Coryphée

IntroductionLe chœur est la pensée collective de la citée. Il intervient dans la tragédie de deux façons :- Pour commenter l’action et marquer la progression- Pour résonner une personnalité et la faire revenir sur sa décisionLe chef du chœur s’appelle le coryphée. Le chœur peut intervenir de manière parlée, chantée ou récitation.Ici Anouilh parle de l’intermédiaire du chœur et expose la conception de la tragédie qui est très différente de celle du drame. Lecture du texteAnnonce des axesLecture méthodiqueI

= "je ne suis plus dans le jeu". -Le jardinier s'adresse aux spectateurs = apostrophes. -Pas si c'est le personnage ou l'acteur qui parle = tradition = la parabase. -S'est inspiré tragédie grecque pr créer le lamento. le jardinier = du Coryphée. -ellipse théâtrale + l’ellipse de la nuit. = modernité theatraleplace du lamenteau. -Le jardinier = ambiguë entre fiction / réalité. =Rappel qon es ds le tragédie= persso dominer par force sup(L.30-l.31). . II/ Le jardinier, un homme du peuple

qu’entre vos mains, cette urne ne serait que bien traitée. ELECTRE. – Ô Oreste mon frère, comment donc as-tu pu m’abandonner dans ce monde si cruel envers moi, la mortalité n’est peut-être pas un fardeau. Comment dans ta jeunesse nous as-tu quittés ? LE CORYPHEE. – Pourquoi insistes-tu, ces cendres ne sont-elles pas déjà assez lourdes pour que tu t’entête à vouloir connaitre les conditions de sa mort, cela ne ferait qu’aggraver et allonger ton inutile douleur ORESTE. Qui comprend enfin qu’il a devant lui

le chant du bouc . Les grands auteurs de la tragédie dans la Grèce antique sont : Eschyle , Sophocle et Euripide . Les représentations ont lieu dans des théâtres antiques pendant les fêtes de Dionysos ( fin janvier et fin mars ) . Le coryphée est le chef de chœur dans la tragédie grecque. Il se situe au milieu de la scène et est chargé de guider les choristes, de prendre parfois la parole au nom du chœur et de dialoguer avec le personnage en scène. Un acteur ou comédien – au féminin

héros ● Le parodos, l’entrée du chœur en fanfare, qui chante et qui danse ● L’agôn, combat verbal entre chœurs et acteurs, affrontement burlesque qui s’achève sur le triomphe du héros, ● La parabase, où le chœur exprime la pensée de l’auteur, le coryphée rompt l’illusion théâtrale pour s’adresser aux spectateurs avec bien souvent un discours politique ou prosaïque pour faire la publicité de l’auteur, ● L’exodos, ou la fin de la pièce et sortie du chœur, triomphe du héros, farandole endiablée. Pour

Vérification et correction de la recherche sur le Chœur : Dans le théâtre antique grec, le Chœur était l’ensemble des acteurs (les choreutes, dirigés par le Coryphée) qui chantaient ou déclamaient un fragment lyrique de la pièce, commentant l’action. On appelle également le fragment en question « chœur ». Dans l’Antigone d’Anouilh, le Chœur et le Coryphée se fondent en un personnage intégrant de la pièce, une sorte de double de Créon, sa conscience au moment où celui-ci s’apprête à mettre à mort sa nièce

pieds des bottines ; les cothurnes, qui les rendent plus visibles du public n'apparaîtront qu'à l'époque hellénistique. 2- Chœur : Il est composé de quinze membres, les choreutes, qui chantent et dansent tous ensemble. Ils sont dirigés par le coryphée qui chante également, mais parle aussi avec les acteurs. Le chœur est masqué et costumé. Il est accompagné par la flûte, associée au culte de Dionysos et dont joue l'aulète, seule personne non masquée dans le théâtre. Le chœur représente la voix

réapparaîtra pas dans la plupart des cas, présente l’intrigue . cette partie précède l'entrée du chœur. - Le parodos : entrée du chœur chantant - Les épisodes (epeisodia) soit des scènes (monologue ou dialogue), soit des kommos (dialogue acteurs/coryphée), soit des monodies (chant d’un acteur). - Le stasimon : chant et danse du chœur entre les épisodes - L’exodos : sortie du chœur chantant. 2 - L’organisation : Les cérémonies étaient dirigées par un haut magistrat tiré au sort pour

Lecture Analytique Le texte correspond au moment où, devant l’atroce révélation et la scène de pendaison de Jocaste, Œdipe vient de se crever les yeux pour ne plus voir l’horreur qui l’entoure et s’en justifie au Coryphée. Vers 1369 à 1405 : « Œdipe. – Ah ! ne me dis pas que ce que j’ai fait n’était pas le mieux que je puisse faire ! Epargne-moi et leçons et conseils !... Et de quels yeux, descendu aux Enfers, eussé-je pu, si j’y voyais, regarder mon père et ma pauvre mère, alors que j’ai

ses bras mort. Le serviteur lui annonce la mort de sa femme. Créon a une prise de conscience et réclame, à son tour, la mort.   2. Titre de notre extrait et pourquoi : La prise de conscience de Créon. Tout le temps du récit Antigone, Hémon et Coryphée lui ont dit qu'il avait tort et que seuls les dieux avaient cette autorité. Il réalise, seulement, à la fin qu'il n'aurait pas du interdire les rites funèbres à Polynice. Désormais, il paye le prix de ses choix et comprends maintenant se que les