Corpus Poétique Souffrance

Introduction 3 I. Des Femmes vagabondes 6 1. Un trait de caractère récurrent (création d’un type féminin) 7 ▪ « La conseillère maquillée » 7 ▪ La fillette et la femme vagabonde 10 ▪ La Vagabonde 11 2. Mal être et souffrance ( à cause d’un homme) 14 ▪ rupture, souffrance, fin d’une vie 14 ▪ reconstruction d’une vie sans avenir 16 ▪ rejet de l’amour 19 3. Des êtres de passage 22 • L’insousciance de la jeunesse 22 ▪ Une fuite dans la liberté 24 ▪ La vieillesse et le temps qui passe

........................................................... 11 2.1 Analyse d‘un élément théorique ................................................................................................................. 11 2.2. Analyse d‘un texte ou d‘un corpus ............................................................................................................ 19 Relations entre théorie et objet d‘application .......................................................................................

alors une nouvelle forme d'art tragique ? Tout le problème sera de voir comment l'œuvre schwobienne relève du fantastique et comment celui-ci s'exprime, tant dans ses thèmes que sa forme, tant dans son esthétique que son style. Les limites du corpus comme leur essence ayant ainsi été précisées, nous nous proposons de suivre la démarche suivante pour atteindre l'objectif d'une mise en avant d'un aspect souvent effleuré mais jamais traité en plein : le fantastique de l'œuvre nouvellistique de Marcel

Site de Rennes 7 rue du Clos Courtel 35050 Rennes Cedex 9 Sommaire Conseils de méthode pour l'écrit p.5 A. Définition des épreuves écrites de l' É.A.F. ................ 6 Fiche méthode n°1 : Rédiger une réponse aux questions sur le corpus ................................................................................................ 10 Fiche méthode n°2 : Le commentaire de texte ........................12 Fiche méthode n°3 : La dissertation .....................................

personnelle. Atelier 6 – 28 mars Retour en grand groupe sur l’appréciation personnelle de la grille d’analyse (quest. 20). À l’aide d’un modèle de plan et d’un exemple (Annexes X et Y), proposer une pratique d’écriture préparatoire à l’examen. Corpus de lecture À partir de cette sélection de romans québécois, tu choisiras une œuvre que tu analyseras. Profite de l’occasion pour explorer et découvrir de nouveaux romanciers. Si ton choix ne fait pas partie de la liste, il doit être

dans la deuxième strophe très ample mais cette fois avec une nuance d'ironie pour présenter l'oiseau posé sur les planches ; - Dans la troisième strophe, une série de trois phrases exclamatives plus courtes, au rythme plus haché pour traduire la souffrance de l'albatros ; - Dans la quatrième strophe, une phrase en deux parties qui explique la dimension symbolique de la comparaison avec l'oiseau, il récapitule l'opposition. III - Les symboles d'une chute A- Une image symbolique ---- L'image

marques caractéristiques (versification, images, sonorités). * Étudier les relations entre les mots (synonymes, antonymes, homonymes, paronymes) et la notion de champ sémantique. * Savoir employer comparaisons et métaphores. * Rédiger des textes poétiques (poème à contraintes formelles et calligramme). * Lire et réciter des poèmes de façon juste. * SÉANCE N°1 : LECTURE Étude d’un sonnet : le Lombric, de Jacques Roubaud (extrait des Animaux de tout le monde) :

la pièce. ÉTUDE DE L’IMAGE - Être capable d’analyser des choix de mise en scène. ORAL - Savoir mettre en voix un texte théâtral en tenant compte des exigences de l’examen. - Être capable de lire de manière fluide la langue classique. CORPUS : La pièce Phèdre en œuvre intégrale. (1677) Lectures analytiques 1. Acte I, 1 et acte I, 3 2. Acte IV, 2 3. Acte IV, 6 v. 1218-1294 4. Acte V, 7 Documents complémentaires : - préface de Phèdre par Racine Analyse d’image : -

mais pour l'image qu'ils représentent. Le mot est choisit délibérément par le poète : c'est un choix de réflexion. Le mot n'apparaît plus comme une entité innée à l'homme : le poète matérialise le mot, il le rend outil d'un autre langage, le langage poétique. "Car le mot, qui arrache le prosateur à lui-même et le jette au milieu du monde, renvoie au poète, comme un miroir, sa propre image". * "L'art de la prose s'exerce sur le discours, sa matière est naturellement signifiante : c'est à dire que les

marques caractéristiques (versification, images, sonorités). * Étudier les relations entre les mots (synonymes, antonymes, homonymes, paronymes) et la notion de champ sémantique. * Savoir employer comparaisons et métaphores. * Rédiger des textes poétiques (poème à contraintes formelles et calligramme). * Lire et réciter des poèmes de façon juste. * SÉANCE N°1 : LECTURE Étude d’un sonnet : le Lombric, de Jacques Roubaud (extrait des Animaux de tout le monde) : Le Lombric