Cost accounting

sociaux 6.  Le long terme ? Etude de marché une concurrence accrue en Europe ¡  Le principal concurrent, Ryanair, compagnie reine du low-cost en Europe et 3e compagnie aérienne française. En 2010, c’est 70 millions de passagers qui ont été séduis par ses tarifs plus qu’attractifs. ¡  EasyJet excelle également en se positionnant sur du middle-cost, et en adoptant une stratégie plus « confort » que RyanAir pour une segment plus tournée vers le « business ». ¡  D’autres compagnies européennes:

conscience des menaces écologiques = augmentation de l’utilisation des transports en commun - Différenciation des besoins des individus = apparition du « Low cost » mais également apparition de nouveaux designs. - Changement du comportement du consommateur : comparaison des prix sur internet, besoin de mobilité différent, modèle « Low cost » et différenciateur. De nouveaux segments apparaissent du fait des changements de demandes. Technologique - L’augmentation du prix du pétrole et sa raréfaction

poussé les 3 gros opérateurs à revoir leurs prix à la baisse ; dans le document n°3, il est dit que SFR, ORANGE et BOUYGUES TELECOM ont baissé leurs tarifs allant jusque 50% de réduction sur le tarif d'origine en faisant marcher leurs produits « low-cost ». Ainsi, ORANGE et SFR proposent désormais des forfaits aux alentours de 24€90 pour les mêmes critères que le forfait de FREE et restent donc plus cher que celui-ci. Seul BOUYGUES TELECOM a su se rapprocher des tarifs de FREE en proposant le même

« Huit français sur dix prennent des vols low cost* » en 2013, d’après l'INSEE. Selon les informations fournies par Air-journal : « La compagnie low cost française Transavia à opéré 2 892 vols au cours du mois d’août 2014, transportant exactement 416 496 passagers, ce qui représente une hausse de 51,9% par rapport à août 2013. Son taux de remplissage a atteint 89,5%. » Ces résultats restent très alarmant. Il est vrai que les prix sont facilement accessibles

DESCRIPTION DE L’ENTREPRISE CHOISIE : Compagnie aérienne proposant des vols low cost principalement en Europe. DESCRIPTION DE SA PROPOSITION DE VALEUR: La proposition de valeur de cette entreprise est d’offrir des voyages de point à point à des prix plus avantageux que les transporteurs traditionnels de vol sur des routes semblables. ELEMENTS DE LA PROPOSITION DE VALEUR MIS EN AVANT DANS LE BLOG : Les éléments de la proposition de valeur qui seront mis en avant sont les destinations. En

absolument pas la même.(6) 2.1. La concurrence La concurrence sur le marché de l’automobile low-cost est de plus en plus forte. Le succès des uns attirent les autres et de nombreux constructeurs du monde entier ont sorti ou travaillent actuellement sur un modèle low-cost. Sur le secteur automobile, Dacia est la seule vraie marque low-cost. Les autres constructeurs ne proposent que des modèles low cost, qui viennent compléter leurs gammes de véhicules. C’est le cas par exemple de l’Indien Tata, avec

500 postes en France. Les constructeurs ont adopté des stratégies différentes : PSA a ciblé l'Europe, maintenu une plus grande part de sa production en France et misé sur une montée en gamme, tandis que Renault a opté pour une logique financière low-cost et s'est tourné vers les pays émergents en délocalisant. Mais ils pâtissent tout deux du même mal : le ralentissement du marché en Europe, où il ne s'est jamais vendu aussi peu de voitures depuis plus de 15 ans. Explication en graphiques (annexe1)

indirectement concurrentes. Au cœur de ce conflit, la stratégie du low cost adoptée par Air France dans le cadre du nouveau plan stratégique « Perform 2020 » qui vise à développer sa filiale Transavia pour répondre à la concurrence à bas coût dans les vols courts et moyen-courriers. Pour la direction du groupe, qui s’aligne tardivement sur ses concurrents IAG (British Airways-Iberia) et Lufthansa qui ont développé leur filiale low cost respective, Vueling et Gernanwings, cette stratégie est désormais

24 septembre 2014 MADE IN FRANCE Fait-il encore vendre ? Les consommateurs, de plus en plus sensibilisés. La désindustrialisation et la montée du chômage ont sensibilisé les français à la nécessité de consommer des produits français. Les consommateurs exigent avant tout traçabilités, qualité, service et innovation, sans pour autant accepter des surcoûts importants. Les industriels commencent à entrer dans le jeu. Le sujet transcende les partis politiques, le made in France

 utilisent  internet  car  l’investissement  financier  est   minime  ce  qui  augmente  ainsi  le  nombre  de  concurrents  avec  des  prix  compétitifs.  De  plus   les  compagnies  aériennes  low  cost  proposent  un  service  de  voyage  tout  compris.   L’entreprise  perd  aisin  des  parts  de  marché.     Pouvoir  de  négociation  des  clients  :   «  Plaisirs  d'ailleurs  »  est  un  groupe