionnement des institutions. L'abstention en politique pourrait se définir par le refus de participer à un vote ou une délibération. Les raisons de cette abstention peuvent être nombreuses

Céline Braconnier à mener, durant cinq années, une étude dans la cité des Cosmonautes, à Saint-Denis (93), dans le nord de Paris. Là-bas, ils ont été en mesure d'analyser la palpable dépolitisation des citoyens, se traduisant par une démobilisation électorale. Les milieux populaires et leurs votes sont peu étudiés dans le cadre de la « moyennisation » de la société. En effet, les « cités » ne font pas l'objet d'enquêtes approfondies pour de multiples raisons, parmi celles-ci, la difficulté de la

instabilité ministérielle chronique. Cette expérience inspira les constituants de 1958 pour ne pas reproduire le même schéma d’un régime où le mode de scrutin réduit les possibilités de majorités. De sorte qu’il faudra démontrer que la législation électorale de l’Assemblée Nationale sous Vème République a été élaborée en réaction aux dérives de la IVème République. C’est un sujet législatif très général donc. Néanmoins, le sujet nous donne des limites : notre étude se portera seulement sur la législation

chacune de ses parties et de les définir une à une. La république se définit comme un régime constitutionnel où la souveraineté appartient au peuple[1]. Par la suite vient le fédéral que l’on peut définir comme un système politique dans lequel un corps législatif central ou fédéral des provinces ou états se partagent le pouvoir législatif, exécutif et judiciaire. Le gouvernement fédéral exerce son pouvoir sur l’ensemble du territoire et de la population alors que les gouvernements locaux ne peuvent

les systèmes électoraux 37 §I. Scrutin uni ou pluri nominal et conséquences 37 §II. Les scrutins majoritaires 38 A. Majoritaire à un tour 38 B. Majoritaire à deux tours 38 C. Représentation et démocratie 38 §III. Les représentations proportionnelles. 39 A. L’étendue de la proportionnalité 40 1. Forte amplitude 40 2. Faible amplitude 40 B. La question des modes de calculs comme second facteur 41 §IV. La recherche d’un système combiné 42 A. Le système électoral de l’Allemagne

politiques se complexifie donc un peu. Dans le cas français, la fonction des partis politiques change, la présidentialisation, la responsabilité des partis de choisir un président bouleverse la machine interne des partis politiques. Le calendrier électoral est modifié, puisque l’élection présidentielle est suivie des élections parlementaires en vue d’offrir au président une majorité de soutien. Les rapports entre président et premier ministre deviennent donc complexe. Les transformations des régimes