Corpus Comique

1er corpus Document 1 : Henri Bergson, Le Rire : essai sur la signification du comique, 1900 Document 2 : Charles Baudelaire, « De l’essence du rire », Salon de 1846 Document 3 : Jim Holt, « Quinze muscles faciaux et quelques bruits involontaires » Document 4 : Affiche du film Le Corniaud, 1965 |Document 1 |Document 2 |Document 3 |Document 4 |Pistes | |L’homme est un animal qui |Le rire est un signe de |Il

vocalisation inarticulée plus ou moins bruyante. Dans le corpus de textes, plusieurs idées se rejoignent à propos du rire et son interprétation. Durant sa conférence sur « le rire biblique, entre sacré et amertume » (1989), Albert Soued affirme que l'on ne plaisante pas avec le rire. Le document 2, extrait du « Nom de la rose » d'Umberto Eco (1982), met en scène un personnage animé par la haine du rire. Enfin, d'après Baudelaire, dans l'Essence du Comique » (1845), le rire n'est que le fait du diable. Dans

III, scène 2, 1896. ÉCRITURE I. Après avoir lu les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante. Question (4 points) Dans ces trois textes, que veulent dénoncer les auteurs ? Quel registre essentiel chacun de ces textes mobilise-t-il au service de cette visée ? NB. Rappel 2de : les registres. Le registre se définit par l’effet produit sur le lecteur. Les principaux registres sont : - Le registre comique : le lecteur rit. On peut distinguer dans ce registre les registres :

Séquence 2 : Les Fables et l'argumentation indirecte Question de corpus : Les animaux malades, La cour du Lion, Les obsèques de la lionne. Le corpus est composé de 3 textes; Les animaux malades, La cour du Lion et Les obsèques de la lionne. Ils sont tous extrait des Fables de La Fontaine, un grand écrivain français du XVIIè siècle. À travers son œuvre l'auteur voulait exprimer son point de vue sur la société au temps du roi soleil. Nous en venons donc à la problématique suivante; Comment ces

les auteurs du corpus, l'humour obéit à une stratégie d'auto exagération. Dominique Noguez semble ici répondre à La Bruyère ou à Bergson : pour ne pas être ridiculisé, il faut accepter de se ridiculiser. Rire de soi plutôt que d'autrui est en effet la meilleure arme contre l'animalité du rire : comme le suggéraient si bien La Bruyère ou Axel Kahn, on rit des autres quand on ne sait pas rire de soi-même ; loin d'être un simple mécanisme comme l'affirmait Bergson à propos du comique, l'humour demande

Dissertation Sujet : Les scènes de dispute sont fréquentes dans les comédies. En quoi sont-elles importantes dans leur dimension littéraire et scénique ? Vous répondrez dans un développement composé, en vous appuyant sur les textes du corpus, ceux que vous avez étudiés en classe ainsi que sur vos lectures personnelles. Introduction [Amorce] Curieusement, dans le théâtre grec, le mot qui désignait l’action d’une pièce (« agôn ») signifiait aussi le « concours », la « lutte », le « combat » ; ce terme

Dissertation question de corpus : Dans quelle mesure les remarques de Camus sur le roman et le héros de roman sont-elles confirmées et illustrées par les textes de Montesqieu, Flaubert, et Malraux? Exercice d'ecriture: "ce qui manque a chacun de mes heros, que j'ai taillés dans ma chair même dit Gide, c'est ce peu de bon sens qui me retient de pousser aussi loin qu'eux leurs folies." Cette definition par Gide de ses héros vous semble-t-elle une bonne definition du personnage de roman? Vous repondrez

pour lui-même, c’est à dire qu’il dit une histoire particulière dans une époque particulière au travers d’une voix particulière. Se contenter de proposer des généralités indisposera l’examinateur qui ne verra pas votre compréhension personnelle du corpus. Le texte de Chrétien de Troyes est un récit médiéval de chevalerie, tout de suite on pense au REGISTRE EPIQUE et à la construction du héros grâce à la quête qu’il accomplit. Cette entreprise permet de se révéler et de mettre en avant les vertus

Méthode de la synthèse : Le plus important est de synthétiser les documents. L’idée est de confronter les documents, pas de les résumer un à un. Les compétences requises sont l’analyse et la reformulation. On doit faire une première lecture du corpus, dite active. Il faut analyser le paratexte, définir la nature du document, dégager l’idée générale, hiérarchiser les idées, etc. La première lecture correspond environ à 15 min. Le deuxième lecture est une lecture approfondie, on s’interroge sur

l’écrivain va réutiliser la source dont il s’inspire. Par exemple, un auteur grec aimera s’inspirer de la mythologie. C’est bien ce que fit Sophocle, dans nombre de ses pièces, Antigone, Œdipe Roi, Electre. C’est sur cette dernière, présente dans le corpus, que nous nous appuierons. Dans l’extrait de cette pièce, écrite en 406 avant J.C, Sophocle rapproche la fière Electre de l’opinion publique, par un dialogue avec le coryphée qui représente le peuple. Mais c’est la jeune fille qui mène la danse, de